MBS School of business
07 mars 2017

Palmarès des Bachelors en 3 ans du Parisien Etudiant, Montpellier Business School toujours dans le peloton de tête !

Palmarès des Bachelors en 3 ans du Parisien Etudiant, Montpellier Business School toujours dans le peloton de tête !

Après le magazine L’Etudiant, qui en début de mois, a publié un classement thématique de 51 bachelors à bac +3 dans lequel le Bachelor of International Business Administration (BIBA) de Montpellier Business School (MBS) a été classé 1er en matière d’ouverture internationale et 3ème en salaire à la sortie de la formation et accréditations, le Parisien Etudiant publie ce jour un palmarès général de 46 bachelors dans lequel notre BIBA se classe à la 3ème place. Ce palmarès confirme que les institutions reconnues imposent leurs programmes en trois ans de niveau licence (180 crédits ECTS).

 

« Les programmes Bachelor ont le vent en poupe et malgré une concurrence très vive, nous sommes devenus une référence sur un marché très dynamique que ce soit en termes d’excellence académique, de vision internationale comme d’insertion professionnelle » commente Didier Jourdan Directeur général de MBS. « Qui plus est, nous avons l’avantage depuis plus de 10 ans d’avoir su  mener de front une politique d’excellence académique conjuguée à une véritable politique sociale labellisée par l’AFNOR (le label diversité) qui n’est l’apanage que de 3 grandes écoles en France. J’attends donc avec impatience le jour où ce critère de l’engagement en matière de diversité et d’égalité des chances sera pris en compte de manière significative dans les classements ».

 

Créé en 2001, ce programme « Chargé de projets commerciaux et marketing à l’international » qui dispose de la certification nationale RNCP (Titre de niveau II) dont l’appellation internationale par Montpellier Business School est « Bachelor of International Business Administration » (BIBA) prépare désormais  l’avenir de plus de 700 étudiants par an. Reconnu par l’Etat comme une formation à Bac+3 avec 180 crédits ECTS, ce programme est néanmoins dispensé en 4 ans puisqu’entre la 2ème et la 3ème année s’intercale une expérience de longue durée en entreprise (année de césure professionnalisante). 66% des étudiants réalisent cette expérience à l’étranger. La dernière année totalement en langue anglaise s’inscrit dans le cadre soit d’un double diplôme d’une de nos universités partenaires étrangères, soit dans un cursus par apprentissage. Le taux d’emploi de nos étudiants au moment du diplôme est de 76%.

 

« L’avantage de notre Bachelor dédié aux affaires internationales se conclut par la triple obtention du Bachelor de Montpellier Business School, accrédité AACSB, d’un diplôme (Bachelor ou équivalent) d’une université partenaire étrangère et de la licence « Management des Sciences et Technologies » de l’IAE de Montpellier qui permettent d’entrer immédiatement sur le marché du travail international. En cas de volonté de poursuite d’études, les concours d’entrée aux diplômes masters des grandes écoles de management sont complètement ouverts à ces diplômés tout comme les Masters of Science (MSc) ». commente Beverly Leligois Directrice du Programme

 

Pour Montpellier Business School, au moment des salons et des interrogations relatives à l’orientation, nul doute que ces nouveaux classements vont faire découvrir de nouvelles solutions d’orientation hors APB à des centaines d’étudiants.

 

Lien vers le classement : http://etudiant.aujourdhui.fr/etudiant/info/palmares-des-bachelors-du-parisien-etudiant-le-classement.html

07 mars 2017

Vers toujours plus d’agilité collaborative, Montpellier Business School accueille Matthias Bauland, son nouveau Directeur Général Adjoint en charge du développement !

Vers toujours plus d’agilité collaborative, Montpellier Business School accueille Matthias Bauland, son nouveau Directeur Général Adjoint en charge du développement !

C’est ce 1er mars que Montpellier Business School a accueilli Monsieur Matthias Bauland en tant que Directeur Général Adjoint en charge du développement des services auprès des entreprises et des étudiants de tous les programmes. Une volonté pour Didier Jourdan, Directeur général de MBS, dans le cadre du plan stratégique « Together Further 2020 », d’optimiser les effets de synergie et l’efficacité collaborative du développement croisé des liens entre les entreprises partenaires et grands comptes, les étudiants de tous les programmes et sa faculté.

