Montpellier Business School et Montpellier SupAgro renforcent leur collaboration avec la signature d’une convention de coopération

L’an dernier, Montpellier SupAgro (MSA) et MBS s’unissaient dans le but de contribuer au progrès de la filière vitivinicole, avec notamment l’intégration du module “Spécificités et panorama international du secteur du Vin” au sein de la spécialisation de commerce international des vins de la dernière année du programme Master de MBS. Aujourd’hui, la collaboration se renforce avec une convention de coopération signée le 03 juillet dernier par Anne-Lucie Wack, Directrice générale de MSA et Didier Jourdan, Directeur général de MBS, dont l’objectif est de favoriser l’hybridation des cultures entre ingénieurs et managers.
En plus de reconduire le partenariat concernant l’ingénierie pédagogique et les enseignements spécifiques, MSA et MBS vont se rapprocher dès la rentrée prochaine sur l’entrepreneuriat, la transformation digitale, l’accueil d’étudiants internationaux, la RSE, et l’ouverture sociale. Une collaboration prometteuse qui concrétise la synergie possible entre les deux établissements dans le secteur de la vigne et du vin, et qui s’inscrit toujours dans une démarche de rassemblement de compétences transdisciplinaires.
Sur le plan pédagogique, cet accord comprend notamment une facilité d’accès aux enseignements respectifs de chaque école pour les étudiants en césure, et une mutualisation des ressources concernant le module « Supply Chain » proposé dans les deux écoles. Partageant les valeurs de RSE et de développement durable, MSA et MBS vont également mettre en place un certificat « Responsabilité globale » délivré aux étudiants inscrits dans un parcours de formation dédié à ces thématiques. En termes de coopération sociétale, des projets solidaires communs seront proposés, ainsi qu’une mutualisation des pratiques d’accueil des étudiants internationaux. Au niveau entrepreneurial, les relations entre l’incubateur de Montpellier SupAgro et le centre Entrepreneur J de MBS seront renforcées afin de favoriser la complémentarité des profils et des compétences en gestion, finance, création d’entreprise et ingénierie.
« Les équipes des deux écoles se sont rencontrées à plusieurs reprises pour construire les bases de ce partenariat sur les besoins pédagogiques et opérationnels réciproques sur lesquels nous sommes complémentaires. C’est une convention ambitieuse, mais portée par des équipes enseignantes et administratives motivées par ce besoin de mutualiser pour être plus performants ensemble mais également d’ouvrir respectivement leurs modes de pensées et leurs actions à la culture de l’autre pour s’enrichir mutuellement » commente Madame Caroline Cazi, Directrice des ressources humaines, de la diversité et de la RSE, et coordinatrice en charge de la mise en œuvre de la convention.
Deux diplômés de MBS s’associent et créent une entreprise spécialisée en énergies : Enys Power !

C’est pendant son alternance chez ERAI que Lionel a connu Lydia. Aujourd’hui, tous deux sont diplômés MBS (promotions 2014 et 2016) et se sont associés pour innover dans l’industrie électrique et proposer une formule clé en main de développement énergétique en Afrique ! Ils viennent alors de lancer l’entreprise Enys Power et nous la présente.
Embauché avant d’être diplômé à ERAI suite à son alternance, Lionel a ensuite poursuivi sa route comme Acheteur matériel électrique chez CEL France puis chez Engie Ineo, avant de se tourner finalement vers la création d’entreprise. « C’est pendant mon alternance qu’est née mon envie de créer ma propre entreprise d’énergies, et elle ne m’a jamais quitté depuis ! L’entrepreneuriat m’attire en fait depuis toujours. D’ailleurs si j’ai souhaité reprendre mes études pour rejoindre une grande école de commerce, c’est pour acquérir toutes les compétences qui sont nécessaires à la compréhension globale d’une entreprise et savoir saisir chaque aspect pour pouvoir moi-même créer mon entreprise quand le moment sera venu. Et le moment est venu ! »
En créant Enys Power, Lionel reste alors dans son domaine d’activité : les achats industriels et l’export Supply Chain. « Avec Enys Power, nous travaillons sur la conversion d’énergie et l’export. Notre objectif est d’apporter aux professionnels et industriels des solutions techniques et logistiques de développement d’énergie en Afrique de l’Ouest, de l’Est et du Centre, où l’accès électrique est difficile, et d’aller à court terme vers les énergies renouvelables. En plus de pratiquer des coûts compétitifs pour prendre des parts de marché, notre valeur ajoutée et ce qui nous distingue de nos concurrents, c’est l’aspect transfert de compétences. Nous voulons permettre aux techniciens des entreprises en Afrique d’être autonomes, et donc leur apportons des solutions de formation en plus de notre service clé en main » explique Lionel.
