MBS School of business
29 mars 2021

Traversée de la Méditerranée à la rame : Florian Juvanon, alumni 2018, explique les raisons écologiques et les préparatifs qui se cachent derrière cette aventure collective prévue pour l’été 2021

Traversée de la Méditerranée à la rame : Florian Juvanon, alumni 2018, explique les raisons écologiques et les préparatifs qui se cachent derrière cette aventure collective prévue pour l’été 2021

En juin 2021, Florian Juvanon, diplômé 2018 de MBS, partira des côtes du sud de la France, pour une traversée de la Méditerranée à la rame, au sein d’une équipe de 6 rameurs. L’équipe se lance ainsi dans un défi physique et mental pour alerter sur la situation critique des environnements marins, et sensibiliser à leur préservation, grâce notamment à la production d’un documentaire scientifique.

 

L’écologie et le dépassement de soi au cœur du projet

Alumni du programme Grande Ecole, Florian Juvanon évoluait dans les secteurs de l’œnologie et de la gastronomie lorsque la crise sanitaire interrompit son activité. « La pause provoquée par le confinement et le couvre-feu a été l’occasion pour moi d’engager une réflexion sur les projets dans lesquels je souhaitais m’investir. Je suis sauveteur en mer depuis 2010 donc m’engager dans un tel projet pour la Méditerranée est un vrai retour aux sources. » explique l’aventurier.

« Lorsque Cyril Van Ginneken, Fondateur du projet m’a expliqué le concept, j’y ai vu l’expédition que je cherchais depuis des années, afin de pouvoir lier le dépassement de soi à une cause qui me tient à cœur : la préservation de l’environnement. » témoigne Florian. En effet, au-delà du défi sportif de relayer les rameurs pour un effort 24h/24, la traversée est aussi un support d’expérience scientifique au service de la biodiversité. En trajet continu et non motorisé, l’escouade, composée notamment d’un coordinateur scientifique, pourra effectuer le suivi de certaines espèces rencontrées (grands pélagiques), effectuer des prélèvements d’eau pour les laboratoires de recherche, et analyser le suivi de la pollution. En parallèle, les deux pirogues suivies par deux embarcations de sécurité effectueront également un ramassage des déchets sur le parcours jusqu’au Maroc (environ 1000km).

 

Savoir s’entourer

Si les liens entre cette traversée et la formation de Florian ne sautent pas aux yeux, il parvient à exploiter les compétences acquises au cours de son expérience au sein du programme en ayant également en charge de la communication, du sponsoring et des partenariats de l’expédition. « Nous sommes soutenus par Anne Quéméré (navigatrice) et Quentin Urban (champion du monde et de France de Kayak marathon), ainsi que par des entreprises expertes du secteur marin. Aujourd’hui, nous finalisons la phase de financement et il est encore temps de nous soutenir. » explique Florian Juvanon.

Préparation mentale et physique, définitions des protocoles scientifiques, recherche de partenariats : cette aventure aura nécessité une année de préparation. Parmi les préparatifs, un documentaire pour mettre en valeur la collaboration scientifique et partager le quotidien des aventuriers. « L’expédition réunit 15 personnes aux histoires très différentes et complémentaires : pianiste, coach sportif, biologiste, réalisateur, pompier… c’est cette diversité qui fait la force de notre équipe. » conclut le diplômé.

Pour suivre leurs aventures, les contacter ou les soutenir :

23 mars 2021

Découvrez les premières images de la forêt MBS

Découvrez les premières images de la forêt MBS

A la rentrée dernière, MBS s’était associée à Reforest’Action pour permettre à chaque étudiant et collaborateur de planter virtuellement un arbre. Aujourd’hui c’est du concret et la forêt MBS est née.