 

Le nom de Matthias Bauland est bien connu au sein de Montpellier Business School. Représentant élu du Club des Partenaires – Advisory Board de MBS au sein de la gouvernance de l’association MBS depuis 2015, grand partenaire, à deux reprises, au travers de ses fonctions successives de Direction Générale de Spring (leader du recrutement en France) puis chez Adrexo (leader de la distribution d’imprimés publicitaires en France), Matthias Bauland est aussi, depuis 7 ans, le responsable du parcours de spécialisation en dernière année du master grande école « Management des Ressources Humaines et de la RSE ».

 

Sur un marché concurrentiel soumis aux plus grandes contraintes de reconnaissance nationale et internationale, Matthias Bauland et ses équipes auront la charge de développer les activités de MBS autour de deux axes : un axe « Service aux étudiants » (Career center) et un axe « Service aux entreprises » intégrant toutes les activités en relation avec les entreprises telles que l’alternance, la formation professionnelle, le conseil et les études, les service des stages, le Programme Executive MBA et les Partenariats Entreprises comme les relations avec les Diplômés.

 

« Je suis vraiment très heureux de mettre toute mon expérience de direction au service de cette entreprise académique et de ses valeurs ! Toutes les équipes de Montpellier Business School, qu’elles soient pédagogiques, administratives, étudiantes et, bien sûr, la Direction générale m’ont toutes appris ces dernières années à beaucoup aimer cette école. En tant que membres de l’Advisory Board/ Club des 38 grands partenaires et responsable de parcours de spécialisation, je sais qu’il y a à Montpellier quelque chose qui n’existe pas ailleurs ! Et j’ai envie d’y participer » commente Matthias Bauland.

 

L’agilité collaborative et l’innovation managériale sont les maitres-mots des grands axes de développement fixés par la gouvernance de Montpellier Business School. Ils ont permis, en quelques mois, le rassemblement de toutes les activités liées à l’entrepreneuriat dans le cadre du Centre MBS Entreprendre, le regroupement de tous les enseignants-chercheurs au sein de l’International Center of Research and Education (ICORE), la création prochaine d’un Institut dédié à l’excellence opérationnelle tout en poursuivant le fort développement de toutes les activités liées à l’apprentissage (1180 apprentis à MBS tous programmes confondus) et à la formation continue. Les entreprises ne s’y trompent pas, et la prochaine entrée dans le processus d’accréditation EQUIS/EFMD devrait conforter encore les entreprises à faire appel aux services de MBS.

 

« L’arrivée de Matthias Bauland est un signe fort de la volonté de MBS de poursuivre une dynamique d’évolution encore plus collaborative et agile dans un contexte de développement national et international toujours plus cohérent ». Précise Didier Jourdan. « D’autres évolutions sont encore à venir pour permettre à MBS de s’adapter aux exigences très évolutives d’un monde digitalisé certes, mais surtout qui a besoin, toujours plus, de mettre du « sens humaniste » au cœur de ses actions. »

06 mars 2017

Nos concours d’admission en programme Bachelor sont ouverts et 2 candidats nous livrent leur témoignage

Nos concours d’admission en programme Bachelor sont ouverts et 2 candidats nous livrent leur témoignage

Le 24 février dernier, MBS accueillait plusieurs dizaines de candidats pour son deuxième concours d’admission au programme Bachelor in International Business Administration, reconnu par l’état, accrédité AACSB et enregistré au Répertoire National des Certifications Professionnelles au niveau II, pour la rentrée prochaine. Parmi eux, deux étudiants en année de terminale S nous ont expliqués leur choix de poursuite d’études et nous ont confiés leurs ressentis à chaud après les épreuves d’admission !

 

Étudiants dans des lycées différents, Johanna et Gianni ne se connaissaient pas avant cette journée de concours. Et pourtant, tous deux sont en filière scientifique et espèrent intégrer le Bachelor de MBS pour répondre à leur souhait de faire carrière à l’international ! « Je suis né en Argentine et j’y ai passé 10 ans avant de venir en France. » confie Gianni. « J’ai la double nationalité et j’ai déjà beaucoup voyagé. Mais je ne compte pas m’arrêter là car je m’épanouis dans le partage des cultures et dans l’ouverture sur le monde. J’aimerais avoir la chance d’intégrer MBS car ici, beaucoup de nationalités sont représentées et c’est le type d’environnement qui me correspond tout à fait ! Puis passer une année académique à l’étranger sans frais supplémentaires, je ne dis pas non ! »

 

