Johanna et Gianni – candidats Bachelor – concours d'admission

Le 24 février dernier, MBS accueillait plusieurs dizaines de candidats pour son deuxième concours d’admission au programme Bachelor in International Business Administration, reconnu par l’état, accrédité AACSB et enregistré au Répertoire National des Certifications Professionnelles au niveau II, pour la rentrée prochaine. Parmi eux, deux étudiants en année de terminale S nous ont expliqués leur choix de poursuite d’études et nous ont confiés leurs ressentis à chaud après les épreuves d’admission !
Étudiants dans des lycées différents, Johanna et Gianni ne se connaissaient pas avant cette journée de concours. Et pourtant, tous deux sont en filière scientifique et espèrent intégrer le Bachelor de MBS pour répondre à leur souhait de faire carrière à l’international ! « Je suis né en Argentine et j’y ai passé 10 ans avant de venir en France. » confie Gianni. « J’ai la double nationalité et j’ai déjà beaucoup voyagé. Mais je ne compte pas m’arrêter là car je m’épanouis dans le partage des cultures et dans l’ouverture sur le monde. J’aimerais avoir la chance d’intégrer MBS car ici, beaucoup de nationalités sont représentées et c’est le type d’environnement qui me correspond tout à fait ! Puis passer une année académique à l’étranger sans frais supplémentaires, je ne dis pas non ! »
Johanna, elle aussi, se voit bien évoluer à l’étranger. « J’aime les mathématiques et la physique mais je ne me vois pas en faire mon métier », explique-t-elle. « En fait, j’aime encore plus le relationnel, et pouvoir pratiquer plusieurs langues. Du coup, mon projet est de m’orienter vers le commerce international qui réunit ces deux aspects et me permettrait de voyager et découvrir le monde. Je pense que le Bachelor de MBS est le cursus idéal pour moi car en plus de la triple accréditation internationale de l’école, il offre la possibilité de valider un double-diplôme et de faire un premier pas professionnel à l’étranger en réalisant un stage n’importe où dans le monde ! »
« La dimension internationale de l’école est vraiment capitale pour nous », confirme alors la mère de Johanna venue accompagner et soutenir sa fille en ce jour important. « Mais ce n’est pas tout. J’attends aussi un vrai suivi de l’école tout au long de son cursus. Les notes c’est une chose, mais être guidée et bien accompagnée c’est aussi très important. Nous allons vers l’inconnu mais Johanna se projette déjà car elle sent que grâce à cette école, elle sera bien encadrée pour s’épanouir. Après la Journée Portes Ouvertes à laquelle nous avions assistée et ce concours, nous voilà donc rassurées toutes les deux ! »
Montpellier Business School accueille le séminaire stratégique du conseil d’administration de l’Association Française des Managers de la Diversité (AFMD)

Adhérente depuis sa création en 2007, Montpellier Business School a reçu l’Association Française des Managers de la Diversité pour le séminaire stratégique de son conseil d’administration. A cette occasion, M. Mansour Zoberi, Président de l’AFMD, présente cette association qui promeut la diversité en entreprise en aidant les managers à la faire progresser grâce à des outils, des échanges et des groupes de travail. Une association dans laquelle MBS s’investit notamment par l’intermédiaire de sa Directrice des ressources humaines, de la diversité et de la RSE, Mme Caroline Cazi.
En organisant dans les locaux de Montpellier Business School un séminaire stratégique de son conseil d’administration, l’AFMD souhaitait prendre le temps de se poser certaines questions pour à la fois « regarder dans le rétro et regarder devant » dans le but de terminer la journée avec un plan d’action.
« Nous réunissons des professionnels qui doivent manager la diversité dans leurs entreprises respectives », explique M. Mansour Zoberi, le président de l’AFMD. « Parmi nos adhérents, nous avons des entreprises petites et grandes, des écoles ainsi que des structures publiques et parapubliques. Notre relation avec les grandes écoles est très importante car depuis notre création nous souhaitons confronter le point de vue des entreprises et le point de vue académique. Ce regard croisé a pour but de faire progresser toutes les parties prenantes. Parmi les grands thèmes récurrents, nous traitons le plus souvent du handicap, de l’égalité professionnelle et du management inter générationnel. Mais nous traitons aussi l’ensemble du spectre des critères de discrimination, soit 24 critères définis par la loi ».