Une forêt de 4000 arbres, nichée au cœur du parc naturel régional du Haut Languedoc, à Lamontélarié (environ 2 heures de Montpellier), dans le but de reboiser 17 hectares où l’ancien peuplement d’épicéas a subi une attaque de scolytes ainsi que des forts coups de vent. Pour éviter que ce ravageur ne se répande, de nouvelles essences (des sapins de Douglas et des mélèzes, diversifiés avec des hêtres), mieux adaptées à la station, ont été plantées.

Les éco-bénéfices générés par la forêt MBS :

  • 600 tonnes de CO2 stockées
  • Création de 12 000 abri(s) pour animaux
  • 16 000 mois de production d’oxygène
  • 4000 heures de travail créées

Toute la communauté MBS s’est engagée, à travers ces 4000 arbres plantés, à agir concrètement contre l’urgence climatique et pour la protection de la biodiversité. 

 

17 mars 2021

MBS a créé la Chaire COAST pour permettre aux étudiants, aux entreprises et à la recherche de devenir les acteurs de la transformation durable de l’économie et de la société

MBS a créé la Chaire COAST pour permettre aux étudiants, aux entreprises et à la recherche de devenir les acteurs de la transformation durable de l’économie et de la société

Ce lundi 15 mars se tenait le webinar de lancement de la nouvelle Chaire Communication and Organizing for Sustainability Transformations (COAST) dirigée par Dr. Helen Etchanchu. Cet événement a réuni 5 experts du développement durable, afin de débattre du rôle de la communication et de l’éducation dans la transformation sociétale et de révéler les premiers dispositifs mis en place par la Chaire.

 

Accompagner la transformation organisationnelle des entreprises pour adopter une logique économique plus coopérative et durable

 

Pour aller plus loin dans l’application de son plan stratégique, MBS souhaite œuvrer pour une transition écologique responsable en développant de nouveaux contenus et méthodes pédagogiques grâce à sa recherche, et en préparant les étudiants à devenir les acteurs de la transformation durable des organisations.

Dans cet objectif, Dr. Helen Etchanchu fonde la Chaire COAST pour valoriser les bonnes pratiques de la transformation organisationnelle des entreprises et rompre avec le paradigme du « business as usual. »

« Notre système actuel repose sur la logique économique du XIXe siècle, basée sur la privatisation et la rentabilité. Aujourd’hui, une autre logique émerge et valorise davantage le progrès social et le développement durable. Ce tournant nous pousse à nous interroger sur nos convictions profondes afin d’amorcer un changement. Mais pour agir différemment, il faut savoir penser différemment, et c’est là que la recherche, l’éducation et la communication entrent en jeu. » explique Dr. Helen Etchanchu, titulaire de la Chaire.

 

Former et informer pour remettre l’économie au service de la société

Pour construire un dispositif pédagogique pertinent et performant, la Chaire s’appuie sur des partenaires experts du domaine avec la Fresque du Climat, le Campus de la Transition et le média Impact(s).

Selon Cédric Ringenbach, Fondateur de la Fresque du Climat qui a formé plus de 130 000 personnes, une transition durable ne peut se faire sans un socle commun de connaissances. « Au cours de l’exercice, les participants nous expliquent que les messages perçus aujourd’hui dans les médias sur le réchauffement climatique restent confus. C’est la raison pour laquelle nous avons construit l’outil de la Fresque du Climat. Par équipe, les participants s’imprègnent des différents rapports de causes à effets et découvrent l’ampleur des solutions à mettre en place. »

 

Pour lutter contre le potentiel de découragement face à la tâche, Baptiste Gapenne, fondateur d’Impact(s) présente le journalisme de solutions, qui propose de valoriser les initiatives afin de favoriser l’envie d’agir. « Adopter une approche optimiste qui partage les démarches innovantes dans le cadre du développement durable peut permettre de réduire ce fossé qui existe entre le moment où l’on a envie d’agir et le véritable passage à l’action » explique-t-il.

