François et Morgan, diplômés Master 2016

Fondateurs de Hello Garage
“Nous avons tous les deux intégrés le programme Grande Ecole de Montpellier Business School grâce au concours spécifique Formation Initiale Alternée (FIA 2) dédié aux étudiants ayant fait leurs études par la voie de l’alternance. Nous nous sommes donc rencontrés à MBS et nous avons fait tout notre cursus ensemble. C’est en Master 2, durant la majeure entrepreneuriat, que nous avons eu l’idée de nous associer pour monter Hello Garage. Nous avons enchaîné avec le parcours de spécialisation start-up, ce qui nous a permis de travailler sur ce projet durant plusieurs mois. Nous avons notamment réalisé notre business plan durant ce parcours à MBS et cela nous a permis de nous lancer dans l’aventure avec des bases solides. Aujourd’hui, notre start-up Hello Garage continue de se développer en région parisienne selon le principe du garage qui se déplace jusqu’au client et non plus l’inverse”
Julie – 1ère année RET

Julie, d’origine Bordelaise, est actuellement en apprentissage dans le cadre du programme « Responsable d’établissement touristique » créé par Montpellier Business School en partenariat avec l’AFPA. Dans sa mission, elle est ajointe de Direction chez Best Western à Nîmes dans la lignée de son coup de foudre pour l’hôtellerie et le tourisme.
« A la sortie de mon bac ES obtenu en 2008, je n’avais aucune idée de ce que je voulais faire, je me suis orientée vers un BTS notariat un peu par hasard. Je me suis rendue compte que je n’étais pas faite pour le métier de clerc de notaire, mais j’ai continué mon BTS, car je vais toujours au bout des choses. C’est en déménageant dans les Alpes, en travaillant l’été, sur les bateaux de plaisance sur le Lac du Bourget en Savoie et l’hiver, comme réceptionniste en résidences de tourisme dans les Hautes Alpes, que j’ai eu un coup de foudre professionnel. Je m’éclatais dans le tourisme, c’était ma voie ! J’ai ensuite évolué comme responsable de résidence. Ce métier est très généraliste, il touche à tout, c’est ce qui me plait ! Néanmoins, après deux années d’expérience, je me suis rendue compte que pour progresser et être vraiment sereine dans mon métier, il me manquait des connaissances théoriques en gestion, en management, en marketing, en comptabilité etc… C’est en cherchant une formation sur internet que je suis tombée sur l’offre de formation de Montpellier Business School !»
A partir de là, tout va très vite pour Julie ! « J’ai envoyé une première demande de contact un mardi, l’après-midi même je recevais une invitation à un entretien le vendredi et la semaine suivante j’étais acceptée ! Je n’ai pas eu peur de m’engager dans ces deux ans de formation par alternance. Concilier études et vie professionnelle représente un rythme soutenu et beaucoup de travail personnel. Je n’aurais cependant pas repris deux ans d’études sans ce format, me permettant de rester dans le monde professionnel, tout en ne payant pas de droits de scolarité et en gagnant (un peu) d’argent. Aujourd’hui je retourne à l’école avec plaisir ! J’ai décroché mon contrat à l’Hôtel Best Western l’Orangerie à Nîmes, le feeling est tout de suite passé avec la gérante. Ce qui lui a plu en moi c’est que j’avais déjà de l’expérience pour l’accompagner dans l’évolution de son activité suite à sa reprise d’établissement, il y a un an. C’est une belle aventure et cela complète mon expérience en résidence de tourisme»
Le Bac+2 « responsable d’établissement touristique » est une nouvelle formation de Montpellier Business School en partenariat avec l’AFPA et la Région Languedoc Roussillon. Elle est adossée aux besoins d’un secteur en pleine mutation.
Patrick Dubreuille – Executive MBA

Senior Manager
Patrick Dubreuille, en 2ème année Executive MBA (EMBA), responsable département travaux souterrains chez METALLIANCE, Société spécialisée dans l’étude et la réalisation d’équipements industriels et d’engins mobiles.