En phase avec ses valeurs, MBS a adhéré à l’AFMD dès sa création en 2007. « Nous venions de signer la charte de la diversité en entreprise et nous souhaitions ouvrir nos perspectives au moment où nous formalisions notre mission qui est de former des managers forts de leur diversité », poursuit Mme Caroline Cazi, Directrice des Ressources Humaines, de la Diversité et de la RSE à MBS et 1ère vice-présidente de l’AFMD en charge des relations avec les établissements d’enseignement supérieur.
« L’AFMD est un lieu d’échange riche pour nos enseignants-chercheurs qui travaillent sur ces sujets. C’est également un lieu de ressources pour nos programmes qui recherchent des intervenants professionnels pour aborder des questions précises en lien avec la promotion de la diversité. Sur chaque sujet traité, l’AFMD associe un enseignant-chercheur et une entreprise pour qu’ils travaillent ensemble. A titre d’exemple concernant l’engagement de MBS, nous avons des enseignants-chercheurs qui suivent actuellement la commission sur le management inclusif afin de travailler ensuite sur les modalités de déploiement dans les enseignements de management de ces nouvelles approches. Au final, cela permet de valoriser la recherche, de la rendre opérationnelle, de donner aux entreprises une hauteur de vue sur les problématiques rencontrées et d’avoir des livrables de qualité ».
Pour en savoir plus sur l’AFMD : www.afmd.fr
Étudiante en 1ère année de Programme Grande Ecole, Mélissa témoigne de sa rentrée à MBS

D’un BTS en Martinique à une grande école de management à Montpellier ! Mélissa a vécu ce changement il y a quelques jours à peine. Après avoir réussi le concours Passerelle 1 et les épreuves orales sur notre campus, elle a rejoint le programme Grande Ecole de MBS et a donc vécu sa 1ère rentrée. Elle raconte.
En débarquant à l’aéroport de Montpellier, Mélissa avait tout à découvrir. Ou presque. Etudiante de seulement 19 ans, elle n’a pourtant pas perdu de temps pour s’acclimater à son nouvel environnement. « J’ai quitté la Martinique fin août pour avoir le temps de trouver un appartement, de bien m’installer, de découvrir la ville et de prendre mes marques », commence-t-elle. « Finalement, tout s’est très bien passé et j’ai vite trouvé un logement en centre-ville. Du coup, je suis à quelques minutes en tramway de MBS. Je ne pouvais pas espérer mieux ».
Restait donc à vivre la fameuse rentrée en 1ère année du programme Grande Ecole de Montpellier Business School. « Nous avons vécu une journée mémorable avec la présentation du programme et de ce qui nous attend dans les mois et années à venir », explique Mélissa. « Mais en plus, nous avons participé à un team building sous forme de course d’orientation pour découvrir la ville, l’histoire et les personnages marquants de Montpellier. Toute la promo a bien joué le jeu donc cela nous a permis de rencontrer du monde, de créer des liens, de s’entraider et aussi de bien rigoler. Nous étions des groupes de 6 mais comme nous croisions d’autres groupes, une certaine cohésion a pu se mettre en place dès le 1er jour ».
Ravie de ce début d’année académique, Mélissa explique pourquoi elle a choisi Montpellier Business School pour poursuivre ses études. « J’ai un BTS NRC (Négociation et Relation Client) et il y a 3 points importants qui m’ont fait choisir le programme Master de MBS : l’année complète dans une Université Partenaire Etrangère en 2ème année, l’année de césure obligatoire et l’alternance en dernière année. Pour moi, ce sont des expériences nécessaires dans un parcours en grande école de management. Et c’est vrai aussi que durant les oraux à MBS, j’ai adoré le dynamisme de la « team admissible » et l’accueil en général ».
Bienvenue à Mélissa ainsi qu’à tous les nouveaux étudiants qui nous ont rejoint cette année.
Kitesurfer professionnel et triple champion junior, Louka Pitot rejoint les bancs de Montpellier Business School en programme Bachelor !

Cette année encore, Montpellier Business School a le plaisir d’accueillir des sportifs de haut niveau dans ses programmes. Parmi eux, Louka Pitot, kitesurfer freestyle de 18 ans originaire de l’île Maurice et champion de France, d’Europe et du monde dans sa discipline en catégorie junior, vient d’intégrer le programme Bachelor of International Business Administration de MBS.
