L’offre Executive Education 2017 est disponible ! Focus sur les innovations de Montpellier Business School en matière de Formation Professionnelle Continue

L’offre Executive Education de Montpellier Business School a pour ambition d’aider les leaders de demain à répondre aux enjeux actuels et futurs de développement de la performance des organisations et des hommes. Dans cette optique, l’offre 2017 s’adresse à tous les secteurs d’activité.
« L’offre Executive Education de MBS souhaite répondre aux enjeux des entreprises par une approche innovante des contenus et de modalités pédagogiques adaptées, engageant chacun dans l’action et se nourrissant des apports de recherche de nos enseignants-chercheurs et des innovations pédagogiques déployées dans les programmes de formation initiale », commente Aurélie Bordin, responsable Formation Professionnelle Continue à MBS.
L’approche de MBS s’articule autour de différents types d’accompagnement : diplômants, certifiants, approche sur mesure et formations courtes. « Nous proposons par exemple des programmes diplômants par la voie de la VAE (Validation des Acquis de l’Expérience) individuelle ou collective (Bachelor & Programme Grande Ecole), un Executive MBA accrédité AMBA et AACSB conçu pour des cadres et dirigeants. Nos programmes certifiants comptent notamment les BADGE® (Bilan d’Aptitudes Délivrés par les Grandes Écoles) accrédités par la Conférence des Grandes Écoles. Parmi nos programmes qualifiants, nous proposons une sélection de modules de formations courtes orientée autour des compétences clés des collaborateurs d’entreprise. Résolument tournés vers les enjeux de nos clients, nous développons des approches sur mesure ».
« Nous évoluons aujourd’hui dans un environnement mondialisé qui est en mutation constante. Celui-ci exige toujours plus de créativité, d’agilité et de nouvelles compétences », explique Marie-Anne Grondein-Pisano, responsable Formation Professionnelle Continue à MBS. « Chaque manager, collaborateur, entrepreneur ou dirigeant doit à son niveau, aujourd’hui et encore plus demain, relever les challenges toujours plus complexes qui s’imposent à lui. L’entreprise est également responsable de l’accompagnement de ses talents. Nous sommes convaincus que le capital humain est l’essence même de la réussite d’une entreprise et nous les accompagnons à développer les compétences et expertises des managers, cadres et collaborateurs par des modalités de formation adaptées ».
C’est donc dans un objectif de développement des talents, des hauts potentiels et des dirigeants, par une plus grande responsabilisation aussi de ces acteurs dans leur réussite, que Montpellier Business School propose au travers de cette offre 2017, par des modalités pédagogiques innovantes favorisant l’expérimentation, une démarche basée sur l’Excellence Académique d’une Grande École de Management.
Pour la 6ème année consécutive, MBS a organisé un séjour de découverte des métiers accessibles grâce à l’éducation supérieure, dans le cadre du programme des Cordées de la Réussite

Depuis 10 ans, Montpellier Business School et ses étudiants, dans le cadre de leur engagement en faveur de l’égalité des chances, se sont investis dans le dispositif national des Cordées de la Réussite. Associés à plusieurs collèges et lycées des quartiers prioritaires de l’académie de Montpellier, ils ont su accompagner et tutorer des élèves de la 3ème jusqu’au baccalauréat. Ce mois-ci, ils ont clôturé l’année en organisant un week-end de trois jours dédié à la découverte de métiers accessibles grâce aux études supérieures, cette fois ci sur le thème de l’aéronautique, auxquels 70 élèves de 3e venant de 5 établissements scolaires encadrés par des étudiants de MBS et Benjamin Ferran, Responsable Pôle Ouverture Sociale et Initiatives Etudiantes à MBS ont pu participer.
« Il s’agit du plus grand évènement de l’année que nous organisons pour les Cordées. Le but de ce week-end, qui part d’une initiative de MBS, est de montrer aux collégiens l’étendue des parcours qui s’offrent à eux dès lors qu’ils s’ouvrent à l’éducation supérieure. Que ce soit dans notre école ou ailleurs, nous voulons qu’ils s’émancipent des aprioris sur la possibilité d’intégrer des filières d’excellence, véritables leviers pour leur développement et leur réussite professionnels » commente M. Benjamin Ferran. « Chaque année, nous proposons aux élèves de découvrir un milieu différent. Pour cette édition 2017, nous avons décidé de présenter le secteur de l’aéronautique à Toulouse en s’axant autant sur l’aspect culture générale, que l’aspect académique et professionnel. »
Ce séjour complet a notamment permis aux élèves de découvrir l’Ecole Nationale d’Aviation Civile, avec une présentation de leurs différents programmes de formation et une visite des lieux, ainsi que l’usine Airbus sur la chaîne de montage de l’A380 puis son musée Aeroscopia, et pour finir, la Cité de l’Espace.