L’énergie étant un secteur porteur, Lionel espère une croissance rapide de son entreprise d’ici la fin de l’année 2018, avec l’objectif d’atteindre 250 000 euros de chiffre d’affaires, ce qui représenterait au moins 50 commandes. « Les contrats peuvent chiffrer très vite dans ce secteur, malgré un business irrégulier. Pour le moment, notre premier contrat a été conclu jusqu’en décembre 2017 pour de la consultance, avec mon ancien employeur Engie Ineo, donc hors Afrique, mais nous avons saisi l’opportunité car Engie étant un grand acteur de solutions d’énergie, c’est une belle référence à afficher pour nous et un gain de crédibilité. MBS le sait bien car c’est un des Grands Partenaires de l’école ! »
Fière de ses diplômés porteurs des valeurs d’ouverture, d’égalité des chances et de responsabilité globale, MBS souhaite bien sûr une très bonne continuation à Lionel et Lydia, et leur dit à très vite. D’autant plus que Lionel sera présent parmi les entreprises inscrites à STRATMEUP à la rentrée de septembre !
Le site tout neuf de Enys Power : www.enys-power.com
5e Edition de StratMeUp : Montpellier Business School renouvelle son offre gratuite d’aide aux entreprises de la région

Les inscriptions des entreprises de la région à la 5e édition de StratMeUp sont lancées ! Imaginée, développée et mise en œuvre par Montpellier Business School, cette action existe depuis 2013 et a mobilisé, en 2017, 120 entreprises de la région qui ont présenté 140 problématiques à 843 étudiants de MBS.
En participant au projet StratMeUp, les étudiants de MBS ont pour objectif d’élaborer un diagnostic stratégique et d’étudier des problématiques réelles des dirigeants de PME, stratuppers, associations ou grands groupes régionaux. Totalement gratuit pour les entreprises sélectionnées, le diagnostic peut concerner des domaines d’études très larges comme le marketing, la finance, la comptabilité ou encore les ressources humaines. Tous les travaux suivent un cheminement similaire avec l’analyse de l’environnement, la rédaction du business model, l’analyse concurrentielle et enfin les préconisations stratégiques. Les étudiants sont notés par le dirigeant et leur professeur coach, sur leur capacité à répondre à la problématique donnée par l’entreprise.
Déroulement
1ère étape : Au préalable des travaux réalisés par les étudiants, Montpellier Business School procède à un recrutement des entreprises. Celles-ci sont invitées à déposer leur candidature à l’adresse mail suivante : stratmeup@montpellier-bs.com. Un premier rendez-vous téléphonique permet de collecter les informations clés sur l’entreprise et de qualifier la problématique proposée par le dirigeant.
2e étape : L’action se déroule sur le premier semestre de l’année de Master 2 des étudiants, de septembre à janvier. Les entreprises sont proposées courant septembre aux étudiants qui les choisissent en fonction du secteur d’activité et de leur spécialisation. Des groupes de 5 à 6 étudiants sont alors formés.
3e étape : Au plus tard début octobre, une première rencontre est organisée par les étudiants, idéalement au sein de l’entreprise, entre le dirigeant, le professeur coach en charge du groupe, et eux-mêmes. Sur la période, plusieurs séances pédagogiques et de coaching sont assurées par les professeurs en charge de cette action, en parallèle du travail des étudiants sur la problématique.
4e étape : Un rendu intermédiaire au dirigeant en milieu de mission permet d’évaluer l’avancement de la mission et la compréhension de la problématique et du modèle économique de l’entreprise.
5e étape : La remise des conclusions a lieu au cours d’une demi-journée organisée à l’école en décembre-janvier. Les étudiants rendent leurs conclusions au dirigeant sous la forme d’une présentation orale suivie d’une discussion avec le chef d’entreprise et le coach et fournissent également un rapport de synthèse sur l’ensemble de leurs travaux. Le tout reste bien sûr confidentiel.
