Alice Malnoult, Elise Vidal et Laurine Thelene sont étudiantes en dernière année du Programme Grande Ecole de MBS et ont remporté en mai dernier la Finale nationale du Challenge Auchan 2021, accompagnées par leur professeur Justine Estarague.

Challenger les compétences des étudiants autour d’un enjeu concret de l’enseigne

Grand Partenaire de MBS, Auchan propose chaque année aux écoles et universités un challenge qui consiste à confronter l’expertise des étudiants à une problématique marketing et commerciale concrète que rencontrent les magasins de l’enseigne.

Cette année, c’est l’ensemble des étudiants de dernière année suivant l’option « marketing de la distribution » qui ont eu l’opportunité de relever le défi. « L’objectif pédagogique était de construire un fil conducteur et de proposer aux étudiants d’appliquer directement leurs connaissances à un cas concret. Les trois meilleurs groupes ont ensuite présenté une première fois leurs recommandations devant l’équipe de direction d’Auchan Pérols, qui a pu les aider en leur donnant un premier retour terrain. Coachées par Marc Bantoure, Directeur adjoint d’Auchan Pérols, Alice, Elise et Laurine ont ainsi su prendre en compte les retours des équipes pour adapter leur stratégie pour les finales régionales puis nationales. » explique leur professeur, Justine Estarague.

Des recommandations reposant sur de l’innovation incrémentale

La problématique traitée par le trio se concentrait sur l’amélioration de la qualification des données clients et de la contactabilité. « Le sujet touchait à la fois à la technique, à la CRM mais aussi aux données financières. Là où le trio a pu se démarquer, c’est sur le caractère incrémental des innovations qu’elles ont proposées. Alice, Elise et Laurine ont proposé des solutions « quick win » en fondant leurs recommandations sur des outils déjà en place au sein de l’enseigne, les rendant rapidement applicables. » partage Justine Estarague.

Les trois futures diplômées ont ainsi remporté la finale nationale, devant l’Université Paris-Dauphine et l’école d’ingénieurs Isara. « C’était une expérience enrichissante et surtout un beau challenge pour cette dernière année. » conclurent les 3 étudiantes.

Grand Partenaire de MBS, Private Sport Shop renouvelle son engagement auprès des étudiants et des alumni accompagnés par l’incubateur en co-créant le Challenge Private Sport Shop.

Cet événement dédié aux univers du sport et des marketplaces s’est tenu le 9 juin 2021 et a permis aux jeunes entrepreneurs de découvrir les coulisses de la success story montpellieraine et de challenger leur business model à travers un concours de pitch avec une récompense d’une valeur de 1000€.

Un partage d’expérience de l’entrepreneur accompli à l’entrepreneur en devenir

« Private Sport Shop et MBS, c’est une histoire qui dure. Nous avons déjà parrainé une Start-Up Week et nous aimons particulièrement intervenir auprès des étudiants sur la thématique de l’entrepreneuriat. » explique Yannick Léouffre, Directeur Général de Private Sport Shop. Si le concours est la clef de voûte de cet événement, l’intérêt du challenge se situe également dans l’opportunité qu’il offre aux jeunes entrepreneurs d’échanger avec la start-up.

Parmi les 144 porteurs de projets accompagnés par l’incubateur cette année, 4 ont été sélectionnés pour la richesse de leur projet en lien avec l’univers du sport et/ou leur souhait de créer une marketplace.

La journée a débuté avec une visite des locaux de Private Sport Shop (PSS) afin de découvrir les coulisses du Grand Partenaire. « Le fondateur n’a pas hésité à partager avec nous les différentes difficultés et réussites que PSS a pu rencontrer au cours de sa création. C’est très motivant parce qu’il était simple de s’identifier dans son parcours, d’autant plus que nous souhaitons évoluer dans le même secteur. » expliquent Elliot Haller & Nils Bonnavaud, étudiants du Programme Grande Ecole ayant opté pour une année de césure afin de développer Rock Don’t Stock, un authentificateur de sneakers digital.

Du coaching au concours de pitch

A la suite de ce premier contact avec l’entreprise, Rémi Trouville et Marianne Charles Artigues, deux coachs de l’Entrepreneurship Center de MBS, ont aidé les étudiants et les alumni à parfaire la présentation de leur projet. « L’objectif est de les accompagner afin qu’ils puissent construire un fil conducteur logique durant les cinq minutes de pitch, et ainsi capturer l’émotion des investisseurs » explique Rémi Trouville.