Pour aller plus loin, Dr. Cécile Renouard, Présidente du Campus de la Transition, identifie une transformation durable de trois ordres. « La formation, la recherche et l’expérimentation permettent de conduire une transformation quotidienne, structurelle et culturelle. Il ne s’agit pas uniquement de repenser nos manières de nous chauffer ou de nous déplacer, mais aussi d’enclencher une nouvelle manière de réfléchir, pour proposer un autre spectre d’une vie réussie, plus durable. Cela demande de construire des métriques permettant d’évaluer les performances et aussi d’effectuer un travail de recherche avec la Chaire sur les récits que nous utilisons pour former les plus jeunes. » témoigne Cécile Renouard. 

Adrien Jahier, Expert et consultant en communication environnementale, conclut également en insistant sur l’importance des récits positifs : « Pour communiquer autour du changement climatique, il faut former les acteurs du changement à l’adaptation de leur discours en fonction du public, afin de facilité la mémorisation des messages et de fédérer les organisations autour de ces enjeux sociétaux. »

 

Le plan d’actions de la Chaire débute dans quelques jours avec le hackathon ODD challenge

 

Le webinar s’est achevé en donnant la visibilité sur le plan d’actions de la Chaire COAST. « Très concrètement, les actions de la Chaire débutent avec le hackathon ODD* challenge. Cet événement pédagogique réunira le 31 mars prochain 150 étudiants du Programme Bachelor, puis le 7 avril 450 étudiants du Programme Grande Ecole autour d’un séminaire intensif de trois jours, au cours duquel ils devront résoudre des problématiques de développement durable d’Occitanie, à la suite d’un kick-off animé par la Fresque du Climat. » explique Dr. Helen Etchanchu.

« Ces ateliers de la Fresque du Climat feront objet d’un important projet de recherche pour mesurer et améliorer l’impact des ateliers sur l’attitude et les actions climat des participants. Ce type de recherche-action sera généralisé par la Chaire dans d’autres contextes. » précise l’experte.

« Dans la dimension académique, une refonte des programmes est en cours afin d’intégrer davantage les enjeux du développement durable au cœur des formations. Dans ce cadre, la Chaire COAST travaille à développer de nouveaux contenus, de nouveaux certificats et de nouvelles méthodes de pédagogie innovantes fondées sur l’expérience et l’immersion pour favoriser un apprentissage transformationnel. Ces contenus serviront également à l’accompagnement des entreprises que nous encourageons à nous contacter pour intervenir dans nos cours pour partager leurs bonnes pratiques » conclut Helen.

 

Pour plus de renseignements ou si vous souhaitez monter une collaboration avec la chaire COAST : h.etchanchu@montpellier-bs.com

*ODD : Objectifs du développement durable

12 mars 2021

Nouveau campus : la co-construction avec les étudiants et les collaborateurs de l’école se poursuit le 17 et le 19 mars avec un premier café projet virtuel

Nouveau campus : la co-construction avec les étudiants et les collaborateurs de l’école se poursuit le 17 et le 19 mars avec un premier café projet virtuel

Campus éco-responsable, quartier Cambacérès, concours d’architectes : où en est le projet nouveau campus ?

Futur quartier éco-numérique de Montpellier situé à deux pas de la halle French Tech et de la gare Montpellier Sud de France, Cambacérès accueillera le futur campus de MBS pour la rentrée 2024.

L’objectif, déjà annoncé lors de la révélation du plan stratégique 2020-2025, est de coconstruire avec l’ensemble de la communauté MBS (étudiants, chercheurs, collaborateurs, diplômés…) un campus à la pointe de la technologie et de l’écologie, conçu pour proposer un lieu de vie propice à la créativité et à une pédagogie hybride, tout en garantissant une empreinte carbone la plus basse possible.

Le concours d’architectes qui avait rassemblé plus de 120 candidatures s’est finalement arrêté sur quatre finalistes internationaux de renom.