Pour bénéficier de cette aide, les entreprises de la région ont jusqu’au 30 septembre pour candidater à l’adresse stratmeup@montpellier-bs.com et ainsi profiter d’un diagnostic stratégique gratuit réalisé par nos étudiants en dernière année de programme Grande Ecole.
Un étudiant de M2 récompensé par le prix Entreprise Innovante et Responsable de la Fondation de Montpellier Business School !

En plus d’appliquer l’engagement de MBS en matière de diversité et d’égalité des chances au travers de nombreuses aides de financement des études (politique sociale), la Fondation de Montpellier Business School, sous l’égide de la Fondation de France, intervient dans le financement d’actions inscrites dans d’autres axes stratégiques de MBS : l’innovation et le développement de la recherche. C’est donc dans le cadre de l’innovation managériale que depuis 10 ans, la Fondation a décidé de décerner chaque année le prix « Entreprise Innovante et Responsable » à un projet de création d’entreprise porté par un(e) étudiant(e) ou jeune diplômé(e) de Montpellier Business School. Cette année, ce prix a été remporté par l’étudiant Rémy Carré, en dernière année de programme Master spécialisation Start-Up, pour sa start-up de cosmétiques 100% biodégradables BIOLAO.
Lors du comité exécutif du 2 juin 2017, ce sont 3 projets qui ont été présélectionnés et présentés au jury par l’intermédiaire de Pierre-Alain ROGEL, Directeur du centre MBS Entreprendre, dans lequel ces projets sont suivis, selon trois critères essentiels : le réalisme financier et la qualité du business plan, le caractère innovant du projet, et la contribution à la défense des valeurs d’ouverture, de diversité et de responsabilité et performance globales.
Même si les deux autres projets proposés étaient également de qualité, l’heureux lauréat de l’édition 2017 fut Rémy Carré avec un projet porté en collaboration avec Joséphine Moisson (diplômée en cosmétique) et Pierre Trégouët (Brand Designer), nommé BIOLAO : une poudre lavante entièrement biodégradable, d’origine naturelle et végétale, sans conservateurs et recommandé pour les peaux sensibles. Cette poudre est proposée dans un flacon innovant, hermétique, rechargeable et transportable afin de limiter au maximum la surutilisation des packagings plastiques difficilement recyclables. Le jury a été particulièrement sensible à ce concept et a décidé de lui accorder le prix de 10 000€, ceci afin de l’aider à constituer ses fonds propres avant le lancement du produit.
« Nous remercions sincèrement la Fondation pour cette aide précieuse » commente Rémy Carré. « Depuis le début, nous sommes accompagnés par MBS Entreprendre et notre coach Laurent Perez-Dubois, « serial entrepreneur », dans chaque étape de notre création. A ce stade, nous avons déjà beaucoup fait évoluer le produit depuis l’idée de base. Ce prix qui nous est décerné est un vrai tremplin pour nous permettre de gagner en crédibilité mais aussi d’accélérer le déploiement de notre gamme de produits. La somme remportée va nous permettre notamment de décliner notre poudre lavante à de la lessive, du shampoing ou encore du dentifrice. Je ne peux donc qu’encourager toutes les start-up nées au sein de MBS et encore en phase d’amorçage, à prétendre à ce prix. »
La Fondation souhaite bonne chance à l’équipe de BIOLAO pour la suite et reste bien sûr à ses côtés dans cette belle aventure qu’est l’entrepreneuriat !
Des étudiants de MBS ont débattu de problématiques géopolitiques internationales à l’évènement Lyon Model United Nations 2017 !

Cette année, MBS avec son association étudiante « World’Co » a proposé ses étudiants de participer à une expérience de négociation internationale en anglais, appelée le « Model United Nations ». Du 18 au 21 mai 2017, les inscrits au club MUN de Montpellier Business School, « MBSMUN », ont alors endossé le rôle de diplomates et ont échangé sur des enjeux d’ordre régional, national, et international, lors de l’édition 2017 de l’évènement à Lyon.