« Je suis entré dans cette formation Executive Master in Business Administration, pour chercher des compétences que j’estime complémentaires à ma formation technique d’ingénieur, mais qui sont souvent mises en opposition avec nos métiers et activités techniques. D’ailleurs, on estime souvent qu’il est plus facile d’évoluer avec des compétences techniques plutôt qu’avec des compétences financières ou de gestion d’entreprise. Les matières Finances et Marketing m’étaient totalement inconnues avant la formation EMBA, elles m’ont permis de mieux comprendre notre activité et marché et d’avoir une vision plus globale. Aussi, les cours de Management et la Majeure transformer, sur le lean management, m’ont permis d’ouvrir de bonnes perspectives d’amélioration et seront dans les années à venir des leviers nécessaires à l’évolution de mon entreprise.
Le projet Capstone restera le point fort de cette première année. J’ai en effet fait constituer un groupe d’audit stratégique autour d’une problématique liée à mon activité sur la stratégie de développement des marchés et des produits. Cet exercice concert permet de travailler sur la stratégie d’une part, et d’autre part je l’ai aussi vécu comme une mise en bouche à la prise d’initiative.
A mi parcours de ma formation, je peux dire que j’ai déjà acquis une vision plus globale du fonctionnement d’une organisation et de ses rouages, ainsi que la compréhension de secteurs qui m’étaient auparavant étrangers. Cette première année de MBA a été marquée la diversité des profils et des domaines d’activités. Nous avons toutefois beaucoup de problématiques communes et des moyens ou méthodes très différents de les aborder. Je suis en cours d’évolution vers le poste de Directeur général de Metalliance, et grâce aux échanges aux partages d’expériences avec des personnes qui sont à un même moment d’évolution de carrière, je sors déjà de ma zone de confort, ce qui sera bénéfique pour développer encore plus ma vision globale et stratégique pour développer notre activité ! »
Loïc – dernière année Bachelor – associations et alternance

Montpelliérain de naissance, Loïc Sitbon a toujours eu l’idée et l’ambition de rejoindre un jour MBS. Après un baccalauréat ES, un an en classe préparatoire et un bac+2 en marketing et management, il a tenté le concours de MBS pour intégrer le programme Bachelor of International Business Administration en dernière année. Une dernière année que cet étudiant de seulement 20 ans a choisi de réaliser en alternance.
« Dès le lycée j’ai commencé à me renseigner sur Montpellier Business School », se souvient Loïc. « L’alternance et l’entrepreneuriat sont des points forts de l’école et c’était très important pour moi. Pouvoir faire cette année en alternance, c’était synonyme d’indépendance financière et d’expérience professionnelle. Et comme je suis sûr qu’un jour je voudrai me lancer dans l’entrepreneuriat, j’ai été séduit par le Centre Montpellier Business School Entreprendre qui a pour but de développer la culture entrepreneuriale des étudiants ».
De cette année en Bachelor L3, Loïc retient notamment la multiculturalité au sein de sa promo et des professeurs qui l’ont tout de suite touché par leurs enseignements. « Les cours étaient suffisamment généralistes et je me suis passionné pour tout ce qui concerne le management stratégique ou encore l’entrepreneuriat. Par exemple, c’était captivant de suivre le cours de comportement organisationnel qui nous apprend à bien gérer les différentes taches pour avoir le meilleur emploi du temps possible. En tant qu’alternant, j’ai tout de suite pu le mettre en pratique ! »
Cette année, Loïc est donc assistant commercial en contrat d’alternance au sein de l’entreprise APAVE, un bureau de contrôle qui accompagne les entreprises dans leur démarche de contrôle sécurité, qualité ou encore environnemental. « L’une de mes missions est de faire de l’inspection et d’établir des devis. Pour l’anecdote, mon 1er rendez-vous sur le terrain dès mon 2e jour de travail était à… MBS pour une vérification de l’installation de gaz sur le campus », s’amuse-t-il aujourd’hui. « Je savais que l’alternance demanderait beaucoup d’investissement personnel mais je sens que ça m’a fait du bien de sortir de ma zone de confort, de me retrouver face à moi-même dans un milieu professionnel et de mettre en pratique ce que j’apprends. Il est certain que j’ai beaucoup gagné en maturité en seulement un an ».
Egalement volleyeur en pré-national dans le club de Clermont l’Hérault, Loïc a mis à profit son arrivée à MBS pour intégrer le Bureau des Sports et monter une équipe qui notamment remporté le championnat de France des ESC. Investi jusqu’au bout, il a même « recruté » son père pour entraîner l’équipe ! « Le volley, l’alternance, les cours, les assos… C’était un gros rythme à avoir mais avec un peu d’organisation et beaucoup de volonté, c’est tout à fait réalisable ».