Depuis ses 11 ans, Louka jongle déjà entre scolarité et kitesurf, et ne renoncerai à l’un des deux pour rien au monde. Une vie loin d’être banale, tout comme sa discipline ! « Le kite est un sport encore peu connu et pratiqué. J’ai eu la chance de le découvrir à 11 ans avec des amis, à Maurice, et depuis, je n’ai jamais arrêté. C’était vraiment un loisir au début, et encore maintenant, même si j’ai atteint un haut niveau, je prends toujours le même plaisir et c’est ça qui me motive et qui me pousse à toujours continuer » nous explique-t-il. « J’aime la liberté qu’il me procure, et ce sentiment de voler sur l’eau. C’est aussi un sport qui rassemble, et avec beaucoup de la solidarité puisque nous sommes peu nombreux, il y a un esprit « familial ». Aujourd’hui, je suis vraiment fier d’en être un ambassadeur ! Et j’espère donner à d’autres l’envie d’essayer. »
Sportif professionnel et accompli, et premier mauricien à faire son entrée chez les athlètes de Red Bull, Louka a rejoint l’équipe de kitesurf de Montpellier dès le mois d’août et multiplie déjà les entraînements. L’Europe, la France et particulièrement Montpellier, c’est pour lui l’opportunité de se rapprocher des compétitions (environ 4 par an en Europe), mais aussi de pouvoir retrouver ses amis kitesurfers, déjà installés ici pour les mêmes raisons. Et Louka ne s’arrête pas là, car au-delà de sa passion, il aspire à obtenir un diplôme exportable à l’international grâce au programme Bachelor de MBS. Un nouveau challenge qu’il est fin prêt à relever !
« Beaucoup de mes amis kitesurfers sont déjà à Montpellier, et en effet c’est la ville parfaite pour moi : près de la mer mais aussi près d’une école de commerce reconnue qui propose un concours dédié aux Sportifs de Haut Niveau avec un cursus post-bac adaptable en fonction de mes entraînements et compétitions ! C’est l’occasion idéale de poursuivre ma carrière sportive, mais aussi de pouvoir m’investir dans des études supérieures d’excellence et qui m’assurent un diplôme de qualité. Et je suis si heureux de ne pas avoir à choisir entre le kite et mes études ! » commente Louka.
En effet, alors qu’il vient de faire sa rentrée à MBS la semaine dernière, Louka est déjà reparti afin de participer à une compétition en Hollande, très importante dans son projet de se qualifier pour la ligue. MBS lui souhaite donc bonne chance dans cette étape mais aussi dans toutes celles à venir, et ne doute pas qu’il saura briller dans son sport comme dans les études !
Et pour tous les sportifs de haut niveau qui s’interrogent sur la poursuite de leurs études, un concours spécifique vous est ouvert post-Bac et post Bac+2 ! Informations ici : Concours Bachelor SHN
Dorian – candidat Bachelor – Journée Portes Ouvertes

Le mercredi 8 février 2017, MBS organisait une rencontre avec de potentiels futurs étudiants de l’école au travers d’une Journée Portes Ouvertes dédiée à son Programme Bachelor. L’occasion pour de nombreux lycéens tels que Dorian, 17 ans, et ses parents de venir se renseigner plus précisément sur le déroulement du cursus, mais aussi sur l’environnement d’apprentissage et les débouchés de cette formation dispensée en 4 ans, reconnue par l’Etat (RNCP niveau II) et par les plus prestigieuses instances de qualité académique (accréditation AACSB).
A 14h, les portes de MBS se sont ouvertes et les étudiants comme les équipes du programme étaient prêts à accueillir les participants et à les guider au cours de l’après-midi. Cela a débuté par une présentation du programme Bachelor par M. Thierry Dupuich, Directeur Adjoint du programme en charge du développement, un moment propice aux échanges et aux questions-réponses, suivi d’une visite du campus et afin de compléter la découverte de l’école.