A travers des commissions utilisateurs, des « Cafés Projets » ou encore des ateliers d’acculturation, la communauté de MBS a l’opportunité ici de participer à la co-construction de ce futur écosystème.

 

Etudiants et collaborateurs : rendez-vous le 17 et 19 mars pour participer à la co-construction du campus

Etudiants et collaborateurs, MBS vous invite à participer au premier Café Projet 100% virtuel :

  • Le 17 mars à 12h pour les étudiants de MBS
  • Le 19 mars à 11h pour les collaborateurs de l’école

Au programme : découverte des coulisses du projet ainsi que des quatre finalistes au concours d’architectes et surtout la possibilité de partager son avis et ses attentes.

L’événement a lieu sur teams et le lien de participation vous sera envoyé par la Direction Générale prochainement, directement sur votre adresse mail MBS.

 

11 mars 2021

Certification LEVELTEL: décryptage d’un dispositif pour accompagner les étudiants souffrant de troubles DYS à MBS

Certification LEVELTEL: décryptage d’un dispositif pour accompagner les étudiants souffrant de troubles DYS à MBS

Dans le cadre des études supérieures, seuls 1 % des jeunes en situation de handicap atteignent un niveau bac + 5. Depuis de nombreuses années, MBS agit pour l’inclusion afin que le handicap ne soit pas un frein au bon déroulement des études en Grande Ecole. Mise en place depuis 2019, la certification LEVELTEL est l’un des ces nouveaux dispositifs visant à accompagner les étudiants souffrant d’un handicap peu connu du grand public : les troubles DYS.

 

Qu’est-ce qu’un trouble DYS et comment impacte-t-il l’étudiant dans son cursus ?

 

Les « troubles DYS » sont des troubles cognitifs qui induisent des troubles de l’apprentissage. Si le plus connu reste la « dyslexie » (trouble de l’acquisition du langage écrit), d’autres troubles sont désormais identifiés comme la dyscalculie (troubles des activités numériques), la dysphasie (trouble du développement du langage oral), ou encore la dysorthographie.

« Certaines certifications, comme les tests de niveau de langue, nécessaires à l’obtention du diplôme, ont recours à des épreuves de types QCM visant à évaluer les compétences de compréhension et d’expression écrite de l’étudiant dans un temps imparti. Pour les étudiants présentant des troubles DYS, ces tests présentent donc une difficulté supplémentaire » explique Aurélie GRAVE, référente handicap du Programme Grande Ecole de Montpellier Business School.

« Dans un premier temps, l’enseignement supérieur a opté pour un rallongement des épreuves pour les étudiants présentant ces troubles. Cependant, cet aménagement n’était pas suffisamment adapté. Il était donc nécessaire d’adopter un nouveau dispositif en cohérence avec notre politique en faveur de la diversité et de l’inclusion pour permettre à ces étudiants de démontrer leur véritable niveau. » complète Dr. Cédrine Joly, Directrice du Programme Grande Ecole.

 

La certification LEVELTEL : un outil professionnalisant adapté aux exigences du diplôme

Afin d’obtenir leur diplôme, tous les étudiants du Programme Grande Ecole de MBS valident une certification internationale évaluant leurs compétences linguistiques.

Pour les étudiants souffrant de troubles DYS, MBS propose désormais la certification LEVELTEL, mieux adaptée à leur situation de handicap. « LEVELTEL est un test certifiant qui vient évaluer la capacité du candidat à interagir dans une autre langue. Le test est composé d’un questionnaire oral, administré par un examinateur de langue maternelle et construit autour de la professionnalisation de l’étudiant. Tout comme le TOEIC, LEVELTEL permet la délivrance du niveau CECRL global. Cette certification est connue et utilisée par les entreprises et les recruteurs et elle permet du point de vue académique d’évaluer si les compétences linguistiques de l’étudiant sont suffisantes pour la validation de son diplôme.» explique Dr. Cédrine Joly.

