Ce 2 mars, le « Stage Dating » de MBS permettra aux entreprises de la région de trouver leurs prochains stagiaires !

Grâce aux stages courts dits « découverte action », nos étudiants de 1ère année des programmes Bachelor et Master peuvent chaque année découvrir le monde de l’entreprise. De mai à août prochain, plus de 650 étudiants vont ainsi expérimenter le monde professionnel et s’enrichir de nouvelles compétences. Dans le but de favoriser le rapprochement entre les entreprises et les étudiants en recherche de stage, Montpellier Business School organisera le 2 mars prochain la 3e édition de son « Stage Dating ».
« Durant toute une journée, plus de 80 entreprises de la région Occitanie proposeront des stages exclusivement réservés aux étudiants en 1ère année de Bachelor et Programme Grande Ecole qui sont à la recherche d’un stage court de 2 à 3 mois », annonce Mme Morgane Pailhès, responsable du service stages et emplois de MBS. « Grâce à un format ludique et convivial, les étudiants auront 15 minutes pour pitcher et convaincre le recruteur présent. Avec une nouveauté cette année : la Coaching Room ! Dans cette salle spécialement aménagée, les étudiants pourront rencontrer nos conseillères stages pour préparer les entretiens à venir mais aussi débriefer les entretiens qu’ils viendront de passer, le tout dans un climat propice à la détente entre les entretiens. Enfin, je tiens à remercier à l’avance l’association étudiante Job’Serv qui sera présente pour nous aider dans l’organisation et le déroulement de la journée ».
Avec des étudiants issus de toutes les régions de France et du monde, cette journée leur permettra aussi d’appréhender la réalité économique du territoire régional. « Notre tissu économique a des besoins réguliers et constants et il reconnait aussi la pertinence de la formation et les qualités de nos étudiants. Les entreprises de notre territoire nous ont expliqué qu’elles avaient souvent besoin de stagiaires sur des courtes périodes mais pas souvent le temps de mettre des annonces pour recruter », poursuit Morgane Pailhès. « Nous attendons cette année encore des entreprises issues de très nombreux secteurs comme l’énergie, la distribution, l’audit/conseil, la banque/finance, les NTIC, les services/transports ou encore le tourisme et les loisirs, et les remercions là aussi pour leur confiance et leur participation ».
De nouveaux outils pour faciliter la recherche de stage
Outre cette journée de « Stage Dating », les étudiants de MBS peuvent aussi compter sur deux nouveaux outils mis en place par le service stages et emploi de l’école. « Depuis début janvier, tous les étudiants mais aussi les diplômés de MBS ont accès gratuitement à Do You Buzz, une plateforme de création de CV en ligne qui permet de faire facilement un CV tout en augmentant sa visibilité sur le web grâce à un référencement optimisé dans Google. Ils ont le choix parmi plusieurs templates pour trouver celui qui correspond le mieux à leur personnalité et à leur secteur d’activité. Le candidat peut aussi éditer son CV en PDF et bien sûr l’envoyer en relecture à sa conseillère stage qui va pouvoir apporter des suggestions et modifications directement en ligne. Cela permettra des échanges plus fluides et plus rapides ».
« La seconde nouveauté, c’est la création d’un groupe LinkedIn pour nos étudiants en recherche ou en cours de stage en entreprise. L’objectif, outre la diffusion d’offres de stage ou d’emploi, est de leur permettre de communiquer entre eux et avec nous sur des opportunités, de partager des offres exclusives mais aussi de poster des annonces de recherche de stage. C’est aussi un moyen pour certains étudiants de MBS d’être en contact alors qu’ils ne se sont jamais rencontrés. Et bien sûr, nous y posterons aussi des conseils et bonnes pratiques pour trouver un stage, réussir son intégration etc. », conclut la responsable du service stages et emploi de MBS.
Pour plus d’infos, contactez le Service Stages et Emplois de Montpellier Business School : stages@montpellier-bs.com ou 04 67 10 25 01
Martin : de l’Autriche à la France pour se préparer à l’insertion professionnelle internationale dans le secteur touristique avec le MSc in International Business de MBS !

Pour le définir en une phrase, Martin est un polyglotte passionné de voyages. Après avoir obtenu un diplôme au Collège des études du tourisme et des loisirs en Autriche, son pays d’origine, il est parti au Royaume-Uni à la Manchester Metropolitan University afin de suivre un programme Bachelor in Arts « Hospitality with Events Management ». Pour compléter son parcours et valoriser son CV, c’est en France qu’il a ensuite décidé de poursuivre avec le Master of Sciences in International Business de MBS, qui lui permet de compléter sa formation et de profiter d’un stage long avant de se lancer sur le marché de l’emploi !