Dorian Carmona, élève au lycée d’Alès en terminale scientifique, s’est rendu ce jour à MBS pour la deuxième fois : « En décembre, je suis venu à une JPO avec mon père mais nous n’étions restés qu’une partie de la journée. Nous n’avons donc pas pu profiter de toutes les présentations. Cette fois, j’étais accompagné de mon père et de ma mère qui ont pu se libérer une journée complète exceptionnellement” confie Dorian. « J’ai voulu revenir car l’école m’avait convaincu la première fois et j’avais besoin d’avoir davantage d’informations sur les spécificités du programme, les possibilités d’échange en université étrangère, les enseignements, le triple diplôme, la vie associative… Et cette journée a répondu à mes attentes. »
Déjà sûr de son choix académique, Dorian a tout misé sur MBS. Actuellement en plein dans ses révisions pour le concours Bachelor qu’il passera le 24 février prochain sur le campus sous condition d’être admissible, c’est donc aussi des précisions sur les épreuves et l’entretien de motivation qu’il est venu chercher. « Je suis quotidiennement plongé dans des révisions du TAGE MAGE et de l’anglais. Mais je voulais mieux connaître les critères d’évaluations et les attentes du jury pour l’entretien. J’ai pu non seulement obtenir des réponses claires mais aussi avoir le point de vue et le ressenti d’une étudiante actuelle qui était présente spécialement pour témoigner. J’ai beaucoup apprécié ce qui a été mis en place pour nous et je trouve les équipes de MBS très disponibles et accessibles, c’est très rassurant. »
Et les parents ? Eux aussi ont été rassurés par cette journée ! « Le rôle des parents est d’accompagner son enfant dans sa démarche de poursuite d’études. » commente le père de Dorian. « Bien sûr, c’est Dorian qui a mené toutes les recherches, mais nous, nous devons être là pour s’assurer qu’il fasse le bon choix. Choisir d’intégrer une université ou une école se fait, selon moi, avant tout sur la personnalité et les envies de chacun. Dorian est demandeur d’activités, de dynamisme… Et il se voit déjà au Bureau des Sports de l’école ! En venant sur place directement, cela permet de constater réellement si l’environnement lui conviendra et si l’affinité est là. Je ne peux que conseiller aux autres parents d’accompagner leurs enfants à ce type de journée. »
Alors si vous aussi, comme Dorian et son père, vous souhaitez obtenir des conseils sur votre choix académique et votre projet professionnel, n’hésitez pas à vous inscrire à la prochaine JPO Bachelor !
Montpellier Business School signe son 40ème grand partenariat avec Carrefour et accueille sa 1ère promotion du parcours diplômant VAE collective hybride

Ce mercredi 20 septembre, Carrefour et Montpellier Business School se sont engagées dans un grand partenariat couvrant plusieurs importants volets d’action : la formation professionnelle continue, l’alternance, la collaboration enseignement/recherche et la communication. Directeur général adjoint en charge du développement de MBS, M. Matthias Bauland nous en dit plus sur cette nouvelle collaboration basée sur des valeurs fortes et communes.
Carrefour devient le 40ème Grand Partenaire Entreprise de Montpellier Business School. Qu’est-ce que cela signifie et implique pour Carrefour et MBS ?
A travers cette signature, Carrefour entre dans le club des grands partenaires de MBS et intègre l’Advisory Board qui réunit trimestriellement tous les partenaires pour échanger sur des sujets communs d’innovation, de management et de digital. Les dirigeants de Carrefour sur la région auront notamment la possibilité de donner leur point de vue sur les évolutions pédagogiques au sein de MBS et devenir acteur auprès de nos étudiants par le biais de conférences, de cours et d’accompagnements. Ils auront aussi accès à nos 2000 étudiants à la recherche de stages, à nos 1300 étudiants à la recherche d’alternances et à nos 13000 diplômés partout dans le monde. Enfin il y a aura une opportunité privilégiée de pouvoir faire bénéficier notre Executive MBA aux talents de Carrefour. Pour MBS, c’est bien sûr une fierté immense de s’associer à un des fleurons de la grande distribution française avec des valeurs d’égalité des chances et de diversité très proches des nôtres. C’est aussi une grande fierté de cumuler la signature de grand partenariat et le lancement de la 1ère promotion VAE collective hybride Carrefour.
Ce partenariat démarre justement avec ce lancement d’un parcours diplômant impulsé par la Direction régionale et la direction formation des hypermarchés Carrefour. Mais une VAE (Validation des Acquis de l’Expérience) collective hybride, qu’est-ce que c’est ?
En l’espèce, c’est la possibilité pour 14 managers, responsables et chefs de secteur des hypermarchés régionaux Carrefour d’être formés, accompagnés et diplômés par MBS et notre partenaire Les 2 Rives. Pendant 12 mois, ils vont suivre une formation de 2 jours par mois axée sur 3 thèmes principaux : l’esprit commerçant, le management agile et la passion du commerce. Et 4 champs de compétence vont être approfondis : marketing, force de vente, coordination et accompagnement des équipes et enfin gestion administrative et humaine. C’est une formation sur-mesure qui a été co-construite avec la direction formation de Carrefour.