Quant à l’avenir de Loïc, il continuera encore quelques temps à MBS puisqu’il a réussi le concours pour poursuivre son cursus en alternance au sein du programme Grande Ecole.
Anaïde, diplômée Programme Grande Ecole 2012

Digital Marketing Manager chez Mars France
“Avant d’intégrer le programme Grande Ecole de Montpellier Business School, j’avais fait une prépa au lycée Faidherbe à Lille. J’ai réussi le concours d’entrée et j’ai commencé par une première année de Master en continu. Puis j’ai enchaîné avec une année d’échange académique à Mannheim en Allemagne et un stage chez Clarins à New York. Dans le cadre de ma dernière année, j’ai opté pour l’alternance et j’ai eu l’opportunité de rejoindre Mars Petcare à Orléans à un poste d’apprentie chef de produit dans le segment alimentation pour chats et chiens. En parallèle, à MBS, j’ai suivi le parcours de spécialisation en digital marketing, j’ai obtenu mon diplôme et j’ai poursuivi l’aventure chez Mars France dès la fin de mon contrat d’alternance. Depuis 2011, j’ai vraiment pu mettre en application toutes la théorie apprise à l’école et j’y suis aujourd’hui Digital Marketing Manager”.
Montpellier Business School lance un Master of Science in Lean Operations Management

Après avoir ouvert les MSc in Marketing, MSc in Global Business, MSc in Finance, MSc in International Business et MSc in Digital Management, Montpellier Business School vient de recevoir l’accréditation de la Conférence des Grandes Ecoles pour son nouveau Master of Science in Lean Operations Management qui accueillera ses premiers étudiants en septembre prochain.
Un Master of Science in Lean Operations Management, qu’est-ce que c’est ?
Ce nouveau programme MSc lancé par Montpellier Business School a pour but l’acquisition de compétences managériales et opérationnelles nécessaires au management de projets d’amélioration et de transformation en entreprise.
“Tous les jours en tant que client, nous sommes confrontés à des problèmes de qualité de service ou de produit, à des services client inefficaces, à des processus qui génèrent des gaspillages de temps et de matière que ce soit dans des entreprises privées ou administrations”, explique Pascal Krupka, directeur des MSc et MS à Montpellier Business School. “Les organisations au sens large ont encore beaucoup de progrès à faire et c’est sans doute pourquoi nous observons une forte demande du marché de l’emploi sur des postes d’amélioration continue”.
En lançant ce programme, MBS se positionne donc comme précurseur face aux problématiques actuelles des entreprises et aux challenges rencontrés dans les organisations d’aujourd’hui et de demain. Et ce MSc in Lean Operations Management prépare les étudiants à une large variété de métiers et de fonctions ayant comme socle commun le développement d’une culture pérenne d’amélioration continue et d’innovation.
“Il s’agit de préparer les étudiants à devenir des acteurs opérationnels de ce déploiement en mettant l’accent sur une série de compétences-clés en matière de résolution de problèmes et de leadership”, ajoute Pascal Krupka.
Cursus hyper professionnalisant, ce nouveau Master of Science in Lean Operations Management entièrement enseigné en anglais et accrédité par la Conférence des Grandes Ecoles est notamment fondé sur l’acquisition de méthodes applicables dans différents contextes et sur les apports de la recherche en management.
Hubert – diplômé Bachelor – entrepreneuriat

Nous l’avions rencontré il y a un an et Hubert nous avait alors présenté Vertical, sa toute jeune marque d’accessoires qui ne comptait alors que des bretelles. Douze mois plus tard, les bretelles ont fait des petits et la marque commercialise aussi des ceintures, des gants et même des lacets. Un développement produit mais pas que puisque Vertical est maintenant distribué dans 55 points de vente en plus de la boutique en ligne. Ce diplômé du programme Bachelor de Montpellier Business School nous dévoile la stratégie qu’il a mise en place.