Johanna, elle aussi, se voit bien évoluer à l’étranger. « J’aime les mathématiques et la physique mais je ne me vois pas en faire mon métier », explique-t-elle. « En fait, j’aime encore plus le relationnel, et pouvoir pratiquer plusieurs langues. Du coup, mon projet est de m’orienter vers le commerce international qui réunit ces deux aspects et me permettrait de voyager et découvrir le monde. Je pense que le Bachelor de MBS est le cursus idéal pour moi car en plus de la triple accréditation internationale de l’école, il offre la possibilité de valider un double-diplôme et de faire un premier pas professionnel à l’étranger en réalisant un stage n’importe où dans le monde ! »

 

« La dimension internationale de l’école est vraiment capitale pour nous », confirme alors la mère de Johanna venue accompagner et soutenir sa fille en ce jour important. « Mais ce n’est pas tout. J’attends aussi un vrai suivi de l’école tout au long de son cursus. Les notes c’est une chose, mais être guidée et bien accompagnée c’est aussi très important. Nous allons vers l’inconnu mais Johanna se projette déjà car elle sent que grâce à cette école, elle sera bien encadrée pour s’épanouir. Après la Journée Portes Ouvertes à laquelle nous avions assistée et ce concours, nous voilà donc rassurées toutes les deux ! »

02 mars 2017

« Nous travaillons les cas concrets pour leur permettre une insertion professionnelle rapide et réussie ! » Le Dr Moez Bennouri témoigne de son expérience avec les étudiants MSc in Finance de MBS

« Nous travaillons les cas concrets pour leur permettre une insertion professionnelle rapide et réussie ! » Le Dr Moez Bennouri témoigne de son expérience avec les étudiants MSc in Finance de MBS

Professeur associé au sein du département Finance de MBS, le Dr Moez Bennouri enseigne plusieurs cours en anglais dont “Fixed income, options and derivatives”, “Foundations of risk and asset pricing theory”,  “Finance simulation” et “Topics on valuation” aux étudiants qui composent la promo actuelle de Master of Science in Finance. Le but de ce MSc ? Donner accès aux différents métiers de la finance (analyste financier, gestionnaire de portefeuille d’actifs, gestionnaire de risques financier…) dans un univers international.



« En début d’année, il était important d’effectuer des remises à niveau pour avoir une classe homogène », commence le Dr Bennouri. « Puis nous avons commencé les cours plus avancés et c’est à ce moment qu’ils se sont rendus compte de ce qu’est réellement un MSc du point de vue de l’approfondissement des matières. D’octobre à février, j’ai pu voir leur évolution en classe. Ils sont de plus en plus intéressés car ils n’ont plus cette difficulté à comprendre les choses. L’objectif, c’est de les amener à quelque chose qui va plus loin que du « purement scolaire ». Alors on commence à entrer dans les cas pratiques. Par exemple, en ce moment, ils travaillent sur un cas de fusion-acquisition ».



Dans le cadre des cours du 2e semestre « Finance simulation » et « Topics on valuation », les cas concrets sont mis en avant dans l’optique de rendre les étudiants prêts pour une insertion professionnelle internationale rapide et réussie. « En Finance simulation, l’exercice leur apprend à travailler comme gestionnaire d’actifs. Ils travaillent comme gestionnaires de portefeuille pour le compte d’un client fictif ce qui permet de comprendre la théorie en faisant de l’apprentissage par la pratique (Learning-By-Doing). Ils doivent prendre des décisions et ont accès à tous les marchés dans le monde pour gérer le patrimoine de leurs clients (1 million de dollars) ayant l’objectif de vivre une belle retraite. Ils devront me présenter leurs résultats à la fin du cours comme si j’étais le client. Dans le cours « Topics on valuation », c’est de la finance d’entreprise qui essaye de s’intéresser aux différentes décisions financières de l’entreprise (endettement, fusion acquisition, entrée en bourse etc.). On s’intéresse aussi aux aspects de gouvernance de l’entreprise et aux aspects comportementaux dans la prise de décision. Tout ceci est passionnant à suivre aussi de mon point de vue car la classe est très hétérogène ! »

 

« En effet, en Master of Science, la classe est hétérogène aussi bien au niveau des pays d’origine que des parcours », ajoute le Dr Moez Bennouri. « Dans ma classe des MSc in Finance, je compte jusqu’à 11 nationalités différentes. Nous avons des Français bien sûr mais aussi des Marocains, des Chinois, une Afghane, une Colombienne, un Libano-américain ou encore une Italienne. C’est passionnant pour nous aussi, les professeurs. Car cette hétérogénéité fait partie des particularités d’enseigner à des MSc. C’est une autre façon de faire car ils viennent aussi de disciplines différentes. Donc nous devons faire le lien avec ces disciplines pour créer une passerelle entre ce qu’ils savent déjà et ce qu’ils vont apprendre ici. C’est très riche car chacun vient avec son expérience, sa culture et ils ne sont pas tous « formatés finance ». Nous avons par exemple des ingénieurs et cela crée énormément de richesse à partager ».