Quatorze managers, 12 mois de formation mais quel diplôme auront-ils au bout de ce dispositif novateur ?
Ils auront un diplôme Bachelor of International Business Administration (BIBA) de MBS qui est un titre RNCP de niveau II. C’est donc un diplôme Bac +3.
Ce parcours a été mis en place avec et pour Carrefour mais est-ce que cela existe déjà avec d’autres entreprises ?
La fidélisation et la valorisation des talents est un enjeu majeur pour l’ensemble de nos partenaires. Grâce à l’excellence académique de notre faculté et à nos enseignants-chercheurs, nous avons la capacité de répondre à toutes les problématiques en matière de gestion et de management. Nous proposons donc une action de formation sur mesure et diplômante de type Bachelor ou Programme Grande Ecole sur une durée de 12 mois avec un accompagnement individualisé grâce à la VAE et à notre partenaire Les 2 Rives. Et oui, nous avons déjà de nombreuses réussites. Par exemple, avec Volkswagen France nous en sommes à la 6e promotion sur un type de dispositif similaire !
Merci à Mme Hélène Malherbe, Responsable régionale RH de Carrefour, M. Jean-Luc Boussin, Directeur régional LR de Carrefour, ainsi qu’aux nombreux directeurs de magasins présents à l’occasion de cette signature.
Lucas – première année Bachelor – projet professionnel

Lucas Krief, 20 ans, a choisi d’intégrer le Bachelor de MBS après l’obtention du son baccalauréat avec un objectif précis en tête : devenir un as de la finance et travailler idéalement dans le trading. Ses examens passés, il se prépare à effectuer 2 mois de stage au sein d’une salle des marchés, une première expérience professionnelle dans le vif du sujet !
« Je baigne dans le milieu de la finance depuis tout petit car mon père est lui-même trader. Je me souviens, étant enfant, quand je le rejoignais en salle de marché et que je le regardais faire sur ses cinq écrans d’ordinateur, ça m’émerveillait ! » raconte Lucas. « Depuis, j’ai toujours su que c’était le métier que je voulais faire et je n’ai jamais changé d’idée »
Après un baccalauréat ES en économie approfondie, il se dirige alors vers le Bachelor of International Business Administration de Montpellier Business School, et en devient même l’ambassadeur ! « La diversité des matières, les nombreux cours en anglais et l’année de césure professionnalisante m’ont convaincu de choisir cette école, et j’aime pouvoir en parler à de futurs étudiants. Je viens donc avec plaisir aux journées concours, portes ouvertes ou aux salons pour les rencontrer et répondre à des questions que moi-même je me posais il y a peu de temps. »
Et des questions, Lucas en reçoit aussi souvent sur le métier de trader auquel il aspire ! « C’est un métier très complexe, qui demande beaucoup de rigueur et d’organisation et une forte résistance à la pression, mais il ne faut pas croire tous les clichés que l’on voit dans les films. Un trader n’est jamais seul, il fait partie d’une équipe avec un objectif commun et il est très contrôlé. C’est aussi un métier qui reste compatible avec une vie de famille, même si cela demande quelques sacrifices. »
Lucas compte alors profiter de son premier stage pour explorer en largeur le domaine de la finance de marché. « Je vais être dans la gestion de fonds, un secteur très intéressant. Je vais me consacrer à assister les gestionnaires dans leurs travaux au quotidien. Ce sont des missions qui me passionnent vraiment et qui me confortent dans mon projet professionnel. J’ai encore du chemin à parcourir mais je sais que je suis sur la bonne voie ! »
Montpellier Business School suivra de près l’évolution de Lucas et le remercie pour ce témoignage !
L’intégration du Programme BIBA de Montpellier Business School se fait par le biais d’un concours dédié. Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 25 août 2017 (date limite de réception du dossier pour le dernier concours organisé en septembre). Inscrivez-vous !
Romain – dernière année Bachelor – entrepreneuriat

Actuellement en dernière année du programme Bachelor, Romain Jacob attaquera dès la rentrée prochaine le programme Grande Ecole toujours à Montpellier BS. Ayant toujours souhaité entreprendre, cet étudiant de 21 ans a eu l’idée de créer un nouveau réseau social baptisé YourTop. Mais pour arriver jusqu’au lancement, payer les serveurs, la sécurité informatique et la protection des données, il a également mis en place une action de financement participatif sur Ulule qui a déjà récolté plus de 4000 euros sur un objectif de 5000 euros.