Jeune entrepreneur, Hubert Martin a suivi le programme Bachelor de Montpellier Business School en grande partie pour sa dimension internationale. Une dimension que le diplômé 2011 conserve plus que jamais puisqu’il envisage le développement commercial de sa marque en dehors de nos frontières. « Aujourd’hui, je peux déjà compter sur 55 points de vente. Ils sont à 80% en France tandis que les autres sont en Espagne, au Portugal, en Finlande, au Maroc et en Belgique. En janvier, je prévois d’engager un commercial qui s’occupera du réseau de distribution en France tandis que je quitterai Paris pour développer le réseau en Allemagne, aux Pays-Bas et en Belgique. Au début je n’étais pas forcément convaincu mais en fait, la vente online et celle en boutique se complètent bien et c’est même très important pour accroitre la notoriété de la marque ».
Mais avant janvier, il y a encore Noël à passer et Hubert se montre déjà plus que satisfait du succès rencontré par ses accessoires. « J’ai eu plus de commandes que ce que j’espérais aussi bien au niveau des revendeurs que par notre boutique en ligne. C’est un temps fort de l’année et le best-seller reste les bretelles « Les Parisiennes »… mais nos nouveaux produits trouvent aussi leur public ! ».
Justement, ces nouveaux produits, quels sont-ils ? « Il faut déjà rappeler que Vertical est une marque d’accessoires spécialisés car l’effet de mode et de saison est nettement moins pénalisant qu’avec du prêt-à-porter. Mais on peut avoir des nouveautés bien sûr ! La preuve avec ma gamme qui a accueilli les lacets en février et les gants et ceintures en septembre. A ce stade, Vertical compte 9 références de ceinture, 3 références de gants, 30 références de lacets et 35 références de bretelles car c’est notre produit phare. Toute la production est made in France et c’est très important. Par exemple, nos gants sont produits exclusivement par la célèbre maison Fabre à Millau. Le style de nos accessoires fait aussi que la marque est présente uniquement dans des magasins « trendy » et avant-gardistes dans le style concept store. Ces derniers mois, nous avons même fait un passage au Bon Marché dans le cadre de la thématique Paris ».
Pour conclure, Hubert se projette dans le développement produit à venir. « Au départ, je voulais me lancer dans le e-commerce avec des produits compacts, légers, incassables, sans l’inconvénient de la taille et se vendant aux alentours des 50 euros. Aujourd’hui, un produit qui se vend bien sur internet a toutes ces caractéristiques ! Donc je peux déjà l’annoncer, en 2017, plein de nouveaux produits seront proposés par Vertical ! »
Hubert ne souhaitant trop en révéler, il nous donne rendez-vous dans quelques mois pour… quelques surprises !
Pour en savoir plus : https://vertical-laccessoire.com
Giacomo, étudiant Master en alternance chez CodinGame

Giacomo a intégré le programme Master de MBS en septembre dernier après avoir réussi le concours Passerelle 2. Après un BTS Négociation et Relation Client obtenu au CFA de la CCI de Saint-Denis de La Réunion et une licence professionnelle activités et techniques de communication à l’Université de La Réunion, le jeune homme de 26 ans a souhaité poursuivre sur la voie de l’alternance à Montpellier Business School et a décroché un contrat de 2 ans chez CodinGame, une start-up montpelliéraine. De quoi vivre un important changement de vie après 12 années passées à 9500 km de la métropole !
« Pour moi, l’alternance était la clé pour suivre des études supérieures », commence Giacomo. « Non seulement je mets rapidement en pratique ce que j’apprends en cours mais les cours me permettent aussi de consolider ce que je découvre en entreprise. C’est hyper complémentaire et une vraie force ! Je pense aussi que ça me permet de grandir et de mûrir plus vite. Et puis il y a bien sûr l’aspect financier. Sans ce levier d’égalité des chances fort, je n’aurai sûrement pas pu reprendre mes études à MBS ».
Pour Giacomo, l’alternance n’est toutefois pas une nouveauté. « Durant mon BTS à La Réunion, j’ai passé un an en alternance dans une société de promotion immobilière, Oceanis. Puis je suis resté dans l’immobilier en rejoignant une agence Guy Hocquet pour ma 2e année. Enfin, durant mon année de licence, j’ai poursuivi l’alternance en étant chef de projet junior dans l’agence de publicité Young & Rubicam. Cette agence m’a ensuite embauché en CDI et j’y suis resté jusqu’au 31 décembre 2015. J’ai finalement démissionné pour venir en métropole et passer le concours Passerelle car je voulais expressément rejoindre Montpellier Business School. D’ailleurs, j’aurais aussi pu passer le concours Formation Initiale Alternée 2 (FIA2) car mon profil s’y prêtait ».