Si Martin a choisi le MSc in International Business, c’est d’abord pour acquérir de nouvelles compétences en management, marketing et stratégie business appliqués à l’environnement international, des aspects qu’il n’a pas eu l’occasion d’approfondir dans ses précédentes formations. « Comme j’ai déjà beaucoup étudié le secteur du tourisme « pur », je voulais choisir une formation qui soit complémentaire et qui corresponde bien sûr à mon projet professionnel qui est de travailler dans le développement international d’un établissement touristique. Je parle déjà couramment le français et l’anglais mais avec ce MSc, c’était en plus l’occasion de perfectionner mon niveau dans ces deux langues, surtout avec du vocabulaire plus technique et professionnel. »
Aujourd’hui, Martin vient d’entamer son deuxième semestre de cours et nous confie ses impressions sur le cursus : « Pour moi, l’atout majeur de ce MSc est vraiment la qualité de la préparation à l’insertion professionnelle internationale ! Les cours et les mises en pratique sont vraiment conçus de manière à nous garantir une insertion professionnelle rapide en nous donnant toutes les clefs pour devenir des managers compétents ou bien monter sa propre affaire. Au premier semestre, le cours « International Business Model Developer » du Pr. Paul Martin nous a appris à approfondir notre réflexion sur notre projet professionnel et à mieux nous orienter. De nombreux entrepreneurs et directeurs d’entreprises sont venus témoigner de leurs expériences, ce qui nous a éclairés sur nos choix de carrière potentiels. Ce semestre, nous allons devoir beaucoup nous investir dans le cours « Entrepreneurial Project » qui nous confronte à la création d’entreprise innovante avec les étudiants des 2 autres MSc de MBS »
Et à partir de juin, ce sera déjà l’heure du stage de 4 à 6 mois, que Martin compte aussi effectuer en France ! « Je voudrais rester en France pour mon stage car la France est toujours la première destination mondiale, devant les Etats-Unis ! Donc avoir une expérience professionnelle ici ne peut être que positif. L’idéal serait de trouver dans le département marketing d’un complexe hôtelier international. Je pense que parler 7 langues dont 5 couramment est un atout qui peut me différencier d’autres profils dans ce secteur et donc je suis optimiste. »
Avis aux diplômés et aux entreprises du secteur. Si le parcours et le profil de Martin vous attire vous pouvez le contacter : m.bergmueller@montpellier-bs.com
En alternance, de l’import de minéraux aux bonbons chez Haribo, le parcours d’Anthony issu du concours Formation Initiale Alternée 2ème année !

Après un DUT techniques de commercialisation et un an d’alternance dans une entreprise d’import de minéraux BtoB dans le cadre d’un Bachelor sur Avignon, Anthony a passé le concours Formation Initiale Alternée 2 pour intégrer le programme Master de MBS en 2ème année par la voie de l’apprentissage. Depuis fin septembre 2016, il est gestionnaire achats chez notre grand partenaire HARIBO et nous raconte son quotidien « de l’autre côté des bonbons » !
« J’ai voulu rejoindre MBS pour son expérience dans l’alternance. D’anciens étudiants m’ont d’ailleurs conseillé l’école pour cet aspect alors je n’ai pas hésité ! J’ai pu passer le concours spécifique à cette voie (FIA2) et suite à mon admission, j’ai été tout de suite guidé par une conseillère alternance, Mme Valérie Garcia, qui m’a aidé à refaire mon CV pour l’adapter au poste que je cherchais, m’a préparé aux entretiens et m’a envoyé de nombreuses offres d’entreprises. » explique Anthony. « C’est aussi grâce à la plateforme d’accès aux offres alternance mise en place par l’école que j’ai trouvé mon contrat chez Haribo ! Je remercie donc vraiment l’équipe alternance pour leur super travail d’accompagnement car je me suis vraiment senti soutenu dans ma recherche.»
Aujourd’hui, Anthony est en contrat de deux ans comme gestionnaire achats chez le roi du bonbon, qu’il a connu et tellement apprécié étant enfant – et adulte ! A son poste, il est en charge du périmètre « cartons » qui inclut autant les rangements pour le transport de marchandises que les présentoirs ou comptoirs de la marque en boutique. « Mon rôle est de m’occuper des demandes d’achats venant du service approvisionnement pour tout Haribo France. Je gère les quantités, les délais, et j’interviens dans la faisabilité technique notamment sur les prototypes et développement de produits. Je suis l’intermédiaire entre le fournisseur et le chef de produits. C’est une chance de pouvoir observer le fonctionnement d’une aussi grande entreprise et avoir son rôle à jouer !»