 

Pour les étudiants MSc in Finance de MBS, la suite du cursus passera notamment par les examens, en avril, puis par 4 à 6 mois d’expérience professionnelle (stage ou emploi).

01 mars 2017

L’ouverture internationale se décline à Montpellier Business School avec au minimum une année académique entière passée à l’étranger pour tous les étudiants de 2ème année du Programme Grande Ecole !

L’ouverture internationale se décline à Montpellier Business School avec au minimum une année académique entière passée à l’étranger pour tous les étudiants de 2ème année du Programme Grande Ecole !

Afin de répondre aux enjeux de recrutement des entreprises dans un contexte de mondialisation et de favoriser la découverte et l’ouverture à l’autre comme à toute forme d’apprentissage du savoir, Montpellier Business School a intégré depuis 2002 dans le cursus du PMGE une année académique obligatoire en 2ème année (hors choix de l’apprentissage) dans l’une de ses universités partenaires étrangères.

 

« Notre objectif est d’offrir toujours plus d’ouverture, d’opportunités et de qualité académique à nos étudiants. Ainsi, depuis plus de 15 ans, la Direction internationale de MBS développe et enrichit son portefeuille d’universités partenaires étrangères et à ce jour près de 30% des accords sont signés avec des institutions accréditées. En 2016, nous avons établis 8 nouveaux partenariats, auxquels se sont ajoutés début janvier 2017 trois autres accords dans les capitales du Chili, du Mexique et de l’Estonie. » précise Mme Carole Santos-Magliozzi Directrice adjointe en charge des programmes et des étudiants internationaux à MBS.

 

Au total, cette année, 126 universités et grandes écoles partenaires sont accessibles aux étudiants qui étudieront à l’étranger l’an prochain. « Chaque université internationale avec qui nous nous associons pour les échanges académiques est choisie pour son rayonnement national et international, la qualité de ses enseignements, le partage de nos valeurs, et ses éventuelles accréditations. Il n’y a pas de « mauvais choix » pour les étudiants : la diversité des universités, des cultures, des pays, permet à chacun de faire un choix qui, au-delà des critères académiques que nous vérifions en amont, lui permettra de vivre une expérience en accord avec ses souhaits ou ses possibilités »

 

Durant 3 jours, 359 étudiants actuellement en première année de programme Grande Ecole continu font le choix de leur destination académique pour 2017-2018 parmi 488 places dans 36 pays ! Afin que les aspects financiers d’un séjour à l’étranger ne soient pas un frein, MBS prend à sa charge, sans impact pour l’étudiant, les frais de scolarité des universités partenaires étrangères ! L’exercice des affectations peut être facile pour certains et se révéler plus complexe pour d’autres. Alors comment faire son choix ? « Il y a plusieurs critères essentiels à prendre en compte. Le premier, et il est incontournable, c’est la langue d’enseignement. Pendant leur séjour à l’étranger les étudiants de MBS suivent des cours de sciences de gestion similaires à ceux qu’ils auraient suivis à MBS. Il ne s’agit pas d’un séjour linguistique et encore moins de tourisme académique. Les étudiants qui ont vécu l’expérience peuvent en témoigner ! Autre critère à prendre en compte, ce sont les prérequis académiques imposés par les universités partenaires, et notamment les universités accréditées. Cela incite les étudiants qui souhaitent partir dans ces destinations à se dépasser pour pouvoir y accéder. Même si la découverte d’un nouveau pays, d’une nouvelle culture, de nouvelles personnes fait partie de l’expérience, les étudiants expatriés ont une obligation de résultat puisque de la validation de l’année académique à l’étranger dépend la suite de leur parcours. Avec près de 95% d’étudiants qui valident l’année d’études à l’étranger, nos étudiants remplissent largement leur contrat ! » commente Mme Carole Santos-Magliozzi.