Les 4 projets ont ainsi eu l’opportunité de participer à un Concours de Pitch à l’issue duquel le Jury – composé de quatre membres de Private Sport Shop – a pu décerner au projet de son choix, un prix d’une valeur de 1000 €. « Il n’y a pas besoin d’avoir une idée révolutionnaire pour entreprendre. Nous avons cherché à récompenser le projet qui, dans son exécution, a fait preuve d’innovation. » témoigne Emile Ducos, Head of BtoB au sein de PSS.

Ce sont finalement Raphaël Couto et Anys Gourmala, deux étudiants également en année de césure entrepreneuriale, qui ont remporté le Challenge avec Climby, une plateforme de contenu live qui met en relation les coachs sportifs et les amateurs de sports ayant besoin d’accompagnement.

Du 21 mai au 29 juin, l’incubateur anime un programme d’accélération pour accompagner individuellement 5 projets entrepreneuriaux avec une dimension responsable et les aider à optimiser leur stratégie, renforcer leur structure, élargir leur réseau et préparer une levée de fonds.

Guillaume Regnery, alumni 2012, fait partie de cette cohorte 2021 avec Renov Protein, une entreprise qui produit des protéines alimentaires, de l’huile et de l’engrais à partir d’insectes, des ingrédients premium à haute valeur ajoutée pour les animaux, les poissons, les plantes et demain les êtres humains, tout en limitant le gaspillage alimentaire.

La volonté de répondre aux Objectifs du Développement Durable de l’ONU

Après dix ans d’évolution dans le marketing au sein de multinationales, Guillaume Regnery est aujourd’hui Marketing Manager auprès de la société Afriquia au Maroc. « En 2019, après la catastrophe écologique des incendies de Sydney puis la crise sanitaire du Covid19, j’ai souhaité j’ai souhaité donner plus de sens à mes actions pour me lancer dans un nouvel objectif professionnel. » explique le diplômé.

Très rapidement, sa quête de sens professionnel s’oriente autour des problématiques d’alimentation et du gaspillage alimentaire. « Grâce au confinement, je concentre mes recherches autour de l’enjeu des protéines, dont la demande mondiale risque d’exploser d’ici 2030, proportionnellement à la croissance démographique. Pourtant, paradoxalement, nous jetons encore dans certaines régions du monde plus d’un tiers de ce que nous consommons. C’est à partir de ces deux enjeux que j’ai souhaité imaginer une startup reposant sur un système d’économie circulaire permettant de satisfaire la demande en protéine tout en limitant le gaspillage alimentaire. »

De l’insecte à la protéine

En parallèle de son activité salariale, Guillaume Regnery cofonde avec Jérémie Perales, futur diplômé en ingénierie de l’Ecole Centrale, Renov Protein, une startup en agritech, qui produit des protéines alimentaires et des produits dérivés grâce à l’élevage d’insectes. « Les insectes que nous élevons sont composés à 60% de protéines. Ils peuvent servir à produire des protéines alimentaires directement pour l’Homme, et également pour les animaux. En effet, si on prend l’exemple des truites et des saumons, les insectes composent normalement 40% de leur régime alimentaire. Pourtant en élevage, on les nourrit de farine composée en partie d’autres poissons, alimentant la surpêche. En se concentrant sur les insectes, il est possible de produire une alternative sans mettre à risque l’écosystème. » explique Guillaume.

« Afin de lutter contre le gaspillage, nous travaillons avec des scientifiques pour réutiliser chaque composant de l’insecte. On peut ainsi créer de l’huile, qui permet d’imaginer une autre alternative à l’huile végétale qui est une des causes de la déforestation, mais également de l’engrais à partir des déjections, des déchets et des coproduits qui alimentent l’insecte. » complète l’entrepreneur.

Pourquoi participer à l’accélérateur de MBS ?

La participation de Guillaume à l’accélérateur de l’incubateur est motivée par la volonté de structurer l’offre de valeur de son entreprise. « Ces six semaines représentent pour moi une opportunité humaine de rencontrer un réseau d’entrepreneurs qui peuvent me faire des retours pragmatiques sur mon Business Model. Les coachs m’aident à structurer mon offre et me font gagner de précieux mois de travail. » conclut l’entrepreneur.

A propos de l’incubateur

Depuis 2015, l’incubateur de MBS a accompagné plus de 600 projets de création d’entreprise.