« Une session MUN (Model United Nations) est une simulation de l’ONU destinée à sensibiliser la jeunesse sur les questions internationales et la progression des droits humains » explique Madame Sophie Gosselin, Chargée de mission Santé, Handicap et Développement Durable et référente de l’initiative étudiante MBSMUN. « C’est aussi une introduction à la maîtrise des relations internationales et du droit public. Le MUN est alors l’occasion pour les étudiants de développer leurs compétences d’orateur et de leader en endossant le rôle de délégués, d’ambassadeurs, de ministres étrangers, ou même de chefs d’Etat lors de divers comités tels que l’Assemblée Générale des Nations Unies, le Conseil de Sécurité des Nations Unies, ou la Cour Pénale Internationale. »
Créé par la Harvard University en 1921 et aujourd’hui établi dans de très nombreuses universités et écoles prestigieuses dans le monde, le MUN compte plus de 60 000 membres. Cette année, l’édition « LyonMUN » a rassemblé plus de 400 participants français et internationaux pendant 4 jours, dont 5 étudiants en programmes Bachelor et Master de Montpellier Business School, dans le cadre de la mission suivante : « Garantir les Droits Humains face aux Nouveaux Challenges de Sécurité International ». Douze comités ont été simulés, 8 en anglais et 4 en français au cours desquels les étudiants ont pu échanger sur plusieurs sujets d’intérêt régional et international, comme le désarmement, la crise des réfugiés et la culture. Les participants de MBS Diego Estévez, Félix Moutet, Ulrich De La Rosa, Louis Lenfant et Amine Zahed se sont activement engagés dans les comités de l’Union Africaine (AU), le Conseil des Droits Humains aux Nations Unies, et l’Agence Internationale de l’Energie Atomique (IAEA). Ulrich De La Rosa, qui participait pour la première fois à une simulation MUN, a d’ailleurs été gratifié d’une Mention Honorifique pour son investissement remarquable tout au long des sessions !
L’année prochaine, l’évènement sera bien sûr réitéré et le club MBSMUN attend encore plus d’étudiants de l’école pour prendre part à cette expérience enrichissante. « Il est inévitable que le monde dans lequel nous vivons soit constamment incertain et conflictuel, c’est pourquoi nous devons encourager la jeunesse à prendre part activement à la transformation et à l’amélioration de certains des problèmes urgents que nous rencontrons aujourd’hui, en participant à ce type d’initiatives » commente le Secrétaire Général du MBSMUN 2016-2017, M. Diego Estévez. « J’appelle donc tous ceux qui seraient intéressés à se manifester auprès de notre club et de World’Co ! »
Pour plus d’informations sur les évènements MUN : https://mymun.net/
Programme BIBA, volley-ball et alternance… Soit le trio gagnant de Loïc, étudiant en dernière année de Bachelor à MBS

Montpelliérain de naissance, Loïc Sitbon a toujours eu l’idée et l’ambition de rejoindre un jour MBS. Après un baccalauréat ES, un an en classe préparatoire et un bac+2 en marketing et management, il a tenté le concours de MBS pour intégrer le programme Bachelor of International Business Administration en dernière année. Une dernière année que cet étudiant de seulement 20 ans a choisi de réaliser en alternance.
« Dès le lycée j’ai commencé à me renseigner sur Montpellier Business School », se souvient Loïc. « L’alternance et l’entrepreneuriat sont des points forts de l’école et c’était très important pour moi. Pouvoir faire cette année en alternance, c’était synonyme d’indépendance financière et d’expérience professionnelle. Et comme je suis sûr qu’un jour je voudrai me lancer dans l’entrepreneuriat, j’ai été séduit par le Centre Montpellier Business School Entreprendre qui a pour but de développer la culture entrepreneuriale des étudiants ».
De cette année en Bachelor L3, Loïc retient notamment la multiculturalité au sein de sa promo et des professeurs qui l’ont tout de suite touché par leurs enseignements. « Les cours étaient suffisamment généralistes et je me suis passionné pour tout ce qui concerne le management stratégique ou encore l’entrepreneuriat. Par exemple, c’était captivant de suivre le cours de comportement organisationnel qui nous apprend à bien gérer les différentes taches pour avoir le meilleur emploi du temps possible. En tant qu’alternant, j’ai tout de suite pu le mettre en pratique ! »
Cette année, Loïc est donc assistant commercial en contrat d’alternance au sein de l’entreprise APAVE, un bureau de contrôle qui accompagne les entreprises dans leur démarche de contrôle sécurité, qualité ou encore environnemental. « L’une de mes missions est de faire de l’inspection et d’établir des devis. Pour l’anecdote, mon 1er rendez-vous sur le terrain dès mon 2e jour de travail était à… MBS pour une vérification de l’installation de gaz sur le campus », s’amuse-t-il aujourd’hui. « Je savais que l’alternance demanderait beaucoup d’investissement personnel mais je sens que ça m’a fait du bien de sortir de ma zone de confort, de me retrouver face à moi-même dans un milieu professionnel et de mettre en pratique ce que j’apprends. Il est certain que j’ai beaucoup gagné en maturité en seulement un an ».