Des journées certes chargées en travail mais aussi en bonbons ! « Le rythme est assez soutenu, on n’a jamais le temps de s’ennuyer ! Au début, c’était même un peu dur de suivre le rythme mais j’ai dû m’adapter très vite ! Et les process des achats étant différents d’une entreprise à une autre, j’ai donc dû m’adapter aux spécificités de Haribo. Heureusement, l’ambiance est excellente et mon tuteur, M. Sebastien Gondon, est toujours très disponible pour moi ! J’apprends aussi énormément au quotidien dans des domaines qui m’étaient inconnus comme la logistique, les normes de transport, le sourcing, le juridique… car finalement, les achats c’est un secteur lié à beaucoup d’autres. En fait, ce n’est pas du tout ce à quoi je m’attendais mais c’est une bonne surprise ! Et puis, l’autre petite surprise c’est d’avoir droit à 2 kilos de bonbons par mois (rires) mais pour tout vous dire, je les donne à mes amis car ils en mangent plus que moi ! »
Merci à Anthony pour ce témoignage et une chose est sûre, on reviendra vite prendre des nouvelles (et quelques bonbons) !
A fond la forme ! Les Vitalos de MBS ont besoin de votre soutien pour que leur projet remporte le business game Decathlon Les Coéquipiers" !

Marie, Gaël et Thomas sont étudiants en programme Master de MBS et alternants dans différents magasins Decathlon. Cette année, ils ont décidé de tenter leur chance au business game « Les Coéquipiers » lancé par notre Grand Partenaire ! Leur but ? Aider une association sportive, mais aussi promouvoir leur école, leurs magasins et leurs sports de prédilection (tous différents) en proposant un produit qui révolutionne le quotidien des sportifs : l’EASY WASH 100 ! Sur plus de 330 équipes participantes, ils font déjà partie des 20 équipes sélectionnées en interne. Dès aujourd’hui et jusqu’au 28 février, les votes sont ouverts pour soutenir leur projet, alors ils comptent sur vous !
« Nous formons une équipe de 4 avec Gauthier, alternant chez Décathlon lui aussi et étudiant dans une autre école. Donc notre force, c’est aussi notre diversité ! » commence Marie. « Déjà, nous travaillons tous dans des magasins Decathlon différents ! Et nous exerçons des sports différents : le basket pour Gaël, le football pour Thomas, les sports de glisse pour Gauthier et moi, c’est le crossfit ! Pour trouver une bonne idée d’innovation dans le sport, nous avons donc essayé de trouver un besoin que nous rencontrons tous dans nos activités respectives ».
Et ce qu’il en est ressorti peut paraître… assez étonnant ! « Finalement, nous avons mis le doigt sur un problème que peuvent rencontrer tous les sportifs après l’effort… la douche ! Plus précisément, le manque de gel douche », explique Marie. « Nous nous sommes rendus compte que nous avons tous déjà vécu ce moment de solitude lorsqu’après une séance de sport, on réalise que notre bouteille de gel douche est vide ou que nous l’avons oublié chez nous et que nos amis aussi ».
Leur idée, c’est donc « l’EASY WASH 100 », une poche intérieure au sac de sport qui se place directement sur les modèles « EASY BAG » de Decathlon. « La poche contient un récipient qui peut se charger avec n’importe quel gel douche et elle se détache facilement. Son système de ventouse permet de la fixer devant nous pendant la douche. Et l’astuce pour ne plus jamais oublier son gel douche, c’est que sans produit, la poche du sac ne se referme pas ! »
Le 17 janvier dernier, leur équipe baptisée Les Vitalos a été sélectionnée pour son projet parmi 330 candidatures au total, et elle est donc demi-finaliste ! « C’était une belle surprise d’apprendre ça ! Mais c’est vrai que nous avons beaucoup travaillé sur ce projet. On a commencé par une analyse concurrentielle afin de vérifier qu’un produit similaire n’existait pas déjà, puis nous avons réalisé une étude de marché et enfin un business model ! Nous sommes tous très fiers de cette première réussite. Maintenant, nous comptons sur la solidarité de tous les étudiants de MBS et leur réseau pour nous soutenir en votant pour notre projet dès aujourd’hui ! En plus, remporter ce business game nous permettrait de faire gagner 8000€ à la jeune association sportive française que nous avons décidé de soutenir : les War Eagles, qui veulent faire mieux connaître le football américain en France. On est donc « à fond la forme et l’innovation », non ? »
Alors pour aider Marie, Gaël, Thomas et Gauthier à accéder à la finale, votez pour leur projet en cliquant ici.
Proposer un plan de communication efficace et créatif pour l’événement Vitalsport du magasin Decathlon Odysseum, tel est le défi des étudiants Master 1 pour la 4e édition du projet Mark Up !