 

De la prise d’informations avant les affectations jusqu’à leur retour en France, chaque étudiant est accompagné par l’une des coordinatrices internationales dédiées par pays ou continent. « On ne les laisse pas en pleine nature ! Chaque coordinatrice a son périmètre. Elle conseille, guide et accompagne les étudiants pour leur garantir le meilleur choix possible et le vivre jusqu’au bout en sachant le valoriser dans le cadre d’un parcours ou d’un projet professionnel, voire d’ambitions personnelles. »

 

MBS remercie toute l’équipe des programmes internationaux au service des étudiants expatriés académiquement et souhaite une bonne affectation 2017 à la promotion de 1ère année !

28 février 2017

« Sans les équipes internationales et le professeur Maryline Meyer, je ne poursuivrais pas en études doctorales ! »

« Sans les équipes internationales et le professeur Maryline Meyer, je ne poursuivrais pas en études doctorales ! »

En 2012, Mary-Lieta, après 2 années de classes préparatoires au lycée Camille Vernet, a  choisi le Programme Grande Ecole de MBS pour son ouverture internationale. Après une année académique à Taïwan, une année en stage au Canada dans un grand groupe logistique, elle a intégré le parcours « international Business » en dernière année à l’université de Laval où elle est restée pour un dernier semestre diplômant en gestion internationale avant de se projeter vers un doctorat !

 

En 2016, Mary-Lieta a validé son Programme Grande Ecole de MBS mais s’est aussi lancée dans un dernier semestre avec l’université de Laval au Québec lui permettant d’en obtenir le diplôme ! « C’est une vraie chance de pouvoir valider le MBA de l’université partenaire de MBS. Cela demande cependant énormément d’investissement car du coup, il faut rendre un mémoire supplémentaire un an après le premier. Mais le jeu en vaut la chandelle car un MBA international c’est un accélérateur de carrière, qui permet vraiment d’avoir le choix sur son avenir » commente Mary-Lieta. « Au Canada, le diplôme de Master est très reconnu car beaucoup d’étudiants s’arrêtent à la licence. Alors pouvoir en plus afficher sur mon CV un MBA, c’est le « must » ! Et croyez-moi, je suis surprise de voir que mon profil est déjà très demandé sur les différents réseaux sociaux professionnels. »

 

« En choisissant l’Amérique du Nord, je voulais découvrir une culture et des méthodes d’enseignement différentes, tout en profitant d’un contexte « franco-international » car au Québec, tout le monde est bilingue et beaucoup de nationalités se côtoient ! » explique Mary-Lieta. « Pendant mon stage à Montréal chez Clasquin (organisateur en transports et logistique overseas), j’ai vraiment réalisé que j’adorais le Canada et j’étais donc ravie de pouvoir y rester davantage de temps ! »

 

Au-delà des 50 à 60 heures de travail académique par semaine, Mary-Lieta sait profiter de balades en forêt, de courses de traineaux ou d’escapades aux Etats-Unis, et même d’assister un professeur à temps partiel. « Ici, l’alternance n’existe pas, mais tous les étudiants travaillent en parallèle des études. C’est normal et vraiment valorisé dans la société canadienne. D’ailleurs, tous nos cours sont regroupés sur deux jours de la semaine pour nous donner un maximum de temps libre et d’autonomie dans l’organisation. » poursuit-elle.

 

« Mes notes sont plutôt bonnes donc je vais donc pouvoir continuer en doctorat et profiter d’une bourse de 12 000 dollars canadiens (8 685 euros) pour continuer mes recherches sur la gestion de crise dans les universités, sujet de mon mémoire de Master. Mais ceci n’aurait jamais été possible ans l’accompagnement de l’équipe des programmes internationaux de MBS. Je veux donc leur dire un grand, grand merci, et aussi à tout le corps professoral de MBS avec une pensée particulière pour le professeur Maryline Meyer, ma directrice de mémoire comme pour tous les professeurs de Laval toujours disponibles pour conseiller leurs étudiants !  »

 

MBS souhaite pleine réussite et succès à Mary-Lieta pour ses études doctorales !

24 février 2017

« Job Hunting » ou comment gérer son e-marketing personnel en vue de son employabilité : un cours innovant du professeur Marvin Wilkinson

« Job Hunting » ou comment gérer son e-marketing personnel en vue de son employabilité : un cours innovant du professeur Marvin Wilkinson

Consulter le profil d’un candidat sur les réseaux sociaux professionnels est aujourd’hui le premier réflexe d’un recruteur. Alors comment faire la bonne première impression, conforme à ce que l’on est vraiment et à ce que l’on souhaite ? Depuis 4 ans maintenant, le professeur Marvin Wilkinson apprend aux étudiants en dernière année de Bachelor à gérer leur image sur internet et à savoir convaincre lors d’une recherche de stage, d’alternance ou d’emploi.