Pré-incubation, incubation, coaching personnalisé : il est ouvert à tous les étudiants ou alumni de l’école qui ont un projet entrepreneurial avec une dimension responsable.

Si vous souhaitez bénéficier de cet accompagnement, vous pouvez contacter l’incubateur :  ec@montpellier-bs.com

Jusqu’au 29 juin, l’incubateur de MBS organise son programme d’accélération et accompagne individuellement 5 projets entrepreneuriaux avec une dimension responsable afin de les aider à optimiser leur stratégie de vente, renforcer leur structure, élargir leur réseau et préparer une levée de fonds.

Parmi les projets qui bénéficient de ce coaching intensif, on retrouve Kabaun, un outil en open-source porté par Nicolas Soum, diplômé 2018, qui a pour objectif de faciliter la mesure de l’impact carbone des entreprises.

La volonté de mettre ses compétences techniques au service d’une cause

Après un parcours en alternance au sein de l’Agence France Presse (AFP), Nicolas Soum a évolué au sein des groupes M6 puis SALTO, où il occupe aujourd’hui la responsabilité d’Head of data. « J’ai l’opportunité aujourd’hui d’accompagner et de manager des projets data qui m’ont permis au fil des expériences de me construire un vrai socle de compétences techniques. Avec Alexandre, nous avons choisi de créer Kabaun pour mettre à profit nos compétences afin d’agir pour une cause importante pour nous : l’environnement. Kabaun c’est aujourd’hui une petite dizaine de personnes engagées qui travaillent sur leur temps libre pour construire un monde plus éco-responsable.» explique Nicolas.

« Nous choisissons l’open-source car la mesure de l’impact carbone est la propriété de tous »

L’éveil écologique de Nicolas prend ses racines durant son adolescence. « Le déclic s’est fait lors d’une visite de la Mer de glace dans les Alpes. On pouvait y voir à quel point la glace avait reculé au fil des années. Aujourd’hui, grâce à mon métier, je sais aussi que les méthodes pour présenter des chiffres certifiés ne sont pas toujours uniformes, et que certaines entreprises communiquent sur leur engagement environnemental sans être réellement transparentes. C’est cela qui nous a motivé avec Alexandre à créer des ressources pour faciliter l’accès à la mesure de l’impact carbone. » confie le diplômé.

« L’urgence climatique est l’enjeu de tous et les outils de mesures de l’impact environnemental des entreprises ne peuvent pas être accessibles que pour celles qui peuvent les financer. C’est la raison pour laquelle nous avons choisi de privilégier l’open-source et de construire une technologie ouverte pour permettre à tous ceux qui souhaitent s’engager de le faire. Par notre technologie, nous avons la certitude que nous ne pouvons pas nous substituer à l’expertise humaine des experts. Nous souhaitons leur apporter toutes les billes pour être de plus en plus précis.» complète-t-il.

L’intelligence collective au service de l’environnement : il est encore temps de rejoindre le projet

Aujourd’hui animé par une dizaine de bénévoles, le projet Kabaun recrute et construit des groupes projet neutre et indépendant avec de volontaires prêts à s’engager afin de structurer sa démarche. En plus de mettre à disposition un outil open source, ils développent également une plateforme open data transparente qui partagera les études et les calculs de l’impact environnemental présents dans le domaine public.

« Nous ne cherchons pas que des experts climats mais également des citoyens prêts à s’engager dans le développement des outils et dans la stratégie de communication afin que la plateforme puisse être utilisée par le plus grand nombre. Le projet n’a pour limite que notre capacité à diffuser un message auprès du plus grand nombre. Nous ouvrirons plusieurs étapes de recrutement. Les recrutements restent ouverts jusqu’à fin juin. D’ici là, la phase d’accélération de l’incubateur nous permettra de construire une stratégie afin de lever des fonds pour financer les recherches et l’hébergement de la plateforme. » conclut Nicolas Soum.

Pour en savoir plus sur Kabaun et rejoindre l’aventure, rendez-vous ici.

A propos de l’incubateur

Depuis 2015, l’incubateur de MBS a accompagné plus de 600 projets de création d’entreprise.

Pré-incubation, incubation, coaching personnalisé : il est ouvert à tous les étudiants ou alumni de l’école qui ont un projet entrepreneurial avec une dimension responsable.