Encadrants du projet Mark Up pour la 4e année consécutive, les professeurs Paul Chiambaretto et Cédrine Joly ont présenté une nouvelle problématique à plus de 600 étudiants M1 du Programme Grande Ecole de MBS. Cette année, c’est notre grand partenaire Decathlon qui s’est prêté au « jeu » par l’intermédiaire de son magasin montpelliérain d’Odysseum. Pour l’occasion, M. Yann Philippe, directeur du magasin, et Mme Emilie Piperakis, directrice adjointe, étaient présents pour répondre aux questions des étudiants.
Après Orchestra, Dell et Eminence, c’était donc au tour de Decathlon, grand partenaire de Montpellier Business School, d’expérimenter le projet Mark Up et de recevoir les recommandations des étudiants français et internationaux actuellement en Master 1. Lancé en 2013, ce projet pédagogique de mise en situation a pour but de faire réfléchir dans le périmètre global de la fonction marketing BtoB ou BtoC, à partir d’un axe de réflexion réel.
« Cette année, ils ont eu deux jours et demi pour travailler et proposer un plan de communication efficace et créatif pour l’événement Vitalsport de Decathlon Odysseum à Montpellier », explique le professeur Cédrine Joly. « L’objectif ambitieux est d’atteindre les 35000 visiteurs sur un week-end qui a pour but d’initier à la pratique de nombreux sports. L’événement aura lieu en septembre et la direction du magasin commence justement à réfléchir maintenant au plan de communication ».
« L’objectif était de plancher en groupe sur une problématique réelle d’entreprise et appliquer les enseignements de marketing stratégique et opérationnel », poursuit le professeur Paul Chiambaretto. « L’idée de départ de Mark Up est de travailler avec une entreprise partenaire pour mobiliser les étudiants sur une problématique. Ils se retrouvent confrontés à un triple challenge. Tout d’abord au niveau du temps car ils n’ont que 2 jours et demi pour rendre une présentation d’une trentaine de pages. Ensuite, il y a la créativité car le but est de proposer des solutions innovantes. Enfin, il y a le challenge professionnel car leurs solutions doivent être réalistes et budgétées pour que l’entreprise puisse les mettre en application si elle le souhaite ».
Cette année, 62 groupes étaient donc en concurrence « comme s’ils étaient 62 agences conseil qui gagneraient un marché », ajoute Mme Cédrine Joly. « D’un point de vue pédagogique, Mark Up leur permet de travailler sur des objectifs précis que sont l’identification d’une problématique, les recommandations innovantes, le travail en groupe et la communication de ses solutions à l’oral et à l’écrit. Nous les coachons et nous leur donnons les outils et concepts de marketing au fur et à mesure qu’ils avancent dans leur projet. C’est l’exemple du “learning by doing” ou apprentissage par la pratique. En gros, comme ils sont confrontés à une problématique hyper concrète, ils ont une posture d’écoute attentive et se sentent fortement impliqués en appliquant les outils à un cas réel en temps réel ».
Durant ces deux jours et demi d’analyse et de réflexion, les Master 1 ont également pu compter sur la présence et les informations données par Gaël, étudiant M1 alternant chez Decathlon Odysseum qui a pour mission d’être le relai entreprise sur cet événement. Une fois les 10 meilleurs projets retenus, un showroom a été organisé sur le campus pour que chaque groupe puisse présenter son projet sur son stand. Alors félicitations aux groupes 9, 20 et 61 qui ont terminé sur les 3 premières marches du podium !
Lancement des séminaires alternance ! Près de 350 étudiants de MBS candidats à l’alternance en 2017-2018 sont attendus pour booster leur recherche face au marché de l’alternance

Avec plus de 1100 alternants Master et Bachelor, Montpellier Business School est la 1ère grande école de management en matière d’alternance, puissant levier d’égalité des chances et de diversité. Pour préparer au mieux les étudiants candidats à l’alternance à la rentrée prochaine, le service alternance de Montpellier Business School organise, à Paris et à Montpellier, 3 séminaires pour démarrer au mieux ses recherches.
Pour réussir l’intégration et le suivi des alternants, Montpellier Business School et son équipe de conseillers alternance vont notamment accueillir près de 350 étudiants durant 3 séminaires courant mars. « Ces séminaires permettent aux étudiants d’affiner leur projet professionnel, de se projeter sur la réalité du marché et de s’enrichir du parcours des autres et de leurs bonnes pratiques dans le cadre de la recherche d’une alternance », explique Mme Laurence Flinois, Responsable alternance. « Bien sûr, ces séminaires sont un complément aux rendez-vous en face à face avec les conseillers ».