Egalement volleyeur en pré-national dans le club de Clermont l’Hérault, Loïc a mis à profit son arrivée à MBS pour intégrer le Bureau des Sports et monter une équipe qui notamment remporté le championnat de France des ESC. Investi jusqu’au bout, il a même « recruté » son père pour entraîner l’équipe ! « Le volley, l’alternance, les cours, les assos… C’était un gros rythme à avoir mais avec un peu d’organisation et beaucoup de volonté, c’est tout à fait réalisable ».
Quant à l’avenir de Loïc, il continuera encore quelques temps à MBS puisqu’il a réussi le concours pour poursuivre son cursus en alternance au sein du programme Grande Ecole. Du coup, Loïc recherche actuellement une entreprise pour un contrat de deux ans.
Diplômée Master 2006, Emilie Michel lance « Bee – Bien-être en entreprise », une société spécialisée dans l’amélioration de la qualité de vie au travail

Toujours aussi souriante et enjouée, Emilie Michel n’a pas oublié le fort côté humain de Montpellier Business School. Pour preuve, cette diplômée 2006 du programme Grande Ecole a co-fondé une entreprise dédiée au bien-être en entreprise où elle est responsable développement et marketing. Ou quand les valeurs de MBS s’expriment dans les opportunités professionnelles de nos diplômé(e)s.
Après avoir été responsable marketing de la chaîne de fleuristes Au Nom de la Rose puis chef de produit senior au sein du Groupe Flo (Hippopotamus, Bistro Romain, Tablapizza…), Emilie Michel a choisi de se lancer dans l’entrepreneuriat. « Ces dix dernières années ont été très instructives mais je me suis dit qu’il serait bien d’essayer de faire quelque chose de différent et peut-être d’un peu plus utile pour les autres », commence notre diplômée 2006. « Un de mes meilleurs amis est ostéopathe, en plus de ses cabinets, il travaille déjà pour des entreprises et il m’a proposé de m’engager avec lui dans cette nouvelle aventure. J’ai fini par quitter mon ancien poste et depuis février, je me concentre à plein temps sur la création et le développement de Bee ».
Mais finalement, quel est le concept de cette nouvelle entreprise co-fondée par une diplômée de MBS ? « Nous nous présentons comme des Happyculteurs d’entreprise ! Nous voulons permettre au salarié de gagner du temps sur sa vie personnelle en amenant des besoins extérieurs dans la vie en entreprise. L’employeur s’y retrouve aussi car le collaborateur sera certainement plus heureux. Ce qui est bénéfique puisqu’un employé heureux reste fidèle, travaille mieux et est plus créatif. C’est donc gagnant-gagnant ! »
« Nous avons donc décidé de nous orienter vers le bien-être-santé en entreprise avec l’ostéopathie, la diététique, la sophrologie, le yoga et le massage amma assis. C’est donc une offre assez globale que nous proposons avec des spécialités complémentaires les unes des autres qui répondent à des besoins spécifiques des collaborateurs », explique Emilie Michel. « Ce que nous souhaitons, c’est devenir prestataires à long terme des entreprises. L’idée, c’est proposer une offre sur-mesure après avoir réalisé un audit pour faire un état des lieux des besoins pour le bien-être des salariés et donc, pouvoir programmer un planning selon les envies et les contraintes de chacun. Pour cela, nous avons créé une plate-forme en ligne pour que chaque entreprise et chaque collaborateur puissent se connecter à son compte pour prendre rendez-vous, suivre son historique etc ».