Berklee, étudiante en Master à MBS, chef de projet Diversité stagiaire au sein de la Direction des Ressources Humaines, Diversité et RSE était présente lors du séjour. « Tous les élèves sont partis très enthousiastes et sont revenus ravis d’avoir pu apprendre à connaître un milieu souvent jugé inaccessible, mais qui lorsqu’on le démystifie, peut se révéler être un vrai projet de carrière pour certains finalement ! Une des élèves participantes à ce séjour nous a par exemple confié vouloir s’orienter vers une carrière de contrôleuse aérienne. C’est exactement cela que l’on souhaite lorsqu’on organise ces séjours : déclencher des vocations professionnelles, et dans tous types de secteurs ! »
39ème Grand Partenaire, Extia est venu à la rencontre de nos étudiants pour aborder le thème agilité managériale et pratiques collaboratives

Le 15 mars dernier, M. Arnaud Frey, Président fondateur d’Extia, et Mme Emmanuelle Pays, Directrice des ressources humaines, ont été accueillis par la direction générale, les professeurs et les étudiants de Montpellier Business School pour la signature d’un nouveau grand partenariat suivie d’une conférence plénière sur le thème « Agilité managériale et pratiques collaboratives ». Une conférence captivante pour les centaines d’étudiants présents qui ont ainsi pu appréhender la philosophie de cette société de 1000 salariés spécialisée en Conseil en ingénierie et portée par la volonté de favoriser le management agile et le bien-être au travail. Un bien-être au travail confirmé par une 3ème place au classement 2017 Best Workplaces en France et une présence ininterrompue dans le palmarès Great place to work depuis 2012.
C’est devant l’intégralité des étudiants en dernière année du programme Grande Ecole de MBS que la conférence Extia a démarré avec l’intervention de M. Arnaud Frey. L’occasion de rappeler en quelques mots l’histoire de son aventure entrepreneuriale. « J’ai créé mon entreprise il y a 10 ans. J’avais 30 ans, une belle situation mais je ne m’amusais pas alors j’ai dit stop ! J’étais face à ma glace quand j’ai pensé à une chose : Ne travaillez pas, amusez-vous ! Mais qu’est-ce que cela veut dire ? En gros, vous n’aurez pas le choix, vous devrez travailler. Mais passer quarante ans à ne pas s’amuser, cela doit être horrible. Et c’est quelqu’un qui travaille beaucoup qui vous le dit ! »
« D’abord qui, ensuite quoi ! » Telle est la philosophie mise en place chez Extia qui place l’humain au cœur, non pas du problème, mais de la solution. « L’agilité est un état d’esprit », poursuit le président fondateur. « C’est de l’adaptation en permanence et du « positive thinking », c’est-à-dire toujours voir le verre à moitié plein. Pensez tout le temps à cela quand vous rencontrez un problème car chaque problème est une opportunité et c’est ce concept-là qui va vous rendre heureux et qui fera que vous vous amuserez en travaillant ».
Interactive, sans langue de bois, la conférence est menée par un duo qui captive l’auditoire ! DRH d’Extia, Mme Emmanuelle Pays poursuit devant les étudiants : « Extia a 3 principes de base : Le 1er, c’est l’empowerment, c’est-à-dire la capacité pour chacun à trouver plus de latitude pour avoir plus de pouvoir d’action et de décision. Le 2e, c’est l’amélioration continue car ce n’est pas le plus fort de l’espèce qui survit, ni le plus intelligent. C’est celui qui sait le mieux s’adapter au changement et cela nécessite une posture qui s’appelle l’humilité. Le 3e principe, c’est l’ecosystème Extia avec environ 100 soirées et événements par an dont la moitié pour se créer des souvenirs ensemble. Car nous sommes beaucoup plus efficaces si nous avons des amis au travail ! »
Autre point important soulevé par M. Arnaud Frey : le droit à l’erreur ! « Ce droit est fondamental car ce qui tue nos entreprises, c’est que les personnes ne prennent plus d’initiatives car elles se disent qu’en cas d’erreur, elles seront jugées, mises au pilori… Notre concept c’est le Fail but fail fast ! Cela veut dire que vous pouvez vous tromper mais il ne faut pas s’engluer dans cet échec pendant longtemps et rapidement passer à autre chose. Vous aurez forcément appris quelque chose. Cela permet de ne pas se brider, de ne pas avoir de regret et d’être continuellement dans un processus d’innovation ».