« Cette année, nous attendons 350 participants entre Montpellier et Paris », poursuit Mme Aurélia Grino, conseillère alternance depuis 3 ans à MBS. « Nous allons à la rencontre de nos étudiants, certains sont en stage à Paris, d’autres en stage sur Montpellier ou en cours sur le campus. Ces séminaires marquent réellement le début de l’accompagnement dans le cadre de la recherche d’une alternance, nous comptons sur une grande participation de leur part ».
« Est-ce que mon projet de départ est réaliste ou non par rapport à l’alternance ? Voilà la question que doivent se poser les étudiants car à ce stade, nous ne serons pas encore dans la phase du recrutement mais dans celle de la construction du projet alternance », ajoute Mme Aurélia Grino. « Sur chaque séminaire, nous aurons notamment des échanges avec nos « ambassadeurs » étudiants M2 en alternance et jeunes diplômés répartis selon leur domaine d’activité : RH, finance, commerce, marketing/communication et manager grande distribution / achats logistiques. Le but est d’avoir de l’interaction et des échanges entre candidats et ambassadeurs ».
Outre ces rencontres, ces séminaires permettront aussi aux étudiants de participer à des workshops spécialisés. « Comment appréhender LinkedIn, cibler les opportunités, réussir son entretien de recrutement, valoriser un contrat d’alternance auprès d’une entreprise… Tous ces ateliers seront axés sur de la mise en pratique. Cette première approche permet aux étudiants de lancer officiellement la recherche avec des outils concrets et pour nous, les conseillers alternances, de nouer des premiers contacts et échanges avec eux ».
Sur les 3 séminaires, plusieurs consultants experts de notre grand partenaire Adecco seront présents pour recevoir les étudiants lors d’une simulation d’entretien de 30 minutes. « Attention, les places seront limitées sur inscription ! », termine Aurélia Grino.
Pour toute question ou si vous vous êtes déjà positionnés sur l’alternance pour la rentrée 2017-2018, contactez le service alternance : apprentissage@montpellier-bs.com
« Partir étudier à l’étranger doit faire sens dans son projet de vie » Nancy Brieux, étudiante Bachelor en année professionnalisante en Australie!

Après un bac ES, Nancy a fait le choix de l’international avec le programme Bachelor de MBS. Après deux années sur le campus et à tout juste 20 ans, c’est à l’autre bout du monde, en Australie, qu’elle est partie réaliser son année professionnalisante ! Actuellement Assistante Manager dans un complexe hôtelier réputé du groupe Accor, elle s’apprête pourtant déjà à faire un nouveau voyage, cette fois pour effectuer sa dernière année au sein de l’Université Partenaire ICESI de Cali, en Colombie où elle compte d’ailleurs rester pour son stage de fin d’études dans le secteur de l’hôtellerie et du tourisme.
« A la sortie du lycée, je ne savais pas exactement vers quelle carrière m’orienter. Mais je savais que je voulais inclure l’international dans mon choix d’études. J’ai donc choisi le programme Bachelor de MBS qui correspondait en tous points à ce que je cherchais : un cursus global, complet, avec différentes possibilités d’expatriation. Et grâce à la politique d’égalité des chances de l’école, j’ai obtenu une bourse d’excellence, ce qui a beaucoup influencé mon parcours ! »
Nancy est actuellement en stage à l’étranger pour son année professionnalisante, un rêve d’enfant qui se réalise… « A MBS, on m’a toujours poussée à donner le meilleur de moi-même, et à ne pas avoir peur de parler anglais même si je partais avec un niveau assez faible. Je remercie donc sincèrement Chris Butler et Pamela Goodman, mes professeurs, qui ont toujours mis en avant mes points forts et mes progrès plutôt que mes faiblesses ! Grâce à eux, je me suis sentie capable de partir à l’autre bout du monde, seule, dans un pays anglophone qui me faisait rêver depuis toujours ! » Actuellement Assistante Manager à Sydney dans un complexe hôtelier, elle gère une équipe de 35 personnes ! « Je participe à l’organisation générale de l’établissement. Je vérifie la bonne gestion de la structure, je m’occupe des feedback clients et des rapports de productivité des employés. Je fais aussi le point au quotidien avec eux sur les arrivées et les départ, et les priorités de la journée. C’est un gros challenge car j’ai réalisé mes précédents stages en France et je manageais 7 personnes au maximum. Là, c’est un grand saut en avant ! En plus le personnel de l’hôtel comprend 21 nationalités, ce qui oblige à s’adapter à tous types d’accents. C’est dur au début, mais finalement la multiculturalité nous donne confiance en nos propres capacités. Aujourd’hui j’ai un niveau quasiment courant en anglais et le vocabulaire spécifique de l’hôtellerie-restauration. »