 

Londonien d’origine, Marvin est créateur du centre de formation LearnEnglish.fr et professeur reconnu à Montpellier Business School. Passionné par les nouvelles tendances dans les nouvelles technologies, il dispense le cours « Job Hunting » pour faire réfléchir les étudiants sur ce qu’ils sont, ce dont ils ont envie, ce qu’ils peuvent apporter à une entreprise mais surtout sur la façon de le traduire de façon personnalisée sur les réseaux sociaux. «  Je veux d’abord qu’ils se demandent qui ils sont et quelles sont leurs compétences. Parler d’eux sous un angle différent, en se positionnant déjà comme un jeune professionnel » explique Marvin. « C’est parfois difficile pour eux car ils doivent s’éloigner des outils classiques sur lesquels ils sont habitués à travailler comme le CV ou la lettre de motivation. Et pour ne rien faciliter, on travaille entièrement en anglais, qui n’est pas leur langue maternelle ! »

 

La première étape du cours consiste à maximiser son impact sur son profil LinkedIn, réseau le plus populaire dans la sphère professionnelle. « C’est comme un premier entretien. Il faut donc bien le préparer, y passer du temps. Choisir la bonne photo pour donner envie au recruteur, et arriver à être soi-même tout en étant différenciateur, de façon positive et éthique ! » explique Marvin. « Je leur apprend ensuite à utiliser l’outil vidéo. Comment se présenter librement en quelques minutes, en développant des points complémentaires qui ne peuvent pas être approfondis sur son profil. Je les aide à faire le tri entre ce qui doit apparaitre par écrit (la formation, les expériences) et ce qui peut être marquant dans une vidéo, leur personnalité, leur langage, leur concision à l’oral car la vidéo ne peut faire plus de 2 minutes. Ainsi ils apprennent à communiquer spontanément dans une optique stratégique. » Bien sûr, les étudiants au premier abord sont quelque peu hésitants à se lancer face caméra. « C’est nouveau pour eux ! Au travers d’exemples réalisés les années précédentes, je les coache et les évalue.  Tous reçoivent des commentaires individuels pour s’améliorer. Et contrairement à ce qu’on pourrait penser, ce n’est pas forcément les meilleurs en anglais qui réalisent les meilleures vidéos !»

 

La perspective de booster son « personal branding » est motivante pour les étudiants et ils sont meilleurs d’année en année puisqu’ils sont digital native. « Cela me permet d’être challengé en permanence et cela rend mon rôle passionnant. J’ai même décidé de créer un prix pour les meilleurs. »

24 février 2017

L’international à Montpellier BS se décline quels que soient les programmes et les voies d’entrées ! Focus sur le parcours International Pro dédié aux Masters 1 issus de Passerelle 2

L’international à Montpellier BS se décline quels que soient les programmes et les voies d’entrées ! Focus sur le parcours International Pro dédié aux Masters 1 issus de Passerelle 2

La période de février est pour les étudiants des programmes de Montpellier BS, l’occasion de procéder à leurs choix d’universités partenaires étrangères pour une année académique entière, obligatoire pour tous ceux intégrant en 1ère année ou pour un semestre pour celles et ceux intégrés directement en 2ème année. Parce que l’international ne s’apprend pas sur les bancs d’une école, mais qu’il se vit et sur une longue durée, Montpellier BS a construit, depuis 2001, un puissant maillage d’universités partenaires étrangères partout dans le monde.

 

L’international de longue durée, pour tous, et sans droits de scolarité supplémentaires, quel que soit le lieu d’expatriation, est donc le maitre mot de Montpellier Business School. Après les affectations des étudiants de dernière année des programmes Bachelor et Master en « Spécialisation International Business » (dont plus de 75% en double diplôme), cette fois, c’était au tour des étudiants ayant intégré le programme Grande Ecole en 2ème année et ayant opté pour le parcours International Pro de choisir leur destination internationale !

 

« Les étudiants intégrés directement en 2ème année du programme Grande Ecole ont la possibilité pendant l’année de césure de conforter leur expérience internationale en optant pour le programme Shanghai ou pour le parcours « international pro » qui conjugue un semestre académique dans l’une des universités partenaires de MBS et un stage de 6 mois à l’étranger ou dans une fonction internationale. Cela leur permet de vivre une expérience internationale de longue durée, par le biais d’une expérience académique qu’ils peuvent renforcer par une expérience professionnelle », précise Madame Carole Santos Magliozzi, Directrice adjointe en charge des programmes et des étudiants internationaux.