Montpellier Business School est très heureux de compter dans son Advisory Board ce nouveau grand partenaire avec qui le partage des idées et des valeurs s’annonce plus que prometteur.
Une journée pour aider la Ligue contre le Cancer ! L’action positive et conviviale de 7 étudiants du programme Bachelor de MBS

Depuis le début de l’année académique, tous les étudiants de 2ème année du programme Bachelor et de 1ère année du master de MBS travaillent sur un projet pédagogique en lien avec des associations et organisations solidaires et dont l’objectif est de faire vivre des valeurs humanistes et de solidarité. Cette année Cécile, Sofia, Charlotte, Pauline, Ahmed, Charif et Anael ont choisi de s’engager aux côtés de la Ligue contre le cancer. Après l’édition d’un calendrier et d’une soirée de charité pour récolter des fonds, ils organisent en partenariat avec l’association humanitaire de l’école Sup de cœur pour tous les étudiants et personnels de MBS une journée conférence & ateliers avec un but de sensibilisation le 27 mars prochain de 10h à 16h.
S’ils ont tous le talent d’être différents, ces 7 étudiants du programme Bachelor ont choisi de placer cette journée sous le slogan « Ensemble, nous sommes Extraordinaires » avec une volonté de positiver le message d’information et de prévention. « Notre message phare, c’est que nous sommes tous concernés par la lutte contre le cancer. Comme toutes nos actions, le but de cette journée de sensibilisation est donc d’informer le plus de monde possible en misant sur la positivité, la convivialité et la solidarité » commentent Cécile, la coordinatrice du groupe et Sofia, en charge de l’organisation de la journée.
« L’engagement que nous portons s’inscrit dans la lignée des avancées positives de la recherche contre le cancer. Pour aller dans ce sens, nous avons donc décidé de faire débuter la journée par une conférence, qui s’ouvrira avec une danse d’étudiants colombiens de MBS qui avaient déjà apporté beaucoup de bonne humeur lors de l’International Day en novembre dernier à l’école ! » explique Cécile. « Ensuite, M. Jean Bernard Dubois, président du comité 34 de la ligue contre le cancer, M. Richard Pages, secrétaire général, et Mme Durand, responsable prévention, interviendront pour parler des avancées de la recherche en cancérologie. L’après-midi, nous continuerons la sensibilisation avec la mise en place d’ateliers sur différents thèmes : le tabac, les dangers du soleil, et bien manger/bien bouger. Nous avons invité tout le monde à nous rejoindre pour prendre part aux échanges et mieux connaître les facteurs principaux de risques de cancer. Le but bien sûr n’est pas de juger ou de réprimander, mais d’informer et conseiller pour que chacun connaisse réellement les risques, ce qui n’est pas toujours le cas, loin de là ! »
Durant cette journée, seront aussi exposées toutes les photos qui leur ont permis notamment de réaliser le calendrier « Ligue contre le cancer ». « Ces photos ont été prises au centre-ville de Montpellier avec des personnes rencontrées par hasard et qui ont accepté de poser et nous ont donné leur droit à l’image pour cette cause. C’était une expérience fantastique ! Tous ont joué le jeu devant l’objectif lorsque nous leur avons expliqué les raisons du shooting. Mais comme nous avons dû sélectionner seulement 12 photos pour le calendrier, notre projet est de pouvoir présenter les autres sous forme de petite exposition sur les trois étages de l’école. Exposer ces photos de gens souriants qui s’amusent, c’est aussi une façon de créer cette atmosphère conviviale et positive qui nous tient à cœur dans notre communication et de montrer encore une fois, que nous sommes tous concernés. »
SDC Alpha et l’association Sup de Cœur vous donne donc rendez-vous ce 27 mars dès 10h et jusqu’à 16h pour cette journée inédite sur le campus.