L’hôtellerie est un métier d’exigence. Pourtant ses journées bien chargées n’ont pas empêché Nancy de réaliser le dossier de candidature indispensable pour être affectée en Université Partenaire Etrangère pour sa dernière année de Bachelor ! « Une fois qu’on a goûté à l’expérience internationale, on ne veut plus revenir ! (rires) J’ai candidaté pour partir en Colombie l’an prochain. Dans le dossier demandé, il fallait envisager son projet professionnel, parler de ses expériences à l’étranger, mais aussi réaliser une mini étude de marché de chaque pays qui nous intéressait et qui faisait partie de nos choix. Le moins que l’on puisse dire, c’est que MBS ne nous laisse pas partir dans le flou ! Dès le début, on prend donc la mesure de l’investissement que cette expérience représente. La demande d’échange universitaire doit être réfléchie et faire sens dans notre parcours. »
A l’issue du jury d’affectation, Nancy a obtenu son premier choix, l’ICESI à Cali (Colombie) ! « Je suis ravie ! Je vais pouvoir constater et analyser par moi-même les possibilités d’évolution du tourisme dans les pays émergents de l’Amérique du Sud et poursuivre dans ce secteur. L’université de Cali, très reconnue et bien classée, et qui permet d’organiser son propre emploi du temps, me laissera une certaine flexibilité dans l’organisation de mon temps, pour certes découvrir le pays mais aussi et surtout pour chercher mon prochain stage sur place, dans des établissements haut de gamme comme des Resorts. »
L’aventure internationale de Nancy n’est donc pas prête de s’arrêter, et c’est tout le mal qu’on peut lui souhaiter !
L’horlogerie m’intéressait mais c’est devenu un véritable coup de cœur ! Diplômée Bachelor en 2013, Eleonore Degani est International Social Media Coordinator chez Tissot en Suisse

A 26 ans, Eleonore s’épanouit pleinement chez le célèbre horloger suisse Tissot. Une entreprise qu’elle a découverte à l’occasion d’un stage durant sa 3e année de Bachelor à MBS et qu’elle a intégrée à nouveau sitôt son diplôme obtenu. International Social Media Coordinator, elle nous explique en quoi consiste ce poste où le digital, les réseaux sociaux mais aussi les voyages sont son quotidien.
Depuis 2013, la vie d’Eleonore est réglée comme une montre suisse. Mais pas n’importe laquelle puisqu’elle travaille chez Tissot, leader mondial, en terme de volume, de l’industrie horlogère traditionnelle suisse et célèbre marque du Swatch Group.
« Entre septembre 2011 et août 2012, mon stage de 3e année de Bachelor s’était très bien passé et Tissot m’avait proposé un CDI. J’ai refusé pour terminer mes études à MBS et finalement, j’ai rejoint Tissot dès que j’ai eu mon diplôme quand ils m’ont proposé un poste d’assistante marketing. Je n’ai pas hésité longtemps car l’horlogerie m’intéressait déjà mais c’est devenu un vrai coup de cœur durant ce stage », se souvient Eleonore. « Dès le début j’ai été en charge des réseaux sociaux car à ce moment-là ce media ne faisait pas encore partie de la stratégie marketing basique. De ce fait, il y avait tout à faire. Maintenant, je supervise les 14 pages Facebook locales et je gère quotidiennement les comptes Twitter et Instagram. Au total, sur toutes les plateformes, nous comptons un peu plus de 2.2 millions de followers dans le monde ».
Responsable Social Media à temps plein depuis décembre dernier, Eleonore vit de l’intérieur la digitalisation de son entreprise. « Tout se digitalise et cela se remarque également au niveau des budgets publicitaires. L’avenir est dans la communication digitale. En plus, ce qui est particulièrement intéressant dans ce que je fais c’est que j’apprends à connaitre la communauté de fan Tissot et je sais à l’avance quelle publication va avoir du succès ou non. Nos fans aiment en priorité nos montres mais ils sont également intéressés par nos partenariats sportifs, j’essaye donc de trouver la meilleure manière de communiquer le tout sur nos différentes plateformes Social Media ».
Et c’est essentiellement grâce à ces partenariats qu’Eleonore a le privilège de pouvoir voyager partout dans le monde et de rencontrer des célébrités du monde sportif. « Ça n’arrête pas ! Nous avons plusieurs ambassadeurs sportifs dont joueur de basketball Tony Parker ou le triple Champion du monde de MotoGP Jorge Lorenzo et nous sommes Chronométreurs Officiels dans différents domaines sportifs notamment dans le cyclisme avec le Tour de France, le Basketball avec la NBA, CBA et FIBA, différents tournois de Rugby; RBS6 Nations, Top14, EPCR mais aussi de toutes les courses de MotoGP. C’est très prenant et j’ai le smartphone fixé à la main en permanence car il y a toujours quelque chose à poster, quelqu’un à féliciter, un lancement de produit à gérer ou un nouveau record en chronométrie à annoncer etc. Il faut accepter d’être à 200% dans sa tâche et finalement, c’est un peu comme un sport pour moi aussi », plaisante-t-elle.