« L’idée de ce réseau social m’est venue l’année dernière », explique ce Montpelliérain passé par la prépa ECT du lycée Jules Guesde. « Je prenais quotidiennement les transports en commun et c’est en voyant tout le monde, tout le temps les yeux baissés vers les smartphones, que je me suis dit qu’on pourrait créer un réseau social pour promouvoir toutes les formes de culture. Ça ne ressemblera à aucun réseau social existant et l’appli sera gratuite et disponible sur iOS et Android en septembre prochain », poursuit Romain. « L’idée, c’est que chacun puisse promouvoir des nouveautés ou des œuvres oubliées du passé en les partageant et en les notant. Puis, le réseau repèrera les goûts des utilisateurs grâce aux réseaux sociaux déjà utilisés. On veut mettre toute la culture possible sur une application. Bien sûr, c’est très vaste donc au commencement, il y aura une grosse base de données et on veut que les utilisateurs créent ensuite de nouveaux courants et des classements. Par exemple, je viens de lire un livre peu connu et qui n’est pas encore référencé. Je pourrai le référencer moi-même en mettant une note allant de 0 à 10 ».
« Grâce à YourTop, tous les classements sont accessibles en seulement 2 clics. L’appli recensera toute la culture et les loisirs au sens large avec les musées, les pièces de théâtre, le cinéma, la musique mais aussi les jeux vidéo, les restaurants etc. On veut que l’appli soit émotionnellement intelligente, qu’elle capte les tendances à venir et donc, qu’elle aide les entreprises à cibler leur public type. YourTop sera utilisée par 200 beta testeurs sur Android jusqu’en septembre et sera traduite en anglais et en espagnol ».
Romain croit dur comme fer en son projet qui lui prend du temps mais qui n’est pas incompatible avec ses études à Montpellier BS. « Bien sûr qu’il est possible de faire ses études et de créer en même temps », assure-t-il. « Cela représente beaucoup de travail mais ce n’est pas grave si je dois sacrifier mes loisirs car c’est ce que j’ai toujours voulu faire. Cela me permet aussi de mettre en pratique ce que j’apprends à l’école. D’ailleurs j’ai même pris le temps de participer au concours Innov’Agro 2015 et mon équipe composée d’étudiants de Montpellier BS, d’Epitech et de Sup’Agro a remporté l’épreuve ».
Adrien – première année Bachelor – rétrospective

Le Bachelor of International Business Administration (BIBA) de Montpellier Business School est un diplôme de niveau Bac+3 dispensé en 4 ans et reconnu par l’Etat (RNCP niveau II). Ainsi, près de 200 élèves ont intégré l’école en Bachelor L1 pour cette année académique 2015/2016 via un concours d’entrée. Nous avons rencontré l’un d’entre eux, Adrien, 18 ans, qui a rejoint Montpellier BS pour effectuer son Bachelor après un baccalauréat en Sciences Économiques et Sociales à Lunel (34). Retour sur les temps forts de son année.
Ayant des notes relativement bonnes au lycée, Adrien était libre de s’orienter dans n’importe quel cursus… médecine, droit… mais c’est bien le management qui l’intéressait ! En janvier 2015, il se rend aux journées portes ouvertes du Programme Bachelor de Montpellier BS où il prend connaissance de tous les atouts de ce cursus ! Motivé par les opportunités que cela peut représenter, notamment de pouvoir partir une année à l’étranger en université partenaire, il décide de passer les écrits puis les oraux du concours qu’il réussit avec brio.
Il nous raconte ensuite le déroulement de son année depuis septembre. « Je ne retiens que du positif de mon année ici !», commence Adrien. « Concernant l’enseignement, les cours sont géniaux, on apprend des concepts utiles qu’on pourra rapidement mettre en pratique. A Montpellier BS, j’ai appris à être beaucoup plus diplomate et à l’écoute des autres. Et ça, c’est grâce à des matières comme « Histoire des religions et Géopolitique internationale », enseignée par le professeur Lionel Rivière qui m’a permis de mieux comprendre le monde dans lequel je vis. J’apprécie également les travaux de groupes qui nous permettent d’acquérir une bonne aisance orale car il n’est pas toujours facile de parler devant un public. Ces travaux nous permettent de devenir plus organisés et de nous réaliser encore plus ».