Si vous souhaitez bénéficier de cet accompagnement, vous pouvez contacter l’incubateur :  ec@montpellier-bs.com

Un classement international exigeant et prestigieux

Chaque année, le Classement de Shanghai mesure, par spécialités académiques, la performance de la recherche des établissements d’enseignement supérieur dans le monde entier.

Ce palmarès analyse 54 disciplines différentes réparties en cinq grands domaines : sciences naturelles, sciences de l’ingénieur, sciences de la vie, sciences médicales et sciences sociales.

Ce classement de renom prend en compte les publications des Enseignants-Chercheurs, mais aussi les rangs des revues scientifiques dans lesquelles elles paraissent, ainsi que les prix obtenus pour leurs recherches.

Montpellier Business School progresse en 2021 au sein du classement

En 2020, MBS était parvenue à intégrer trois des classements thématiques. Cette année, elle s’enregistre dans quatre classements, en marquant une progression significative dans certaines disciplines :

• Business Administration : 5^e au niveau national (+7 places), 101e ex-aequo au niveau mondial
• Management : 15^e au niveau national (+4 places), 301^e place ex-aequo au niveau mondial
• Economie: 8^e au niveau national, 151e ex-aequo au niveau mondial (maintien)
• Finance : MBS intègre le classement directement à la 7^e place nationale, 151^e place ex-aequo au niveau mondial.

A noter également : MBS est la première école de France sur le critère CNCI (Category Normalized Citation Impact), c’est-à-dire l’école française dont les travaux sont les plus cités dans d’autres articles de recherche, un élément qui montre la pertinence et l’impact des travaux de la Faculté de MBS.

Pour découvrir l’ensemble du classement par thématique, cliquez ici.

Le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche publiait le 20 mai dernier les résultats de son enquête sur l’insertion des diplômés par la voie de l’alternance sur le marché du travail. 

En quelques mots :

Des taux d’insertion supérieurs pour les alternants (+4 à 6 points vs ceux des diplômés en formation initiale sous statut étudiant)

Des emplois plus stables et plus qualifiés 

Des rémunérations supérieures après l’alternance (surplus salarial de 200 à 300€ nets mensuels par rapport aux diplômés en formation initiale sous statut étudiant)

Des niveaux d’adéquation et de satisfaction plus élevés

A MBS, l’alternance est à la fois un outil performant pour la professionnalisation des étudiants mais également un levier puissant de sa politique d’ouverture sociale.

Pionnière en la matière parmi les Grandes Ecoles, elle confirme aujourd’hui les tendances révélées par l’enquête avec un taux d’emploi jeunes diplômés de 95%. 

Pour découvrir l’intégralité des statistiques de l’enquête, vous pouvez consulter la note du Ministère ici.

Le programme d’accélération d’un incubateur responsable

Depuis 2015, l’incubateur de MBS a accompagné plus de 600 projets de création d’entreprise.

Pré-incubation, incubation, coaching personnalisé : il est ouvert à tous les étudiants ou alumni de l’école qui ont un projet entrepreneurial avec une dimension responsable.

Ce vendredi 21 mai, MBS Entrepreneurship Center lançait son programme d’accélération auprès de cinq startups sélectionnées pour leur projet, leur potentiel, et leur avancement afin d’accélérer leur développement à travers un accompagnement individualisé et intensif.

Durant les six semaines du programme, l’incubateur proposera aux cinq startups sélectionnées un coaching intensif avec des ateliers et des séminaires sur mesure qui visent à optimiser la stratégie de vente, renforcer leur structure, élargir leur réseau et préparer une levée de fonds.

« Entre 60 et 75% des startups disparaissent après cinq ans. L’une des principales raisons est que 90% des dirigeants n’ont pas le temps de se concentrer sur leur stratégie et de prendre du recul. C’est l’objectif de ce dispositif intensif : accompagner ces entrepreneurs dans leur stratégie, les aider à résoudre leurs problématiques à l’aide d’une équipe d’experts, et leur faire rencontrer le 29 juin des investisseurs, des banques et d’autres incubateurs de renom à l’occasion d’un Demo Day qui peut déboucher sur de nouvelles opportunités pour eux. » explique Dr. Annabelle Jaouen, Directrice de MBS Entrepreneurship Center.

Qui sont les participants ?

Parmi les 144 porteurs de projets accompagnés par l’incubateur en 2020, cinq ont été sélectionnés pour participer à ce programme d’accélération. Chaque semaine, vous découvrirez sur le site, les réseaux Linkedin et Instagram de MBS les portraits de ces entrepreneurs et de leur projet responsable.