« C’est très prenant mais il y a de très bons côtés car je travaille dans un secteur qui me passionne avec un fort aspect international. Pour moi, le but à moyen terme est aussi d’accompagner un peu plus les shootings photo pour nos réseaux sociaux », conclut notre diplômée Bachelor 2013.
Merci à Eleonore pour ce témoignage et pour découvrir le fruit de son travail, rendez-vous sur les réseaux sociaux de la marque Tissot !
Entretien avec Gérard Peccoux : Les réseaux sociaux, des outils de veille porteurs de notoriété"

Ce sont eux qui en parlent le mieux.
Entretien avec Gérard Peccoux, Président de Callimedia, une agence digitale spécialisée dans les solutions de formation en ligne (applications mobiles, learning games, serious games) qui est experte dans le secteur de la santé. Callimedia a reçu le grand trophée de l’Application Mobile Santé de l’année 2014 décerné par DMD Santé, puis le prix de la Santé Mobile 2015 dans la catégorie SEP et maladies neurologies également remis par DMD Santé. La société emploie 37 salariés et réalise un CA de 3,5 M€.
Sur Twitter, votre compte personnel est suivi par 5 679 followers. Vous figurez, en outre, dans le Top 20 des principaux influenceurs dans le domaine de l’e-santé, place attribuée par la revue mensuelle Pharmaceutiques. Quant aux posts que vous publiez sur LinkedIn, ils sont suivis par 2390 personnes. Alors, question : votre entreprise tire-t-elle un bénéfice de votre e-réputation ?
Sans aucun doute. Car mon nom est attaché à Callimedia. Or, quand un dirigeant est classé parmi les principaux référents du secteur d’activité où sa société opère, cette expertise rejaillit sur l’entreprise, en accréditant son professionnalisme. Cet apport de notoriété est un facilitateur d’affaires. Exemple : en me rencontrant pour discuter business, certains prospects me disent qu’ils sont contents de « me voir en vrai ». Car ils suivent mes tweets ou ont lu quelques-uns de mes posts sur LinkedIn. Cette e-réputation brise la glace. On bénéficie d’un accueil plus chaleureux. Avec le recul, je peux dire que Twitter et LinkedIn apportent effectivement des clients à ma société, en plus d’un rayonnement.
Communiquez-vous de la même manière sur Twitter et sur LinkedIn ou avez-vous établi une stratégie de communication distincte pour chacun de ces deux réseaux sociaux ?
J’aborde l’un et l’autre de manière différente, tout en restant sur la thématique de la santé. Sur les réseaux sociaux, il est indispensable d’être identifié, d’être attaché à un secteur d’activité et, donc, de ne pas partir dans tous les sens. Sur Twitter, je n’interviens du coup que sur l’e-santé, sur LinkedIn je traite l’e-santé et le e-learning. Cette différenciation s’est faite avec le temps, en expérimentant. Pour tout dire, je suis inscrit sur Twitter quasiment depuis le début et, à l’époque, personne ne pouvait savoir ce que deviendrait ce réseau social. Voilà aussi pourquoi le compte que j’y ai créé est à mon nom. Autre raison évidente : Callimedia n’est venue que bien plus tard car elle est née en 2010 de la fusion de deux entreprises, Calliscope et Geckomedia. On ne rebaptise pas le nom d’un compte quand il a acquis une notoriété. C’est trop tard.
Quelle différence faites-vous entre Twitter et LinkedIn ?
Twitter, c’est de l’actualité, LinkedIn c’est de l’expertise. Sur le premier, je m’astreins à ne tweeter que des informations vérifiées, validées. Pour cela, j’ai créé des alertes sur Les Échos et Google. Avec le temps, j’ai fini par repérer les sites, les titres et les blogs les plus sérieux et les plus suivis dans mon secteur. J’ai beaucoup observé et je me suis attaché à travailler comme eux. Je suis également abonné à des e-newsletters, des journaux économiques, des revues papier, dont je ne lis principalement que les versions électroniques. Je m’impose également une autre règle : celle de ne jamais m’approprier des informations tweetées par un bloggeur. Celles-là, par respect du travail de l’autre, je ne fais que les retweeter. Enfin, tout cet investissement alimente en partie les posts que j’écris sur LinkedIn, sauf que sur ce réseau-là, je choisis des angles que j’approfondis. LinkedIn est le lieu de l’analyse et de l’expertise.