                                   

Un dispositif qui vient compléter un maillage solide d’actions en faveur de l’inclusion

Signataire de la deuxième charte handicap de la Conférence des Grandes Ecoles, MBS traduit concrètement son engagement par une accessibilité matérielle totale sur le campus, avec par exemple le système TWAVOX permettant aux étudiants en situation de handicap auditif de pouvoir suivre les cours de façon optimale.

Dès la rentrée, et jusqu’à sa diplomation, l’étudiant est accompagné par un référant handicap, spécifique à chaque programme, afin de veiller au bon aménagement de son parcours. Cet accompagnement est renforcé par des phases de professionnalisation, avec l’organisation chaque année de deux forums spécifiques pour faciliter l’insertion des étudiants et jeunes diplômés en situation de handicap sur le marché du travail.

Enfin, la politique d’inclusion passe par la sensibilisation et l’engagement de tous les publics. « L’ensemble de l’école est invité à participer à la journée « Handivalides » le 18 mars prochain. Les étudiants et les collaborateurs auront l’opportunité de participer à différents ateliers 100% online pour développer la cohésion et l’esprit d’équipe avec les jeunes en situation de handicap. » conclut Nadège Ortiz-Borys, Coordinatrice Handicap et RSE.

 

03 mars 2021

Comment intégrer le développement durable au cœur de l’activité de son entreprise ? Réponse avec Thomas André, fondateur de Dynveo, alumni et lauréat du Prix « Jeune entreprise innovante et responsable » en 2013

Comment intégrer le développement durable au cœur de l’activité de son entreprise ? Réponse avec Thomas André, fondateur de Dynveo, alumni et lauréat du Prix « Jeune entreprise innovante et responsable » en 2013

Le Prix « Jeune entreprise innovante et responsable », qu’est-ce que c’est ?

Dans un contexte complexe pour les entrepreneurs et les PME, MBS renouvelle son engagement afin d’accompagner au mieux ces entreprises dans leur développement et leur transition. Chaque année, la Fondation Montpellier Business School pour l’égalité des chances lance le Prix « Jeune entreprise innovante et responsable » pour soutenir financièrement une start-up à impact sociétal et/ou environnemental positif. 

L’objectif : soutenir les entrepreneurs de MBS qui s’engagent pour un monde plus responsable, en leur apportant un financement de 10 000 €.

Destiné aux étudiants entrepreneurs de MBS et aux diplômés depuis moins de trois ans, le Prix « Jeune entreprise innovante et responsable évalue : le réalisme financier, la qualité du business plan, le caractère innovant et la contribution à la défense des valeurs d’ouverture, de responsabilité et performance globales du projet.

En 2013, le prix a été remporté par Thomas André, avec l’entreprise qui est devenue aujourd’hui Dynveo, un laboratoire de compléments alimentaires bio, sans excipients ni additifs, commercialisés dans des flacons 100% compostables.

 

Fidèle à ses convictions, Thomas place la santé et le respect de l’environnement au cœur de son business model.

La belle histoire entrepreneuriale de Thomas débute en 2010, lors d’un stage en Irlande. « C’est lors de cette première expérience que j’ai compris que l’e-commerce permettait de facilement mettre en valeur son produit tout en opérant à moindre coûts. » explique l’entrepreneur. « A cette époque, alors que je suis encore étudiant, je décide de me lancer à la suite de ce stage dans le e-commerce et je choisis le marché des compléments alimentaires. Seulement, je me rends vite compte que ce que j’aimerais moi-même consommer n’existe pas sur le marché. J’imagine alors des compléments alimentaires bio, sans excipients ni additifs, respectueux de mes convictions environnementales. » complète Thomas.

