MBS School of business
12 février 2018

Guillaume, étudiant Master en stage chez BM&A

Guillaume, étudiant Master en stage chez BM&A

 

Le monde est petit mais les réseaux sont grands ! Stagiaire depuis un mois chez BM&A, cabinet d’audit et de conseil à Paris, Guillaume Portalier a comme tuteur… Ali Bensouda, diplômé 2010 ! Actuellement en année de césure professionnalisante, Guillaume apprend déjà beaucoup dans ce cabinet reconnu mais à taille humaine et au contact de ce diplômé de MBS devenu Manager au sein de la ligne de services performance management chez BM&A.

 

Il y a quelques mois, c’est en lisant un portrait d’Ali Bensouda que nous avions publié, que Guillaume a eu l’idée de le contacter avec une petite idée derrière la tête… « J’avais trouvé son témoignage très intéressant et il donnait envie de rejoindre ce cabinet d’audit et de conseil », explique l’étudiant de 23 ans. « Pour faire suite à un premier stage de 6 mois chez BNP Paribas Cardif (branche assurances de BNP Paribas), je souhaitais avoir une expérience dans le domaine du conseil et c’est là que j’ai repensé à l’article. Je lui ai envoyé un email et il m’a rappelé dans la journée. Nous avons rapidement convenu d’un rendez-vous pour un entretien. Nous nous sommes bien entendus et ma candidature tombait plutôt bien puisqu’une mission de conseil allait commencer pour HSBC et Ali souhaitait un peu de renfort ».

 

« Pour l’anecdote, Ali et moi avons des cursus un peu similaires avec le même BTS Commerce International puis une intégration à Montpellier Business School via le concours Passerelle et nous avons tous les deux fait un stage chez BNP Paribas », ajoute Guillaume avant de poursuivre sur ses premières impressions en tant que stagiaire chez BM&A. « L’intégration a été rapide, facile et avec Ali, nous avons tout de suite attaqué notre mission de conseil chez le client, HSBC. C’était donc une entrée dans le vif du sujet pour moi ! La mission dure trois mois et petit à petit je découvre aussi le cabinet BM&A situé dans Paris. J’y suis directement en contact avec les associés qui se montrent très disponibles. La structure est à taille humaine (100 collaborateurs dont 19 associés) et c’est justement un aspect qui m’intéressait car c’est suffisamment grand pour avoir des missions intéressantes mais pas trop grand non plus. Bref, c’est le juste milieu ! »

 

« Depuis un mois, j’apprends vite et beaucoup en terme de connaissances et de compétences », poursuit Guillaume. « Je suis de plus en plus à l’aise avec les données que nous traitons et les outils utilisés. Une chose que j’apprécie particulièrement dans ce stage, c’est que j’arrive assez facilement à visualiser ma place et qui doit faire quoi et pourquoi. Du coup, je suis très motivé dans mon travail car j’ai un vrai sentiment d’utilité. Pour moi, c’est intense et enrichissant ! Pendant mon stage, j’aurai aussi l’occasion de passer du temps avec l’équipe évaluation financière pour découvrir, apprendre et monter en compétences sur ces aspects-là. Quand je vois tout ce que j’ai fait en un mois, si je reste sur le même rythme j’aurai vraiment beaucoup de choses à raconter à la fin. Mais c’est à cela que les stages servent et je conseille vivement à mes camarades de postuler chez BM&A ».

12 février 2018

Anne-Valérie Boulet – Executive MBA

Anne-Valérie Boulet – Executive MBA

Directrice générale d’un établissement de santé

Témoignage d’Anne-Valérie BOULET, Directrice générale d’un établissement de santé, Ingénieur et titulaire d’un Master, titulaire du MBA & de la Certification RNCP niveau I “Manager du développement d’entreprise ou d’unité opérationnelle” de Montpellier Business School.

Comment vous est venue l’idée de vous lancer dans un Executive MBA ?

Le besoin est venu d’une démarche d’accompagnement en management de l’établissement dans lequel j’exerce. Elle a mis en évidence des besoins en finance et stratégie. La personne qui m’accompagnait a suggéré de faire un Executive MBA, notant qu’il m’apporterait une formation plus généraliste et transversale qu’un parcours interne, qu’en outre ce programme semblait davantage correspondre à mes besoins en stratégie et finance. Je me suis alors renseignée sur internet, notamment sur les contenus. Cela semblait effectivement correspondre à mes besoins.
Ainsi, j’ai choisi ce programme de l’Executive MBA & de la Certification “Manager du développement d’entreprise ou d’unité opérationnelle” de Montpellier Business School car il répondait à mes besoins. Je n’avais pas envie de m’orienter vers un master spécialisé, en formation continue. Ce d’autant que j’en ai déjà fait un en 2004. Je cherchais autre chose.