 

Classés sur la base des résultats académiques du 1er semestre, ce n’est pas sans une certaine fébrilité que chaque étudiant choisit, en fonction de sa place dans le classement, son expatriation. Sont pris en compte le  niveau de langue et les résultats académiques demandés par les universités partenaires de MBS. Prochain objectif pour les 34 étudiants ayant choisi le parcours International Pro : valider le 2ème semestre à MBS !

 

« Nous avons été invités à nous présenter par groupes de 20 dans l’ordre du classement et chacun à notre tour, devant la liste des universités ouvertes pour un semestre, nous avons choisi notre université ! Finalement, nous avons choisi de partir en Inde. Le choc culturel s’annonce fort et ce sera une grande découverte qui nous permettra d’améliorer notre anglais sur un autre continent. Je pense qu’on réalisera vraiment au moment de prendre l’avion !  » précisent Clarisse et Chloé, affectées à l’université de Bangalore.

 

Cette année, 34 étudiants de 2ème année du programme Grande Ecole ont fait le choix du parcours international pro. Ils disposaient de quelques 123 places en semestre dans 57 universités partenaires de MBS dans 27 pays. La semaine suivante, c’était au tour des 360 étudiants de 1ère année de faire face à quelques 500 places ouvertes !

23 février 2017

« Pratiquer un sport à haut niveau ne m’empêche pas d’étudier à l’étranger ! » : le témoignage d’Arnaud Billet en échange universitaire à l’Université de Dubaï

« Pratiquer un sport à haut niveau ne m’empêche pas d’étudier à l’étranger ! » : le témoignage d’Arnaud Billet en échange universitaire à l’Université de Dubaï

En 2015, Arnaud Billet a intégré Montpellier Business School en 1ère année de Programme Master via le concours spécifique dédié aux Sportifs de Haut Niveau. Aujourd’hui en échange académique à Dubaï pour sa 2ème année, il nous raconte comment il réussit à allier sa passion pour la voile avec l’expatriation inclue dans le cursus du programme Grande Ecole de MBS !

 

Arnaud n’est pas un étudiant comme les autres ! Son expertise à lui depuis 2008, c’est le « windsurf RSX » l’une des disciplines de la fédération française de voile qu’il pratique à haut niveau inscrit au Yacht club de Mauguio Carnon. L’an dernier, il obtenait  d’ailleurs son meilleur résultat durant la 3ème étape de la coupe d’Europe, en terminant 6e de la compétition ! Pourtant cette année, c’est à Dubaï qu’il est parti s’entrainer.

 

« Avec le statut de Sportif de Haut Niveau, j’avais le choix de ne pas partir en université partenaire étrangère. Mais franchement je n’ai pas hésité car c’est une trop belle opportunité pour ne pas en profiter ! J’ai choisi Dubaï pour mon échange car je voulais une ville qui soit au bord de l’eau pour continuer à pratiquer mon sport, la planche à voile olympique. De plus, je voulais un endroit avec l’anglais comme langue principale et l’idéal était aussi de rencontrer des gens de tous horizons. Dubaï est une ville très cosmopolite et elle répondait à tous ces critères ! »

 

Depuis 6 mois, Arnaud allie donc toujours études et entraînements, mais son terrain de jeu est désormais le Golfe Persique ! « J’ai eu la chance d’être contacté rapidement par le club de voile SEA You géré par un couple de bretons et avec qui j’ai plusieurs connaissances en commun dont Pierre Le Coq, médaillé de bronze de planche à voile aux derniers Jeux Olympiques. Quand je ne suis pas en cours ou en train de travailler, je suis sur l’eau ! Le club me met à disposition tout le matériel nécessaire pour m’entraîner. En échange, je représente leur club et les marques qu’ils importent sur quelques compétitions locales. Pour ne rien gâcher, le club est situé au Sofitel de la Palm, un endroit vraiment magique ! »

 