En attendant leur présentation complète, voici un avant-goût des cinq startups accompagnées :

• Kabaun pilotée par Nicolas Soum. Il s’agit d’une plateforme à destination des entreprises qui souhaitent s’engager dans la protection de l’environnement, permettant de mesurer rapidement son empreinte carbone et suivre son impact environnemental.
• Renov’ Protein pilotée par Guillaume Regnery, qui travaille sur un élevage industriel d’insectes à des fins alimentaires, un concept fondé sur l’économie circulaire qui a pour mission de réduire le gaspillage alimentaire.
• Transeo pilotée par Grégoire Noyer et Romain Rossi. C’est une plateforme Saas proposant des services de rédaction optimisée pour le web, de traduction et récemment d’achats de liens.
• Hodygé pilotée par Amaury Courlet. Le diplômé travaille sur la création et la vente de produits cosmétiques et healthcare 100% naturels, reposant sur un ingrédient unique à découvrir lors de son portrait. Le projet inclut des ingrédients, matériaux et partenaires s’engageant dans une démarche environnementale stricte.
• Persil & Romarin pilotée par Mayana Elbaz & Mathieu Piron-Lafleur. Ce binôme crée une plateforme digitale à destination des particuliers souhaitant mieux manger, et propose un service de chefs certifiés qui se déplacent à domicile pour préparer en une fois les repas de la semaine, personnalisés, à base de produits propres et issus de l’agriculture responsable.

Pour les accompagner, 8 coachs et plus d’une dizaine de partenaires seront au rendez-vous. Merci à Melies Business Angels, Ad’Occ Région Occitanie, BIC de Montpellier, Créalia, Fondation MBS pour l’égalité des chances, Groupe Géométrie variale, Infinity, Joloha, MBS Invest, Milandre Finance Group, Réso IP+ , Réseau Entreprendre, le Village by CA et Wedogood.

Publié ce mardi 18 mai 2021 par Le Parisien Etudiant, le palmarès des Grandes Ecoles de Commerce confirme la reconnaissance de l’ADN de MBS. Avec une méthodologie adaptée à la crise, le quotidien publie dix classements thématiques pour mettre en valeur les spécificités de chaque école.

Dans ces classements, MBS fait la différence sur les axes fondamentaux de sa stratégie : « Ces très bons classements valident la stratégie de MBS et confirment la reconnaissance de son ADN : excellence académique et ouverture sociale » témoignage Bruno Ducasse, Directeur Général de MBS.

Grâce aux dispositifs solides du Career Center pour accompagner la professionnalisation des étudiants par l’alternance durant la crise, ou encore la création de fonds de solidarité suite aux confinements successifs pour venir en aide aux étudiants, l’école se démarque et enregistre : 

• la 1^ère place pour l’apprentissage / alternance
• la 2^nde place pour sa politique sociale
• la 7^ème place pour sa recherche
• la 8^ème place pour sa pédagogie

Pour découvrir les classements thématiques du Parisien Etudiant, rendez-vous ici.

Besoin d’un récap’ ? Tous les classements de MBS sont disponibles ici.

Reprendre l’activité familiale est une aventure très particulière, qui plonge ses racines dans l’histoire de la famille. Diplômée du Programme Grande Ecole en 2020, Alessandra a choisi de relever ce défi, en reprenant avec son compagnon Grégory, l’exploitation oléicole Calabraise de ses grands-parents. Accompagnée par l’incubateur de MBS, elle allie savoir-faire ancestral et nouvelles compétences digitales pour élaborer une huile d’olive de qualité extra vierge, biologique, et plébiscitée par des chefs étoilés.

Profité de son parcours à MBS pour renouer avec ses racines

D’origine franco-italienne, Alessandra a rejoint le programme Grande Ecole de MBS en 2017. « J’ai profité de l’opportunité d’effectuer une année d’échange universitaire à l’étranger pour partir au nord de l’Italie à l’Università degli studi di Padova. Cette année d’échange m’a permis de découvrir l’Italie autrement, de perfectionner mon italien, et surtout de me rapprocher géographiquement de mes grands-parents, qui résident à Palmi dans la région de Calabre au sud de l’Italie » explique la jeune entrepreneure.