Créée le 5 avril dernier, Bee est basée en région parisienne et enregistre déjà de premières entreprises clientes. « Nous avons ciblé l’Ile-de-France dans un premier temps mais nous ne sommes pas fermés pour signer des contrats partout en France. Notre principe, c’est la mise en relation des entreprises avec des personnels du bien-être indépendants de qualité et nous en avons déjà une cinquantaine référencés (10 dans chaque spécialité). Mais si par exemple une entreprise de Montpellier le souhaite, nous viendrons avec plaisir faire passer des entretiens pour sélectionner les meilleurs prestataires sur place ».
Le message est passé !
Pour en savoir plus sur Bee : http://bee-bienetreentreprise.com/
« J’ai choisi MBS pour me former dans la finance » témoigne Lucas, étudiant en 1ère année de Bachelor

Lucas Krief, 20 ans, a choisi d’intégrer le Bachelor de MBS après l’obtention du son baccalauréat avec un objectif précis en tête : devenir un as de la finance et travailler idéalement dans le trading. Ses examens passés, il se prépare à effectuer 2 mois de stage au sein d’une salle des marchés, une première expérience professionnelle dans le vif du sujet !
« Je baigne dans le milieu de la finance depuis tout petit car mon père est lui-même trader. Je me souviens, étant enfant, quand je le rejoignais en salle de marché et que je le regardais faire sur ses cinq écrans d’ordinateur, ça m’émerveillait ! » raconte Lucas. « Depuis, j’ai toujours su que c’était le métier que je voulais faire et je n’ai jamais changé d’idée »
Après un baccalauréat ES en économie approfondie, il se dirige alors vers le Bachelor of International Business Administration de Montpellier Business School, et en devient même l’ambassadeur ! « La diversité des matières, les nombreux cours en anglais et l’année de césure professionnalisante m’ont convaincu de choisir cette école, et j’aime pouvoir en parler à de futurs étudiants. Je viens donc avec plaisir aux journées concours, portes ouvertes ou aux salons pour les rencontrer et répondre à des questions que moi-même je me posais il y a peu de temps. »
Et des questions, Lucas en reçoit aussi souvent sur le métier de trader auquel il aspire ! « C’est un métier très complexe, qui demande beaucoup de rigueur et d’organisation et une forte résistance à la pression, mais il ne faut pas croire tous les clichés que l’on voit dans les films. Un trader n’est jamais seul, il fait partie d’une équipe avec un objectif commun et il est très contrôlé. C’est aussi un métier qui reste compatible avec une vie de famille, même si cela demande quelques sacrifices. »
Lucas compte alors profiter de son premier stage pour explorer en largeur le domaine de la finance de marché. « Je vais être dans la gestion de fonds, un secteur très intéressant. Je vais me consacrer à assister les gestionnaires dans leurs travaux au quotidien. Ce sont des missions qui me passionnent vraiment et qui me confortent dans mon projet professionnel. J’ai encore du chemin à parcourir mais je sais que je suis sur la bonne voie ! »
Montpellier Business School suivra de près l’évolution de Lucas et le remercie pour ce témoignage !
L’intégration du Programme BIBA de Montpellier Business School se fait par le biais d’un concours dédié. Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 25 août 2017 (date limite de réception du dossier pour le dernier concours organisé en septembre). Inscrivez-vous !
Montpellier Business School devient le 1er établissement d’enseignement supérieur à obtenir le Label Egalité professionnelle entre les femmes et les hommes

Après sa qualification d’Etablissement d’Enseignement Supérieur Privé d’Intérêt Général (EESPIG) par l’Etat français et le renouvellement de son Label Diversité, Montpellier Business School vient également de se voir attribuer le Label Egalité professionnelle entre les femmes et les hommes. Cette première pour un établissement d’enseignement supérieur confirme l’engagement de MBS pour la promotion de la diversité et l’inclusion de tous les talents, ainsi que la reconnaissance de ses résultats dans l’ensemble de ses activités.
« L’obtention par Montpellier Business School de ce nouveau Label Egalité professionnelle entre les femmes et les hommes a été rendu possible par la forte implication de l’ensemble des acteurs de l’institution, salariés, étudiants, partenaires entreprises qui, au quotidien, œuvrent pour le déploiement de la politique diversité auprès de l’ensemble de nos parties prenantes et qui se sont également impliqués dans la préparation du dossier d’audit, dans l’audit et les soutenances qui ont eu lieu », explique le Dr. Didier Jourdan, Directeur général de MBS. « Comme tous les processus d’amélioration continue, ces deux Labels nous engagent à poursuivre et à progresser sur les sujets de la diversité comme de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes. En ce qui concerne la dimension nouvelle traduite dans un Label spécifique, les enjeux des mois et années à venir seront de travailler pour une plus grande mixité des métiers. La mixité comme la diversité dans son ensemble sont des fondamentaux nécessaires à toute performance globale ».