Après avoir remporté le prix, Thomas poursuit le développement de sa société et devient rentable en 2015, année charnière pour l’entrepreneur qui fonde une seconde société : Greencaps afin d’internaliser la production. « La vie d’entrepreneur est longue et compliquée. Pendant plusieurs années, je n’ai pas pu me rémunérer et j’étais au RSA. Après cette première année de rentabilité, et à force de persévérance et surtout de travail, j’ai pu en 2017, concrétiser un chiffre d’affaire (CA) de 600 000 €. »

Avec un CA désormais de plusieurs millions d’euros, Thomas garde la tête sur les épaules et continue d’œuvrer à la transition écologique des entreprises. « Nous avons été parmi les premiers en France à lancer un conditionnement de nos produits 100% compostables. Nos locaux sont équipés de panneaux photovoltaïques afin d’atteindre l’autosuffisance énergétique et nous continuons de travailler l’extraction et le contrôle de nos matières premières afin d’être dans un processus d’amélioration continu et de respecter notre engagement pour l’environnement et la santé. » Dans les prochains mois, Thomas compte étendre ses produits aux marchés internationaux et aux points de vente physique. Affaire à suivre !

 

Contacts Prix « Jeune entreprise innovante et responsable » :

Fondation MBS : Sophie Gosselin, Déléguée générale de la Fondation Montpellier Business School pour l’Egalité des chances : s.gosselin@montpellier-bs.com

Pour soutenir la fondation :

 https://dons.fondationdefrance.org/FONDATION_MONTPELLIER_BUSINESS_SCHOOL/~mon-don?_cv=1

02 mars 2021

Palmarès Le Parisien 2021 – Le Programme Bachelor de MBS se classe 2nd des meilleurs Bachelors en école de commerce

Palmarès Le Parisien 2021 – Le Programme Bachelor de MBS se classe 2nd des meilleurs Bachelors en école de commerce

Une progression continue dans un environnement challengé par la crise sanitaire

Publié ce mardi 2 mars, le nouveau palmarès 2021 des Bachelors en école de commerce du magazine Le Parisien étudiant classe le programme BIBA de Montpellier Business School (Bachelor of International Business Administration) 2e meilleur Bachelor ex aequo, en progression d’une place, pour la deuxième année consécutive.

Ce palmarès évalue treize critères et MBS enregistre notamment une note maximale notamment pour ses labels, son développement, son attractivité, sa sélectivité ou encore pour l’insertion de ses étudiants dans le monde du travail. 

Un taux d’emploi de 97% pour les jeunes diplômés du Programme Bachelor de Montpellier Business School

Face à une offre de formations post-bac de plus en plus vaste et une crise économique qui menace l’employabilité des futurs diplômés, les lycéens et leurs parents sont plus attentifs que jamais aux garanties et débouchés que proposent les diplômes.

Chaque année, 50% des étudiants poursuivent leurs études après le Bachelor, lorsque l’autre moitié choisit d’intégrer directement le marché du travail. « Grâce à la forte professionnalisation des étudiants, notamment via l’alternance en dernière année, le Programme Bachelor de MBS atteint un taux d’emploi de 97% chez ses jeunes diplômés, ce qui rassure dans le contexte économique actuel. Commerce, marketing, finance, ressources humaines, RSE, conseil, communication… on retrouve l’intégralité des métiers de l’entreprise parmi nos diplômés. Une dernière statistique intéressante : 4% d’entre eux choisissent de créer leur propre entreprise. » conclut Dr. Alejandro Allera.

Vous êtes titulaires ou futurs titulaires d’un Baccalauréat et souhaitez rejoindre en 1ère année le Programme Bachelor ? Participez à la Journée Portes Ouvertes digitale du Programme Bachelor, demain après-midi de 13h à 18h30.

Pour en savoir plus sur le classement, rendez-vous ici.