Arnaud n’a aucun regret malgré un emploi du temps millimétré et souhaite s’adresser aux Sportifs de Haut Niveau qui intègreront demain l’un des programmes de MBS : « Il ne faut pas se mettre des barrières en se disant que ce sera encore plus dur de conjuguer son activité sportive avec des études supérieures en France ou dans un pays qu’on ne connaît pas. Bien sûr tout dépend du sport. Avant de choisir un programme et il en est de même pour une destination, il faut bien se renseigner sur les clubs présents sur place et les conditions d’entrainement, le reste est une affaire d’organisation. Pour ma part, une fois dans le bain à Dubai, la langue anglaise est vite devenue naturelle et je n’ai pas trouvé que les enseignements étaient plus difficiles à suivre qu’en France. Actuellement je suis sollicité pour participer à quelques évènements sportifs. Au travers de mes rencontres, j’ai bénéficié de très belles opportunités ! Et cela va certainement m’aider dans ma recherche de stage »

 

Nul doute que l’ouverture internationale d’Arnaud et son extrême agilité sur l’eau comme sur la terre ferme, lui ouvrira toutes les voies pour développer son projet professionnel ! Avis donc à tous les sportifs de haut niveau qui s’interrogent sur la poursuite de leurs études, un concours spécifique vous est ouvert post Bac et post Bac +2 !

23 février 2017

Il n’y aura qu’un seul gagnant… mais on a deux équipes de coéquipiers pour le Business Game Decathlon ! A en « liker » un, « likez » les 2 !

Il n’y aura qu’un seul gagnant… mais on a deux équipes de coéquipiers pour le Business Game Decathlon ! A en « liker » un, « likez » les 2 !

Alexandre n’est pas de ceux qui laissent leurs baskets aux vestiaires après un match. A la lecture de la publication sur l’équipe des Vitalos, il découvre le pouvoir viral d’une Direction de la Communication qui enchaine les interviews de tous ceux qui ont quelque chose à dire. Et ça tombe bien, car c’est bien son cas, qu’il est alternant chez Décathlon au Pontet, responsable du rayon fitness et que, lui aussi il a envie d’aller en finale à Lille pour la marque !

 

C’est donc plein de fougue et de détermination qu’il investit les bureaux du 3ème étage et brandit les valeurs d’équité non sans humour. Son projet avec son groupe, il est aussi de gagner pour aller en finale défendre les couleurs de son association « l’Escapade » basée à Pierrelatte dont l’objet est d’aider de jeunes collégiens et lycéens en difficultés à partir un peu en vacances…. Le fonctionnement de cette association est sur un mode participatif où ce sont les jeunes qui donnent des idées et les adultes qui partent chaque année à la recherche des financements pour les réaliser !

 

« Loin de moi l’idée de me mettre en travers de la route de mes camarades Vitalos mais néanmoins, notre groupe s’est aussi beaucoup investi dans le projet et auprès de cette association dont l’objet est de réaliser des rêves ! Nous avons dédié plusieurs jours et nuits de travail parfois un peu en dernière minute… comme souvent… et même dû nous reprendre à 6 fois pour le tournage du plongeon dans une eau à 13 degrés au Grau du Roi ! Plus sérieusement, je pense maintenant qu’on aurait dû tous se coordonner pour donner une visibilité à tous les projets coéquipiers de MBS… une bonne occasion ratée de faire de la co-création en matière virale ! »

 

Le produit proposé par le groupe d’Alexandre ne manque pas de sens. Baptisé « Topocket », il répond à un public, étudiant ou non, qui n’a de choix que de laisser sur la plage ses effets personnels ou d’emmener un accompagnateur chargé de faire la vigie pour garder les affaires pendant son sport nautique ou sa baignade prolongée. « Oui en général, sur la plage, celui qui ne se baigne pas a toujours pour mission de garder les affaires …c’est le Sam des baigneurs ou des surfeurs. Nous avons toutes et tous vécu ça au moins une fois surtout dans le Sud ! ».

 

Sur le bénéfice pédagogique et professionnel de ce type de projet, Alexandre est convaincu. « La marque Décathlon est très forte dans sa façon de consulter  ses collaborateurs, les étudiants de manière générale et ses alternants en particulier pour travailler sur les produits de demain. En terme de marque employeur c’est par ailleurs un moyen d’attirer de nombreux jeunes sur la marque qu’ils soient clients ou futurs stagiaires ou alternants. En ce sens, la politique de la marque est claire ! »

 

Alexandre après une Licence LEA à l’Université Montpellier 3 a intégré MBS par le concours passerelle 2 et opté immédiatement pour l’apprentissage. Sportif dans l’âme et judoka (vous comprendrez pourquoi, la direction communication n’a eu aucun choix) il a intégré Décathlon en septembre dernier pour un contrat de 2 ans.

 

Pour l’aider lui aussi à aller en finale, n’oubliez pas de voter aussi sur :
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