Délivrés par l’Etat pour 4 ans avec un audit intermédiaire en 2019, les Labels Diversité et Egalité professionnelle entre les femmes et les hommes concernent à MBS les activités suivantes : Gestion des ressources humaines ; Activités pédagogiques et administratives ; Recrutement des étudiants ; Politique sociale auprès des étudiants ; Enseignement et Recherche ; Formation professionnelle et continue en sciences de gestion ; Consulting en sciences de gestion.
« Les diagnostics ont été faits vis-à-vis de notre population salariée et vis-à-vis de nos populations étudiantes », explique Mme Caroline Cazi, Directrice des RH, de la diversité et de la RSE à Montpellier Business School. « Concernant les équipes de MBS, le fort taux de féminisation des équipes (70%) se retrouve au niveau du Comité de direction (70%) mais également au niveau du Comité exécutif (50%). Concernant nos étudiants, nous attirons des étudiants et étudiantes à proportion quasiment égale ».
Label d’Etat créé en 2005, le Label Egalité professionnelle entre les femmes et les hommes est attribué après l’instruction d’un dossier de labellisation par l’AFNOR Certification et un passage devant la commission de labellisation. L’évaluation se fait sur plusieurs critères répartis en trois champs que sont les actions menées dans l’entreprise en faveur de l’égalité professionnelle, la gestion des ressources et le management ainsi que l’accompagnement de la parentalité dans le cadre professionnel.
Aujourd’hui, 82 organismes en France détiennent ce Label et Montpellier Business School est donc le 1er établissement d’enseignement supérieur à l’obtenir.
Caroline Cazi : Notre démarche a décuplé le sentiment d’appartenance"

Montpellier Business School obtient cette année le 2e renouvellement du Label Diversité obtenu en 2009 visant un engagement concret et efficace en faveur de la prévention des discriminations. Également cette année, MBS obtient le Label Egalité professionnelle entre les femmes et les hommes, qui vient confirmer l’engagement de l’institution pour la promotion de la diversité et l’inclusion de tous les talents, ainsi que la reconnaissance de ses résultats dans l’ensemble de ses activités. Directrice des Ressources Humaines, de la Diversité & de la RSE de Montpellier Business School, Vice-présidente « Enseignement supérieur & NTIC » de l’AFMD et membre du bureau Face Hérault, Mme Caroline Cazi a répondu à nos questions.
Montpellier Business School s’est intéressée très tôt à la RSE, en fait dès 1992. Ce n’était pourtant pas encore d’actualité. Comment l’idée vous est-elle venue ?
Le point de départ date en effet de 1992. Il s’agissait alors de voir comment Montpellier Business School pouvait intégrer des jeunes issus de la diversité, sachant qu’ils n’avaient pas accès aux grandes écoles de management. Il y avait un double frein à l’entrée : le premier était financier, l’autre concernait le concours. Donc, dès son arrivée, M. Didier Jourdan, le Directeur général de l’école, a souhaité lever ces deux freins en ouvrant des voies de concours de plus en plus nombreuses pour atteindre des publics qui pensaient ne jamais pouvoir intégrer une grande école. Il a également tenu à leur donner l’accès à des bourses et à l’alternance. Quand je suis arrivée en 2007, l’école était alors engagée dans une démarche en direction des quartiers prioritaires : le tutorat d’excellence, afin de montrer aux jeunes qu’il n’y a jamais de fatalité. Cela concernait une quinzaine d’élèves par an.
À quel moment Montpellier Business School a décidé de prendre en compte dans son propre fonctionnement la démarche RSE ?