Dr Paul Chiambaretto, professeur à MBS et actuellement dans le magazine Capital : Le transport aérien est au cœur de mes recherches car c’est non seulement une passion mais aussi un secteur fascinant

Enseignant chercheur en marketing et stratégie à Montpellier Business School et spécialiste du transport aérien, le Dr Paul Chiambaretto a été interviewé par Capital, le magazine économique mensuel, pour livrer son point de vue sur les stratégies des compagnies du Golfe et leur impact sur les compagnies européennes. L’occasion pour ce professeur de nous confier une partie de ses résultats de recherche et de faire un parallèle avec son enseignement auprès de nos étudiants en Master, MSc et dans le cadre du programme VAE Air France.
« Cela va faire presque dix ans que je suis le développement des compagnies du Golfe (Emirates, Etihad et Qatar Airways). J’avais consacré une partie de ma thèse à ces compagnies aériennes et plus particulièrement au cas de Qatar Airways », se souvient le Dr Paul Chiambaretto. « J’avais travaillé sur l’histoire du développement de cette compagnie aérienne et sur sa stratégie d’alliance. Suite à ces travaux et à mes différentes publications ou interventions comme chez Air France ou à la Direction Générale de l’Aviation Civile, Capital m’a contacté pour intervenir dans son numéro spécial sur les transports. L’enjeu est de comprendre pourquoi et comment ces compagnies se développent aussi rapidement et comment les compagnies européennes peuvent réagir face à cela ».
« En fait, depuis une vingtaine d’années, les dirigeants des pays du Golfe ont décidé d’investir massivement dans le transport aérien et le tourisme pour gérer leur transition économique post pétrole », explique le Dr Paul Chiambaretto. « C’est un axe de développement majeur pour ces pays et les Etats ont donc une politique très volontariste pour aider leurs compagnies aériennes. A l’inverse, en Europe, le secteur aérien est un peu livré à lui-même et dans ces conditions, les compagnies européennes doivent chercher les moyens de réagir face au développement des compagnies du Golfe ».
Poursuivant et approfondissant son analyse reprise par le magazine Capital, le Professeur Paul Chiambaretto explique : « Les compagnies aériennes européennes réagissent de plusieurs manières. Cela passe tout d’abord par une politique de montée en gamme accompagnée d’une réduction des coûts. Le but est d’améliorer le rapport qualité-prix, tout en cherchant à mettre en évidence l’excellence à la française dans le cas d’Air France ! Par exemple, cela passe par une modernisation des cabines sur les vols long courrier et en particulier sur les routes où il y a une forte concurrence des compagnies du Golfe. En parallèle, les compagnies européennes mettent en place des actions de lobbying auprès des gouvernements et de la Commission Européenne pour exiger que toutes les compagnies aériennes bénéficient des mêmes règles et que la concurrence soit équitable ».
De la recherche aux salles de cours, il n’y a qu’un pas que le Dr Paul Chiambaretto réalise quotidiennement pour livrer aux étudiants ses résultats et analyses. « Bien sûr, ce sont des exemples et thèmes qui sont aussi abordés dans le cadre de mes cours et notamment durant les électifs sur le management et le marketing du transport aérien qui démarreront en mai avec les Master 2 », ajoute-t-il. « Ce sera l’occasion de travailler sur les modèles économiques des compagnies aériennes, le cadre légal du transport aérien, les business model ou encore les stratégies de développement des réseaux. Au final, j’essaye d’offrir aux étudiants un large panorama des principales problématiques économiques et managériales de ce secteur passionnant ».
Merci Professeur et continuez ce travail de diffusion de la recherche à destination des managers et des étudiants !
Contact : p.chiambaretto@montpellier-bs.com
Pour lire l’interview du Dr Paul Chiambaretto dans Capital, cliquez ici.
Le parcours de spécialisation « Métiers du conseil » lance le Challenge Consulting !

Depuis le 13 mars dernier, les étudiants Master 2 de Montpellier Business School ont attaqué leur dernier semestre à travers les parcours de spécialisation. Pour ceux qui ont choisi la spécialisation « Métiers du conseil », ils vont approfondir leurs connaissances, leur expertise et leur expérience dans un domaine qui s’adresse à des étudiants souhaitant devenir consultants ou qui sont en recherche d’outils et de méthodologies pour améliorer la décision et convaincre au sein de leurs organisations. Et nouveauté cette année, ils inaugurent le Challenge Consulting !