« Une fois accepté à MBS, ce fût un énorme soulagement ! » poursuit Giacomo. « Puis, pour l’alternance, je voulais idéalement intégrer une start-up. J’ai rencontré les responsables de CodinGame, le courant est bien passé et j’ai signé un contrat de 2 ans ! Cette start-up a pour but de permettre aux développeurs d’améliorer leurs compétences à travers des jeux de programmation. Ces jeux leur permettent aussi d’échanger avec les meilleurs programmeurs du monde et de se faire remarquer pour être embauché uniquement en faisant preuve de compétence. Ma mission est de commercialiser une nouvelle offre et c’est quelque chose de vraiment prenant et passionnant ».
Déjà bien occupé mais toujours plein de projets, Giacomo se verrait bien lancer à terme sa propre start-up. « J’ai un projet en tête depuis mes années de BTS ! », avoue-t-il. « En gros, l’idée serait de proposer un outil en ligne pour guider les jeunes dans leurs démarches administratives grâce à un parcours personnalisé. Voulant être transparent, j’ai parlé de ce projet avec les responsables de CodinGame durant mon entretien d’embauche et ils m’ont dit que c’était un plus pour moi car je suis dans la même démarche qu’eux en voulant créer ma start-up. Toujours dans cette optique, j’ai aussi rejoint l’incubateur Entrepreneur J de Montpellier Business School où j’ai M. Grégory Cladera, fondateur de RG Systemes, comme coach. Je le remercie d’ailleurs pour tous les conseils qu’il me donne ».
Federica – MSc in Finance

Federica Ongetta, 22 ans, est l’une des 17 étudiant(e)s du nouveau Master of Science in Finance proposé par Montpellier Business School. Tout droit venue de Trevis en Italie où elle a validé un Bachelor en business international sur quatre ans à l’université Ca Foscari Venezia, elle a fait le choix de poursuivre avec un MSc en France afin d’obtenir des connaissances pointues dans une spécialité et profiter d’un environnement multiculturel.
« J’aime l’inconnu et les découvertes. L’an dernier, j’ai passé une saison en Australie en tant que monitrice de ski et j’ai adoré côtoyer une autre culture et m’ouvrir aux autres, c’était très enrichissant. » nous explique-t-elle. « Après mon Bachelor, c’était donc l’occasion de terminer mon parcours académique à l’international. Je souhaitais à la fois pouvoir sortir de l’école en étant experte dans un domaine complexe comme la gestion financière, mais aussi en étant plus mature et avec une grande ouverture d’esprit. J’ai donc voulu suivre un Msc dans un pays étranger qui m’attirait beaucoup : la France ! »
Et c’est son professeur de finance en Italie qui l’a guidée concernant le choix de son école : « Lorsque j’ai parlé de mon projet à mon professeur de finance Guido Massimiliano Mantovani, c’est lui qui m’a recommandé Montpellier Business School pour la qualité de ses enseignements et ses professeurs réputés. Et je l’en remercie car je ne regrette rien !» commente Federica. « Les cours à Montpellier Business School sont très différents de ceux que j’ai pu suivre en Italie ! Ici, il y a beaucoup de travail en groupe, un esprit de cohésion se met donc en place très vite entre les étudiants. La méthode d’enseignement est très communicative et actionnelle. »
Toujours à la recherche de diversité et d’occasions de développer ses compétences linguistiques, Federica n’est pas déçue : « En venant en France suivre une formation spécialisée dispensée entièrement en anglais, c’est une double immersion ! Sans compter l’environnement multiculturel de Montpellier Business School. La classe est internationale, chacun vient d’un pays différent… Que ce soit la Chine, le Mexique, le Maroc, la Tunisie, la République Dominicaine… Plus qu’un partage scolaire, c’est un vrai partage des cultures. Nous avons aussi l’occasion d’échanger avec des étudiants du Programme Grande Ecole puisque nous avons des cours en commun, donc nous ne sommes pas du tout mis à part, ce dont j’avais un peu peur au début.»
Bientôt, Federica devra trouver un stage qui sera déterminant pour sa future carrière. Et elle est impatiente de pouvoir compléter son CV. « Je n’ai pas vraiment d’expérience professionnelle liée à la finance en particulier. J’ai donc hâte d’entrer dans le vif du sujet avec un stage long qui me permettra de prouver mes capacités de future Gestionnaire de risques financiers. D’ailleurs, si vous cherchez une stagiaire dans ce domaine, pensez à moi !»