Vous ne parlez jamais de Facebook. Pourquoi ?
Il y a dix ans, Facebook était uniquement réservé à la sphère privée. Depuis, il s’est ouvert aux entreprises. Du coup, les deux s’y trouvent mêlés, enchevêtrés. C’est compliqué. Facebook est donc, à mes yeux, une sorte d’entre-deux que j’ai du mal à intégrer dans ma vie professionnelle.
Combien d’heures consacrez-vous chaque jour à poster sur Twitter et LinkedIn ?
Je ne compte pas pour une raison simple. Car le temps que je passe sur Twitter et LinkedIn relève de la veille que tout chef d’entreprise se doit de faire pour rester connecter aux évolutions de son secteur d’activité. Si les réseaux sociaux sont très complémentaires des médias traditionnels, ils amènent toutefois un sacré plus : la veille que nous pouvons y faire peut aussi se transformer en notoriété. Pour l’entreprise, c’est tout bénéfice.
Entretien avec Marie-Laure Vie : « L’entreprise doit prendre sa place dans cette nouvelle relation avec ses clients »

Formatrice à Montpellier Business School, conférencière et consultante spécialisée dans la transformation numérique et dans l’usage professionnel des réseaux.
Ca consiste en quoi d’être sur les médias sociaux ?
C’est à la fois de développer des relations d’empathie avec des publics de consommateurs et de prescripteurs, pour mieux connaître son marché. C’est également de prendre le temps de lire et d’analyser les avis que les consommateurs émettent sur l’entreprise et ses produits, dans une logique d’amélioration de ses services.
Quel intérêt présentent-ils pour une entreprise ?
Leur principal intérêt est de pouvoir y développer un réseau d’affaires. Les consommateurs, ne l’oublions pas, ne veulent plus acheter sans avoir une connaissance approfondie d’un produit. Ils recherchent des avis, des recommandations… Le sujet, du coup, est de savoir comment l’entreprise prend sa place dans cette nouvelle relation avec les clients. Avant, ils se rendaient directement dans le magasin ; maintenant, ils demandent de l’information à d’autres consommateurs. Pour preuve, selon une récente étude, 71 % d’entre eux peuvent être influencés par les avis trouvés sur les réseaux sociaux. Les comportements ont beaucoup évolué. Les gens n’ont plus confiance dans la publicité, mais ils attendent de l’entreprise qu’elle ait une expertise sur son marché. Ils sont friands d’informations au travers de blogs, d’avis d’experts, de chroniques. En parallèle, l’entreprise est obligée de s’intéresser à sa réputation, de voir ce qu’il peut être dit sur elle.
Justement, puisqu’on en parle, les entreprises peuvent-elles maîtriser leur réputation sur les réseaux sociaux ?
Non, elles ne sont pas en mesure de la maîtriser. Mais elles peuvent, à tout le moins, la dynamiser en obtenant que des consommateurs la recommandent. Aujourd’hui, la demande de transparence est forte et une méfiance à priori s’est installée. Dans ce contexte, l’entreprise n’a pas d’autre choix que d’obtenir l’adhésion de consommateurs leaders d’opinion qui porteront les messages avec sincérité.
C’est quoi un consommateur leader d’opinion ?
Un consommateur leader d’opinion n’est pas forcément un bloggeur régulier, mais il peut être parfois un simple internaute, dont la parole va trouver à un instant donné un écho sur un sujet, parce que son avis sera jugé pertinent et créera le buzz.
Comment peut-on mesurer les retombées d’une présence sur les réseaux sociaux ?
Si l’on prend l’exemple de Twitter, ce ne sera sûrement pas le nombre de reprises, de retweets, de l’information qu’on aura envoyée ! Plus sérieusement, tout dépend de ce qu’une entreprise attend de sa présence sur les réseaux sociaux, autrement dit de la stratégie qu’elle aura mise en place avant d’y aller. Il est donc difficile de faire une réponse générique : pour certains, il s’agira d’enrayer une campagne de bad buzz, de dénigrement. C’est du court terme. Pour d’autres, il s’agira d’accroître leurs parts de marché, en prenant la parole, en rassemblant une communauté autour de leur marque. Là, c’est du long terme. Mais, à chaque fois, l’entreprise devra mettre en place des indicateurs adaptés à la stratégie qui l’a conduite à recourir aux médias sociaux. Et, dans tous les cas, l’aide de professionnels avisés est bien souvent nécessaire. Enfin, une certitude : le premier qui installe sa réputation sur les médias sociaux gagne en avantages concurrentiels.