Cette année, le parcours de spécialisation « métiers du conseil » accueille 69 étudiants spécialisés ou futurs spécialistes dans le conseil en management ou dans le conseil en environnement numérique grâce aux deux certifications proposées. Et pour la première fois, cette « spé » inaugure le Challenge Consulting qui va se dérouler sur plusieurs semaines de mars à mai. Un seul objectif pour les étudiants : Développer une offre de conseil pertinente et convaincante pour des entreprises locales et nationales.
Développé en partenariat avec le cabinet de conseil IDEA, ce Challenge Consulting a pour vocation de confronter les étudiants à la réalité du terrain et leur permet d’endosser le costume de consultants en étant eux-mêmes accompagnés par des consultants experts. Pour eux, la plus belle des récompenses serait que leur offre de conseil soit retenue par les entreprises clientes sachant que les offres proposées concernent uniquement l’agence Innov-LR de MBS composée d’étudiants de MBS coachées par IDEA.
« Le métier du conseil est en pleine mutation : il devient important que nos étudiants puissent embrasser ces évolutions en développant leur capacité à s’adapter à des situations diverses, à vendre des prestations mais aussi à développer et à conseiller sur les pratiques innovantes. Et pour cela, il n’y a qu’une clef : faire encore et encore », explique le Professeur Magalie Marais, responsable du parcours de spécialisation.
La spécialisation met ainsi l’accent sur la posture « créative » et « innovante » des apprentis consultants pour dépoussiérer ce métier parfois représenté de manière caricaturale mais aussi pour lui inventer de nouvelles possibilités au service d’entreprises de plus en plus polymorphes. Au programme, ils auront notamment droit à un focus sur le « Learning-by-doing » car on ne nait pas consultant, on le devient. « Il est ainsi fondamental d’apprendre à apprendre mais surtout d’apprendre « à faire » pour développer une posture singulière faite d’écoute, d’empathie mais aussi d’efficacité et conviction », ajoute Magalie Marais.
A l’issue de ces prochaines semaines de spécialisation, les étudiants qui ont opté pour le certificat Conseil en management pourront viser des métiers comme consultant interne, chef de projet, chargé d’études ou encore consultant junior dans un cabinet de conseil en management. Et pour ceux qui ont choisi le certificat Consultant en environnement numérique, ils pourront viser les métiers de consultant en systèmes d’information, en business intelligence ou en transformation d’entreprise.
120 ans et toujours à la pointe de l’entrepreneuriat et de l’innovation ! Le nouveau MSc in Digital Management de MBS est accrédité par la Conférence des Grandes Ecoles !

Après avoir ouvert avec succès le MSc in International Business, MSc in Marketing, MSc in Finance ainsi qu’un MSc in Global Business tri continental avec les universités de Victoria au Canada et la SKU en Corée, Montpellier Business School vient de recevoir l’accréditation de la Conférence des Grandes Ecoles pour son nouveau Master of Science in Digital Management qui ouvrira à la rentrée 2017.
Nul n’ignore que la transformation digitale impacte actuellement l’ensemble des activités économiques de tous les secteurs d’activités et de leurs bassins d’emplois et qu’elle influe considérablement sur l’évolution des métiers existants, sur la création des métiers de demain et sur le développement de nouvelles compétences.
Face à ces constats et aux études démontrant que les organisations ont de plus en plus besoin de managers dotés d’une culture numérique concrète pour mener à bien la transformation digitale, Montpellier Business School vient de créer dans le cadre de ses trois principaux objectifs qui sont de favoriser l’excellence dans l’enseignement par la recherche notamment sur l’innovation, d’enrichir le portefeuille de ses programmes et de poursuivre l’internationalisation de ses activités, un MSc in Digital Management s’inscrivant dans sa tradition d’innovation pédagogique.