01 mars 2021

Se libérer du syndrome de l’imposteur : retour sur le parcours de Karim Al Sawah, alumni 2020, Operations Administrator chez Amazon et finaliste 2019 du concours CEO for one Month

Se libérer du syndrome de l’imposteur : retour sur le parcours de Karim Al Sawah, alumni 2020, Operations Administrator chez Amazon et finaliste 2019 du concours CEO for one Month

CEO for One Month de retour en 2021

Jusqu’au 19 mars, les étudiants de MBS sont invités à participer au concours CEO for One Month de son grand partenaire Adecco. A l’issue d’une sélection basée sur les softskills, le.a gagnant.e aura l’opportunité de partager le quotidien d’Alexandre Viros, Président France The Adecco Group, et de prendre part à des projets stratégiques durant un mois.

En 2019, Karim Al Sawah, aujourd’hui diplômé et Operations Administrator chez Amazon, était parvenu à se hisser jusqu’en finale.

Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 19 mars.

 

En 2019, Karim a su saisir l’opportunité du concours pour lever des freins psychologiques et affiner son projet professionnel

Lorsque Karim a participé au concours en 2019, il est encore alternant au sein de Spring, un cabinet de Conseil en Haute Savoie. « C’est ma manager qui m’a parlé du concours et qui a proposé de m’y inscrire. Au tout début, je ne me suis pas dit que c’était réellement possible : selon moi il fallait avoir un bagage d’expériences professionnelles solide pour avoir une chance de passer les premières étapes. » explique le jeune diplômé. « J’avais aussi un autre blocage : mon projet professionnel était encore à l’époque très flou : concrètement, il n’y avait pas un poste dans l’entreprise que je ne souhaitais pas tester. »

Encouragé par son entourage professionnel à participer au concours, Karim passe finalement une à une les étapes composées de tests de personnalité et de mises en situation professionnelles. « Jusqu’en finale je ne me rendais pas compte que je franchissais les étapes. J’avais des blocages psychologiques fondés sur des suppositions, comme le fait que le jury ne me choisirait pas parce qu’il avait déjà choisi quelqu’un au profil similaire. C’est là que j’ai eu le déclic de lever ce type de blocage, d’arrêter de chercher une causalité au fait que j’étais encore là, et de tout donner jusqu’en finale. » confie Karim.

 

De Adecco à Amazon : qu’est-il devenu ?

Diplômé en 2020, Karim fait partie des étudiants dont le projet professionnel a été impacté par la crise du Covid19. « Je pensais au départ poursuivre au sein de l’entreprise dans laquelle j’avais effectué mon alternance. Le premier confinement a rendu cela impossible, et conjointement, Amazon ouvrait ses bureaux à cinq minutes de chez moi. J’y vois là un signe. En consultant Linkedin, je me rends compte que les collaborateurs ne sont pas cloisonnés sur une fiche de poste, qu’ils évoluent rapidement. Cette agilité est aujourd’hui ce que je recherche, car elle convient à celles et ceux qui comme moi apprécient la polyvalence dans leurs missions. » conclut Karim, qui évolue aujourd’hui en tant qu’Operations Administrator au sein d’Amazon.

24 février 2021

Intelligence artificielle, Design thinking et leadership agile : les raisons qui ont poussé Marie Legrand à opter pour l’EMBA

Intelligence artificielle, Design thinking et leadership agile : les raisons qui ont poussé Marie Legrand à opter pour l’EMBA

L’opportunité de renforcer et structurer ses compétences tout en prenant du recul sur son activité professionnelle

 

L’Executive MBA de Montpellier Business School est un programme résolument tourné vers l’expérientiel et construit autour des objectifs professionnels de chacun. Pour Marie Legrand, alumni du programme depuis quelques semaines et EMEA Technical Support Manager au sein de Dell Technologies, l’objectif était de partager avec des dirigeants sur leur transformation d’entreprise.