De manière quasi simultanée, la direction a souhaité structurer les actions autour d’un certain nombre de processus qualité pour rendre plus lisible la stratégie de l’école dans le cadre du lancement des accréditations internationales. Nous sommes partis de notre mission : former les managers de demain. Nous avons donc réfléchi à la manière de transmettre pendant nos cursus de formation des savoirs en lien avec la diversité et le développement durable pour que ceux qui se forment chez nous, puissent être mieux outillés et sensibilisés à ces valeurs dans le cadre de leurs futures fonctions. Mais, au-delà, nous avons vu comment nous pouvions, nous-mêmes, mettre en œuvre la RSE au niveau du fonctionnement même de notre école, vis-à-vis de nos salariés, de nos partenaires comme de nos sous-traitants, fournisseurs, nos étudiants et leurs familles… Nous demandons, par exemple, à nos fournisseurs ce qu’ils font à leur niveau en matière de diversité et de RSE. Nous prenons ce critère en compte dans le choix de nos prestataires.
Montpellier Business School a été le premier établissement d’enseignement supérieur et la première grande école à avoir obtenu le Label Diversité. C’était en 2009…
Le Label Diversité vise à prévenir les discriminations et à promouvoir la diversité dans tous les secteurs qu’ils soient publics ou privés. Il a permis à notre institution de formaliser une démarche que nous avions mise en place. Il nous a amené à mieux la structurer. Ainsi, une cellule d’écoute, comme le veut le label, a été créée pour traiter en cas de réclamation des situations perçues comme étant discriminantes. D’autre part, en 2013, le choix a été fait de fusionner l’activité Ressources Humaines et le service Diversité et RSE, dans une Direction des ressources humaines, de la diversité et de la RSE, pour intégrer pleinement cette dimension dans notre gestion quotidienne de l’activité de manière transversale et dans le sens que la direction voulait donner à la politique RH à construire. Enfin, nous venons d’apprendre que MBS a obtenu le Label Egalité professionnelle entre les femmes et les hommes. Comme tous les processus d’amélioration continue, ces deux Labels nous engagent à poursuivre et à progresser sur les sujets de la diversité comme de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes.
Qu’est-ce que cette démarche RSE a amené au sein de Montpellier Business School ?
Clairement, cette démarche a créé un sentiment de fierté au sein de l’institution et un sentiment d’appartenance, au travers de valeurs communes partagées. Elle nous pousse également à toujours aller de l’avant et dans un objectif commun d’intérêt général. C’est aussi une protection pour tous, car elle rappelle sans cesse quels sont les comportements contraires aux valeurs que nous prônons. J’ajoute que nous nous sommes appuyés sur l’Association française des managers de la diversité (AFMD) et sur la Fondation Agir Contre l’Exclusion – Hérault (FACE Hérault) pour mettre en place notre démarche. Les formations que nous proposons aux entreprises sur la RSE et la diversité ont été pour beaucoup, co-construites avec la Fondation Agir contre l’Exclusion – Face Hérault. Nous croyons fermement et nous avons su prouver que la mise en œuvre d’une stratégie et d’un plan d’action aussi forts était un gage d’innovation et donc une source de performance. Les entreprises partenaires qui recrutent nos étudiants, nos diplômés et avec qui nous travaillons ne s’y trompent pas. Elles trouvent chez nous des hommes et des femmes qui sont montés en compétence au travers de leurs programmes et expériences sur ces questions de diversité.
Le point de vue de Didier Jourdan, directeur général de Montpellier Business School :
« C’est un acte fort et très certainement courageux que de favoriser l’escalier social pour la mobilité ascendante et l’inclusion sociale », commente Didier Jourdan, Directeur général de MBS. « Et si nous ne sommes aujourd’hui que 3 établissements d’enseignement supérieurs en France à détenir ce label diversité en 2017, c’est peut-être un signe que cela nécessite un investissement et une gestion de contraintes supplémentaires à celles liées aux normes internationales de qualité académique que tout le monde n’a pas forcément envie d’assumer. Pour Montpellier Business School, l’ouverture et la diversité sont depuis maintenant deux décennies, un axe stratégique et volontariste qui porte aujourd’hui ses fruits et dont nous sommes très fiers. Si l’investissement annuel global est proche de 2 millions d’euros, il nous a permis d’asseoir notre positionnement et surtout de concrétiser des résultats tangibles et significatifs avec notamment plus de 26,5 % d’étudiants dans nos programmes issus des catégories sociales dites modestes (enfants d’employés, d’ouvriers ou de personnes sans emplois –retraités et inactifs), un pourcentage supérieur de 14% au taux de ces élèves représentés dans l’ensemble des écoles de commerce en France en 2016 ».