« Ce MSc in Digital Management vise à former les étudiants internationaux à appréhender les modèles de création et de distribution de valeur, à acquérir des méthodes agiles de pilotage de projets et de performance et à comprendre l’impact du digital sur les modes de leadership, de créativité et d’organisation. Les modules qui sont associés au programme global de 470 heures ont été construits par les enseignants chercheurs de MBS et un panel de professionnels influents de la stratégie digitale, du big data appliqué, du management de projet agile, du management du changement, de la digitalisation des processus opérationnels et du web marketing. Il comporte aussi un projet entrepreneurial de 6 mois en équipes multi compétences composées d’autres étudiants des MSc (International Business, Finance et Marketing notamment) et coachés par des enseignants et des créateurs d’entreprise », précise M. Pascal Krupka, Directeur du développement des MSc.
Ce programme totalement enseigné en anglais qui s’étale sur une durée de 16 mois dont 4 à 6 mois de stage ou de contrat de travail en France ou à l’étranger est destiné à des titulaires de Bachelor français et internationaux ayant passé les épreuves de sélection (dossier, entretien et niveau d’anglais requis). Il vise à développer tout d’abord un esprit ouvert à l’innovation managériale et à la capacité d’entreprendre ou d’intraprendre. Ce MSc in Digital Marketing vise autant de métiers que d’activités générales ou opérationnelles avec notamment tout ce qui concerne les besoins actuels de digital manager, de responsables de la transformation digitale, de web entrepreneur, de e-marketing manager, de consultant en stratégie digitale etc.
Nul doute qu’il trouvera un écho favorable chez de nombreux étudiants en quête d’une formation de haut niveau, actualisée et conforme aux attentes de toutes les entreprises de tous les territoires.
Focus sur l’excellence à la française et les industries de pointe avec un nouveau certificat en Master 2 et un nouveau cours en MSc in Marketing par M. Alexandre Hidalgo !

Diplômé de Montpellier Business School et Major de la spécialisation « négociation-vente », Alexandre Hidalgo est aujourd’hui directeur régional de DINH VAN. Depuis maintenant 2 ans, il partage son expertise en matière de luxe avec les étudiants de l’école en Master 2. Ce semestre, il dispense également un nouveau cours « Luxury and fashion » aux étudiants en MSc in Marketing, et dirige un nouveau certificat « Excellence à la française : luxe et industries de pointe » accessible au sein de deux spécialisations de Master : Marketing, et Négociations !
« Ce certificat fait suite au cours que je donne au premier semestre aux étudiants de Master 2 en cursus alternance, et qui est primordial afin de saisir toute la complexité du domaine du luxe et des industries de l’excellence. » confie Alexandre Hidalgo. « Car finalement, le luxe, c’est comme l’écologie : beaucoup de monde en parle, mais peu savent le définir ! On a donc besoin de partir sur une approche anthropologique, sociale, même historique, afin de poser les bases avant de passer à un approfondissement. Entre préjugés, mythes et réalités, nous explorons cette thématique complexe afin de lui rendre justice.»
Trois modules composent ce nouveau certificat, et chacun développe alors une composante de cet environnement complexe qu’est le luxe, grâce notamment à l’expérience éclairée d’intervenants professionnels et experts dans leur domaine d’activité. « Le premier module, sur deux séances, concerne le « country branding ». Nous allons aborder l’art de vivre et les codes culturels selon les pays, en analysant leur importance dans la construction de l’expérience du consommateur et dans la façon dont il va la vivre. Susciter l’émotion ne peut pas se faire de la même manière en France ou au Japon, par exemple. Le deuxième module sera axé sur le retail et le marketing du luxe, entre modernité et traditions. Nous reviendrons sur l’histoire des grands magasins depuis le 19ème siècle et ferons le lien avec le background culturel dans lequel ils ont émergés. Enfin, le dernier module est consacré au rayonnement de la France à l’international via ses entreprises industrielles de pointe. Plusieurs intervenants expliqueront alors comment leur entreprise a réussi à « sublimer » ses produits en tendant vers « l’excellence de l’expérience ».