Nancy – année de césure Bachelor – International

Après un bac ES, Nancy a fait le choix de l’international avec le programme Bachelor de MBS. Après deux années sur le campus et à tout juste 20 ans, c’est à l’autre bout du monde, en Australie, qu’elle est partie réaliser son année professionnalisante ! Actuellement Assistante Manager dans un complexe hôtelier réputé du groupe Accor, elle s’apprête pourtant déjà à faire un nouveau voyage, cette fois pour effectuer sa dernière année au sein de l’Université Partenaire ICESI de Cali, en Colombie où elle compte d’ailleurs rester pour son stage de fin d’études dans le secteur de l’hôtellerie et du tourisme.
« A la sortie du lycée, je ne savais pas exactement vers quelle carrière m’orienter. Mais je savais que je voulais inclure l’international dans mon choix d’études. J’ai donc choisi le programme Bachelor de MBS qui correspondait en tous points à ce que je cherchais : un cursus global, complet, avec différentes possibilités d’expatriation. Et grâce à la politique d’égalité des chances de l’école, j’ai obtenu une bourse d’excellence, ce qui a beaucoup influencé mon parcours !»
Nancy est actuellement en stage à l’étranger pour son année professionnalisante, un rêve d’enfant qui se réalise… « A MBS, on m’a toujours poussée à donner le meilleur de moi-même, et à ne pas avoir peur de parler anglais même si je partais avec un niveau assez faible. Je remercie donc sincèrement Chris Butler et Pamela Goodman, mes professeurs, qui ont toujours mis en avant mes points forts et mes progrès plutôt que mes faiblesses ! Grâce à eux, je me suis sentie capable de partir à l’autre bout du monde, seule, dans un pays anglophone qui me faisait rêver depuis toujours ! » Actuellement Assistante Manager à Sydney dans un complexe hôtelier, elle gère une équipe de 35 personnes ! « Je participe à l’organisation générale de l’établissement. Je vérifie la bonne gestion de la structure, je m’occupe des feedback clients et des rapports de productivité des employés. Je fais aussi le point au quotidien avec eux sur les arrivées et les départ, et les priorités de la journée. C’est un gros challenge car j’ai réalisé mes précédents stages en France et je manageais 7 personnes au maximum. Là, c’est un grand saut en avant ! En plus le personnel de l’hôtel comprend 21 nationalités, ce qui oblige à s’adapter à tous types d’accents. C’est dur au début, mais finalement la multiculturalité nous donne confiance en nos propres capacités. Aujourd’hui j’ai un niveau quasiment courant en anglais et le vocabulaire spécifique de l’hôtellerie-restauration. »
L’hôtellerie est un métier d’exigence. Pourtant ses journées bien chargées n’ont pas empêché Nancy de réaliser le dossier de candidature indispensable pour être affectée en Université Partenaire Etrangère pour sa dernière année de Bachelor ! « Une fois qu’on a goûté à l’expérience internationale, on ne veut plus revenir ! (rires) J’ai candidaté pour partir en Colombie l’an prochain. Dans le dossier demandé, il fallait envisager son projet professionnel, parler de ses expériences à l’étranger, mais aussi réaliser une mini étude de marché de chaque pays qui nous intéressait et qui faisait partie de nos choix. Le moins que l’on puisse dire, c’est que MBS ne nous laisse pas partir dans le flou ! Dès le début, on prend donc la mesure de l’investissement que cette expérience représente. La demande d’échange universitaire doit être réfléchie et faire sens dans notre parcours.»
A l’issue du jury d’affectation, Nancy a obtenu son premier choix, l’ICESI à Cali (Colombie) ! « Je suis ravie ! Je vais pouvoir constater et analyser par moi-même les possibilités d’évolution du tourisme dans les pays émergents de l’Amérique du Sud et poursuivre dans ce secteur. L’université de Cali, très reconnue et bien classée, et qui permet d’organiser son propre emploi du temps, me laissera une certaine flexibilité dans l’organisation de mon temps, pour certes découvrir le pays mais aussi et surtout pour chercher mon prochain stage sur place, dans des établissements haut de gamme comme des Resorts. »
L’aventure internationale de Nancy n’est donc pas prête de s’arrêter, et c’est tout le mal qu’on peut lui souhaiter !