« J’évolue dans le secteur de la transformation digitale et des télécommunications depuis une dizaine d’années. Aujourd’hui j’encadre une équipe support internationale basée dans quatre pays différents. Si j’ai opté pour l’Executive MBA, c’était pour partager des bonnes pratiques autour du leadership agile, déployer des méthodes d’intelligence collective telles que le design thinking et apprendre à déléguer efficacement. La prise de recul nécessaire pour gérer le business quotidien tout en suivant le parcours de l’Executive MBA m’a permis de me recentrer sur l’essentiel de la stratégie » témoigne Marie Legrand.

 

Se former pour accompagner les équipes à travers la 4e révolution industrielle

La personnalisation du cursus donne l’opportunité aux participants de construire leur thèse autour d’un enjeu professionnel personnel. « Dans mon cas, j’ai souhaité utiliser ce levier pour développer mes connaissances dans l’adoption des innovations technologiques par les salariés et les dirigeants d’entreprise, en me concentrant sur le cas particulier de l’intelligence artificielle (IA) » complète Marie Legrand.

« J’ai une passion personnelle pour l’innovation technologique, et le Business Model de l’entreprise Dell me permet aujourd’hui d’être au cœur du réacteur de l’intelligence artificielle et de son déploiement au sein de l’entreprise. Par l’intermédiaire de cette thèse, j’ai souhaité développer mes connaissances en termes d’IA et de salarié augmenté afin de pouvoir mieux accompagner les initiatives en interne, participer à la transformation de l’entreprise et cascader les best practices à mes équipes. » explique-t-elle.

Face aux bouleversements de plus en plus fréquents et plus en plus rapides que traversent les entreprises, l’innovation managériale, reposant sur l’agilité des leaders, semble être la meilleure stratégie pour mieux accompagner le changement. « Opter pour cette formation, c’est choisir de développer sa pensée critique et ainsi adopter une posture plus performante face au changement » conclut Marie Legrand.

18 février 2021

Palmarès « Le Point » 2021 : MBS se classe 5e pour la puissance de sa recherche

Palmarès « Le Point » 2021 : MBS se classe 5e pour la puissance de sa recherche

Avec la crise sanitaire, le traditionnel palmarès général, où MBS se classe 12e en 2020, est renforcé par 4 classements thématiques

 

Ce jeudi 18 février, le magazine Le Point révélait la méthodologie exceptionnelle mise en place pour son palmarès 2021 des Grandes Ecoles de commerce.

Pour adapter son évaluation à la crise sanitaire, l’équipe du Point a choisi de ne pas construire un nouveau classement général pour 2021 et a choisi de publier un dossier composé notamment du palmarès 2020 afin de rappeler la place des écoles sur le long terme complété par quatre nouveaux classements par thématiques.

Séjours à l’étranger digitalisés ou reportés, cours en comodal, augmentation du nombre d’alternants, « la situation sanitaire exceptionnelle nous a conduits à modifier notre traditionnel palmarès. » explique Claire Lefebvre du magazine le Point.

Le classement général 2020 republié cette année classe MBS à la 12e place.

 

 

Une 5e place pour la puissance de sa recherche (4e école post prépa) et 11e place pour son exposition multiculturelle

 

Avec 37 établissements évalués cette année, Le Point a choisi de construire ses quatre nouveaux classements sur les thématiques suivantes :

  • L’encadrement pédagogique
  • L’exposition multiculturelle 
  • La puissance de la recherche 
  • L’efficacité des dispositifs d’insertion

 

Parmi les nombreux critères pris en compte pour construire ces palmarès, MBS parvient à marquer la différence grâce à la puissance de sa recherche avec une 5e place au classement (4e école post-prépa) et une 11e place pour l’exposition multiculturelle. « Ces deux résultats sont en adéquation avec nos deux valeurs caractéristiques qui sont l’excellence académique et l’inclusion, et cela nous encourage à poursuivre la mise en œuvre de notre plan stratégique 2020-2025. » explique Bruno Ducasse, Directeur Général de MBS.

 

L’intégralité du palmarès du magazine Le Point sera disponible pour les abonnés directement sur leur site.

 

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