En dernière année, Alessandra opte pour l’alternance, pour développer ses compétences digitales au sein d’une ESN. « Après mon échange en Italie, j’avais déjà l’idée de reprendre l’exploitation de mes grands-parents. Cela fait presque un Siècle que notre famille cultive l’olive, sans la commercialiser. C’est la raison pour laquelle j’ai souhaité me lancer dans ce défi entrepreneurial : pour faire vivre mes origines, ces terres et l’authenticité du produit » complète Alessandra.

De l’incubateur à la première bouteille d’huile d’olive plébiscitée par quatre Chefs étoilés

En mars 2020, accompagnés par un coach expert de l’incubateur, Alessandra et Grégory étudient le marché et construisent leur Business Plan. « Cette huile d’olive certifiée n’a jamais été exploitée commercialement. Même si le produit a presque 100 ans, il fallait tout imaginer, du processus d’obtention pour lequel nous avons pu nous appuyer sur les compétences en ingénierie de mon frère, jusqu’à la commercialisation, en passant par le Packaging. »

En novembre 2020, le couple procède à la récolte et parvient à produire 2000 bouteilles de Lucangeli : une huile d’olive biologique et certifiée : « Nous avons construit le nom de cette huile à partir de celui de nos deux mères, et nous avons veillé à respecter scrupuleusement le savoir-faire artisanal et la passion de nos ancêtres. Cela a abouti à une première production extra vierge, c’est-à-dire extraite à froid, sans aucun défaut organoleptique et avec un taux d’acidité inférieur à 0,8%. » confie Alessandra.

Grâce à ces bons résultats, Alessandra a obtenu la recommandation de quatre chefs étoilés, garants de l’excellente qualité du produit, désormais commercialisé en France.

Quelles sont les prochaines étapes pour Lucangeli, l’huile d’olive Calabraise ?

Aujourd’hui la jeune entreprise a mis en place un site e-commerce, destiné à la fois aux particuliers et aux professionnels : https://www.lucangeli.fr/fr/

« Maintenant que la qualité du produit est certifiée, nous allons pouvoir développer notre réseau de revendeurs auprès des épiceries fines et des restaurateurs. Nous avons également pu signer avec un caviste, donc nous pensons pouvoir élargir ce réseau BtoB. Enfin du côté de l’exploitation, la prochaine saison de récolte sera en novembre. Nous aimerions produire une seconde huile de qualité équivalente mais en exploitant une autre variété d’olive : la Carolea. »

Pour suivre leurs aventures, rendez-vous sur leur site ou sur instagram :

• https://www.lucangeli.fr/fr/
• https://www.instagram.com/lucangeli.it/

Pourquoi MBS a-t-elle opté pour ce changement ?

Pour les concours visant une intégration en septembre 2022, MBS rejoint la banque d’épreuves ECRICOME pour réaliser l’intégralité des recrutements en France de son Programme Grande Ecole.

« En cette période de changements, notamment liés à la réforme du baccalauréat et des classes préparatoires, ce nouveau pas en avant donnera l’opportunité à MBS de s’impliquer dans le processus d’évolution des modalités de concours ainsi que dans la conception collégiale des sujets au sein de la banque d’épreuves. » explique Bruno Ducasse, Directeur Général de Montpellier Business School.

« Rejoindre ECRICOME est un choix stratégique fort pour Montpellier Business School dans le cadre de son plan de développement 2020-2025 » complète le Directeur. « La trajectoire de la banque ECRICOME ces 5 dernières années est en totale adéquation avec nos aspirations de développement et de coopération avec des écoles fortes et ancrées dans leurs territoires ». MBS rejoint ainsi 4 de ses paires : NEOMA Business School, l’EM Strasbourg, KEDGE Business School et Rennes School of Business.

Concours prépa ou admissions sur titre : qu’est-ce que cela change pour les futurs candidats ?

·       Concours prépa :

Les étudiants issus des classes préparatoires souhaitant rejoindre MBS à la rentrée 2022 présenteront désormais les épreuves des concours ECRICOME PRÉPA et ECRICOME LITTÉRAIRES.

Les cinq écoles réunies au sein de la banque permettront de proposer 28 % des places ouvertes au SIGEM mais aussi de partager des ambitions et des objectifs communs.

·       Admissions sur titre et concours FIA

Pour les admissions parallèles, MBS confie également à ECRICOME ses recrutements d’Admission sur titre en Licence 3 et en Master 1, tant pour la filière classique des admissions sur titre que pour les places spécifiquement dédiées à l’apprentissage (Concours FIA 1 et 2), par l’intermédiaire des concours ECRICOME TREMPLIN 1 et TREMPLIN 2, 2022.