Mais le secteur du Marketing de luxe, Alexandre Hidalgo l’aborde aussi avec un autre public, beaucoup plus international via le cours « Luxury and fashion » destiné aux étudiants Master of Science in Marketing ! « Les étudiants dans ce MSc, forcément, n’ont pas les bases que j’enseigne aux étudiants de Master, donc la première étape est de passer du temps à faire un bref panorama sur les stratégies marketing dans le secteur du luxe. Ensuite, je les fais choisir librement une grande marque – parfois inconnue en France, mais importante dans leur pays d’origine ou à leurs yeux – et la présenter par petits groupes. Ce qui est intéressant, c’est de confronter directement les backgrounds culturels et d’échanger sur les codes de chaque pays. Au travers de ces mises en scène visant à faire partager l’expérience de la marque à leurs camarades, nous abordons alors l’approche du consommateur, et les typologies du luxe, de façon beaucoup plus poussée que dans le cours dédié au programme Master au premier semestre, par exemple. »
Quel que soit son public, Alexandre nous rappelle que l’objectif final reste le même. « Ce que je souhaite et qui est le but commun à tous mes enseignements à MBS, c’est que les étudiants se rendent compte au travers de leurs analyses, que le luxe n’est pas figé, qu’il évolue et est relatif à chacun. Le luxe, ce n’est pas une étiquette avec un prix dessus, mais c’est le sens que l’on donne à un produit : un art de vivre, et qui n’est pas un sens matériel. Si ces mots-là résonnent pour eux à la fin de l’année, alors j’aurais réussi mon job ! Quitter le jugement premier souvent négatif (la vision « bling bling ») pour s’ouvrir à la différence de l’autre en tentant de mieux comprendre qui il est et quel est son talent dans la différence : voilà qui marque la différence de nos talentueux étudiants au sein des entreprises ! » conclut-il.
Un grand merci !
Etudiante en dernière année de Bachelor, Marine est alternante dans le secteur de la défense chez THALES Air Operations !

En cette journée internationale des droits des femmes, Marine, étudiante en dernière année du programme Bachelor de MBS en alternance au sein du groupe Thales – leader mondial des hautes technologies notamment dans le secteur de la défense, témoigne sur son parcours dans un grand groupe résolument engagé dans la diversité, la mixité et l’égalité professionnelle !
« Mon premier contrat d’apprentissage chez Thales c’était en DUT en tant qu’assistante chef de projet chez Thales Optronique, la division du groupe dédiée aux caméras à visions nocturnes et longues portées dans le domaine militaire. J’y ai développé des connaissances très précises et spécifiques au domaine de l’armement et j’ai élargi ma culture sur les liens de l’état avec l’armée. Ce qui m’y a d’abord attirée, c’était la perspective de travailler dans un grand groupe international français, l’environnement et le secteur, mais surtout la volonté de me différencier. Je sais désormais que le secteur de la défense est loin d’être réservé aux hommes ! Bien sûr, c’est un milieu d’ingénieurs et de techniciens, et donc un secteur qui attire davantage de candidats masculins, peut-être aussi par manque de candidates ingénieures mais les femmes y sont nombreuses, et ce sur tous types de postes ! »
Aujourd’hui, Marine intégrée en dernière année de Bachelor à MBS est toujours chez Thales mais cette fois ci sur un poste d’assistante marketing. Elle travaille sur différents domaines (marketing stratégique, opérationnel et évènementiel) – souvent en anglais – en relation directe avec les clients, qui ne sont autres que les forces armées aériennes d’une cinquantaine de pays, dans le cadre de la construction, l’amélioration et la vente de services associés aux systèmes spécialisés développés par Thales dans le domaine aérien.
« Nos services peuvent être des formations aux clients, de la maintenance, des réparations, des contrôles techniques de systèmes, etc. Mon rôle est de marqueter les offres pour les clients au travers de nos outils de communication comme des brochures, des catalogues ou bien des vidéos. C’est un poste qui me correspond plus dans la partie notamment commerciale et relationnelle. »
Marine est très fière de travailler pour une entreprise qui s’engage pour l’égalité professionnelle et la mixité. « Ils savent dès l’embauche assurer la mixité des équipes et aujourd’hui 22% des 61000 collaborateurs sont des femmes. Je le constate tous les jours et la moitié des chefs de projets avec qui je suis en relation constante sont d’ailleurs des femmes. Je pense parler au nom de toutes en disant que ce secteur est aussi mixte que n’importe quel autre et ne doit pas faire peur à tout type de candidate. D’ailleurs, je remercie Thales de m’avoir donnée ma chance il y a 2 ans. Et j’espère pouvoir continuer avec eux après mes études car je me sens vraiment à ma place ! »
Montpellier Business School remercie bien entendu toutes les entreprises qui défendent les valeurs de diversité, de non-discrimination et l’égalité professionnelle et en profite pour rappeler qu’elle a été la 1ère grande école à intégrer des femmes dans ses cursus, avec une 1ère promotion sortante mixte en 1917 !