Même en cours de langues, Adrien nous explique que la pratique de l’oral est une priorité et que cela l’aide véritablement à progresser. Par exemple, son groupe a récemment réalisé un clip vidéo en anglais pour promouvoir la publicité d’un produit fictif, avec une présentation orale du concept devant toute la classe. Et pour progresser encore plus dans les langues, Adrien sait déjà qu’il terminera son Bachelor à l’international ! « Je vais pouvoir partir en dernière année du programme Bachelor dans l’une des 50 universités partenaires de l’école ! Mon choix s’est porté sur l’Amérique latine où il existe de nombreuses destinations très accueillantes. Et puis, cela me permettra de perfectionner mon espagnol ». Alors Buenos Aires ? Santiago du Chili ? Cali ou encore Lima ? Nous verrons bien !
En attendant, Adrien attaquera à la rentrée prochaine sa 2ème année de licence au sein du programme Bachelor. Il pense intégrer une association étudiante, surement l’association Sup de Cœur, lui qui est passionné par l’humanitaire !
« 3 semaines d’ouverture internationale » Les étudiants du lycée Jules Guesde témoignent de leur participation à la Summer School 2017 de MBS

Durant l’été, Montpellier Business School a organisé sa Summer School composée de cours et d’ateliers intégralement en anglais pour des étudiants aussi bien français qu’internationaux. Fidèle à ses valeurs de diversité et d’égalité des chances, MBS a eu le plaisir d’accueillir 5 étudiants issus de différentes classes préparatoires de notre partenaire, le lycée Jules Guesde de Montpellier. Témoignages.
Programme académique court à dimension internationale, la Summer School 2017 de MBS a accueilli des participants en provenance de Corée du Sud, du Ghana, du Brésil ou encore d’Arabie Saoudite. Une internationalisation des étudiants idéale pour que Walid, Ismail, Yassine, Rudy et Soumia, les 5 participants issus des classes préparatoires du lycée Jules Guesde, multiplient les échanges et les découvertes.
« C’était très intéressant de découvrir un peu plus leurs cultures chaque jour », Iance Ismail, 19 ans. « Nous avons aussi eu la chance de leur faire visiter notre ville donc cette Summer School a vraiment été pour moi une ouverture vers les autres. Je retiens aussi les cours que nous avons suivis avec notamment un bel apprentissage sur la création d’entreprise ».
« Grâce à ce programme, ils ont découvert Montpellier Business School et les opportunités que cela représente », ajoute Mme Rachida Chatt, professeure en classe prépa ECT ATS au lycée Jules Guesde et présente pour les accompagner lors du dernier jour de la Summer School. « Certains ne se destinaient pas forcément à intégrer une Business School par la suite mais ils ont tous été très intéressés par cette découverte. Ils ont aussi pu pratiquer l’anglais assidument avec des étudiants issus de différentes nationalités ».
« J’ai pu constater que l’anglais est réellement incontournable en entreprise et surtout, c’est une langue qui nous permet de nous rapprocher des autres », poursuit Yassine, 19 ans. « Au niveau des cours que nous avons suivi, c’était très intéressant de travailler avec un nouveau point de vue international des matières déjà abordées en prépa ECT à Jules Guesde ».
Du côté de Soumia, 21 ans, la satisfaction est de mise. « Avant de participer à cette Summer School, j’avais du mal à prendre la parole en anglais. Je voulais donc m’améliorer à ce niveau. Je retiendrai beaucoup de concret de cette expérience car nous avons aussi travaillé sur un projet de groupe très intéressant. Mais ce qui m’a le plus marqué, c’était la visite des locaux de la French Tech à Montpellier. Cela donne envie de se lancer à son tour et donc, je m’imagine bien rejoindre une école comme MBS après ma prépa ! »
Le mot de la fin revient à leur professeure, Mme Rachida Chatt : « En visitant les locaux de la French Tech et de l’entreprise Haribo à Uzès, ils ont eu un bel aperçu de la réalité du monde de l’entreprise. Pour ce dernier jour de Summer School, ils ont terminé par une présentation de projet (business model et business plan) et j’étais très fière de ce qu’ils ont présenté. D’autant plus qu’ils étaient mélangés dans des groupes et ont dû collaborer en anglais avec des étudiants qu’ils connaissaient à peine ».