Mollie : « J’ai un Bac professionnel, 5 ans d’expérience dans le luxe et désormais je suis en Master 2 par alternance chez Chanel ! Merci à ceux qui m’ont poussée à croire en mes rêves ! »

Aujourd’hui, Mollie Angel Brown est une étudiante en 2ème année du programme Grande Ecole de Montpellier Business School et alternante chez Chanel. Et tout a commencé… par un bac professionnel esthétique, cosmétique et parfumerie qu’elle ne renierait pour rien au monde ! Au travers d’un parcours 100% alternance en BTS puis en licence, Mollie a cumulé de belles expériences chez différentes marques renommées dans le secteur du luxe, pour finalement intégrer MBS par le concours Formation Initiale Alternée 2ème année !
« Dès le lycée, je voulais absolument m’orienter vers le domaine de l’esthétique, de la cosmétique et de la parfumerie » commence Mollie. « … au grand damne de toutes les personnes qui voulait absolument que j’aille en filière générale et qui considéraient qu’avec un bac pro, je n’arriverais à rien. Moi je croyais en mes capacités, mes envies et j’ai bien eu raison ! » Après un bac avec mention bien, Mollie a donc choisi d’effectuer toutes ses études en alternance, tout en travaillant durant ses périodes de vacances. « Je trouvais que l’alternance était le meilleur moyen de me professionnaliser dans le secteur qui me passionnait. J’ai d’abord démarré par de petites expériences chez L’Oréal Luxe, Dior ou encore Guerlain, et j’ai pu décrocher un contrat d’apprentissage de deux ans chez Lancôme durant mon BTS, me confortant dans ma volonté d’aller le plus loin possible vers le bac +5. »
Pour sa licence, Mollie s’est alors tournée vers les grandes écoles de management, et MBS en particulier. « En me renseignant sur les différentes possibilités qui s’offraient à moi pour poursuivre en Master par la voie de l’alternance, j’ai découvert le concours Formation Initiale Alternée qui correspondait totalement à mon profil, et me permettait de ne pas me retrouver en concurrence avec les nombreux candidats des concours classiques. Après avoir passé le concours FIA1, je n’ai pas pu trouver de contrat d’apprentissage de 3 ans dans mon secteur fétiche, alors je suis partie effectuer une licence professionnelle ailleurs avec un contrat d’un an chez Chanel, pour revenir passer le concours FIA2 en 2016 et pouvoir continuer 2 ans de plus chez la même marque. Le rythme de 3 semaines en entreprise pour 1 à l’école était idéal pour eux, et l’école était assez réputée pour son expertise dans l’alternance ! Je suis très heureuse d’être à MBS car c’est l’école de la diversité ! Ici, je ne suis pas une extraterrestre malgré mon parcours, vous voyez (rires) ! Au contraire, la différence est valorisée et considérée comme un « talent » ! »
Aujourd’hui, Mollie est alors épanouie et fière du chemin parcouru ! « Je travaille côté cosmétiques, au poste de déléguée commerciale et merchandising. Je suis en charge de 45 magasins sur Paris dont 2 sont les plus grands de la capitale et j’en visite entre 3 et 4 par jour. C’est très dynamique et j’adore ça ! L’ambiance entre les collaborateurs, au siège comme en magasin est toujours très bonne, il y a beaucoup de partage et de solidarité, c’est motivant et je m’éclate vraiment ! » confie Mollie.
« Je ne changerai mon parcours pour rien au monde et j’encourage les lycéens professionnels à suivre la voie de leur cœur, de croire en eux et de ne pas écouter les préjugés ! J’ai eu la chance de rencontrer des professeurs formidables pendant mon bac pro au lycée Hélène Boucher à Toulouse, ils m’ont poussée à continuer et je les en remercie. Heureusement qu’il existe des écoles et des entreprises qui donnent leur chance à tous les profils d’où qu’ils viennent dès lors que l’on prouve ses compétences et son savoir-être ! »
Montpellier Business School félicite Mollie pour son beau parcours et ne doute pas qu’elle se donnera les moyens d’aller au bout de ses rêves !