Cet MBA a-t-il répondu à vos attentes ?

Tout d’abord, mes attentes étaient fortes, comme je vous l’ai dit, sur la finance et la stratégie. Mais, avec le recul, ce programme m’a apporté bien plus. Je ne l’ai pas perçu de suite. Pourtant ce que j’ai appris, en dehors de la stratégie et de la finance, m’a été utile. Prenons, par exemple, la théorie des organisations. Elle m’a permis de mieux analyser les observations qu’on peut faire dans son établissement. Ça a été une découverte, clairement. Autre exemple : l’analyse financière. J’avais des notions, mais l’approche qui en était faite pendant la formation était davantage en adéquation avec ma fonction. L’autre découverte a été le marketing. C’est une matière que je n’avais jamais appréhendée dans le secteur privé non lucratif de mon établissement ! La concomitance entre la théorie et le Markops (NDLR : jeu de simulation en temps réel et connecté avec des dizaines de participants dans le monde), m’a permis de très vite l’identifier dans ma structure.

Vous avez donc eu le sentiment de progresser grâce à ce programme ?

Le fonctionnement par modules, avec théorie, pratique, learning expedition, examens et application en entreprise, permet en effet de progresser assez vite. Cette méthode pédagogique est particulièrement efficace. Je n’avais pas perçu qu’un MBA puisse être aussi applicatif.

10 février 2018

Julien – diplômé Bachelor – La Trobe University

Julien – diplômé Bachelor – La Trobe University

C’est vendredi 24 mars que s’est déroulée la Graduation Ceremony diplômant officiellement les  étudiants en dernière année de programme Bachelor de Montpellier Business School ayant suivi et validé à distance tous les enseignements du programme double diplômant de MBS avec l’université Australienne de « La Trobe ». Lors de cette cérémonie, Julien a pris la parole au nom de sa promotion.

« Lorsque j’ai intégré le programme Bachelor de MBS après un bac ES, j’avais déjà l’objectif de réaliser le cursus double-diplômant de La Trobe. » confie Julien. « Pour maximiser toutes mes chances notamment sur l’anglais, j’ai choisi d’effectuer mon année en entreprise en Angleterre, en tant qu’European Car Sales pour la filiale Rent2Buy du groupe Hertz. Aujourd’hui, je pense qu’il n’est pas forcément nécessaire d’avoir une expérience d’immersion en pays anglophone avant de suivre La Trobe car tout le monde peut y arriver avec de la volonté, mais il faut quand même se préparer mentalement car c’est un vrai challenge ! »

Lors de cette dernière année, Julien a découvert avec ses camarades, la méthode d’enseignement et le mode d’évaluation spécifiques à l’université australienne, avec au premier semestre, 2 matières à valider leur permettant de rapidement s’adapter et de comprendre le fonctionnement du programme avant un deuxième semestre beaucoup plus dense, comprenant 4 matières traitant autant de l’économie que du marketing, du commerce ou de la finance de marché. Le tout se terminait par un important projet de groupe à visée internationale. Et tout cela, en anglais bien sûr ! « Je peux vous dire qu’on progresse vite dans la langue, car on est obligé d’avancer au rythme des cours pour ne pas se laisser dépasser. Pendant 10 mois, c’est pour nous 2 fois plus de travail que pour les étudiants australiens. Il faut donc savoir mettre la priorité sur La Trobe et surtout, s’organiser ! Mais  si c’était à refaire, je n’hésiterai pas. Avoir ce même objectif d’obtenir le diplôme, ça a soudé notre promotion. On s’est tous tiré vers le haut pour que personne ne soit laissé de côté. Ce fut beaucoup de partage et de solidarité. Les enseignants référents à MBS ont été très disponibles et constamment en lien avec les professeurs en Australie sur le contenu des cours, le travail attendu et les examens. Ils nous ont conseillés, aidés, guidés. Ils se sont autant investis que nous et ça, c’est très précieux ! » explique Julien. « Finalement, lorsqu’on reçoit les résultats et qu’on a validé, c’est tout simplement un grand soulagement et une énorme fierté d’en être arrivé là ! Ce n’était pas facile, mais c’est ce qui rend la « récompense » encore plus belle ! Je pense que l’on peut également tous remercier nos proches de nous avoir poussés et motivés jusqu’au bout car ils étaient un soutien essentiel dans cette aventure, ainsi que Montpellier Business School pour nous avoir permis de suivre ce cursus prestigieux. »

Désormais officiellement titulaire du Bachelor in International Business de La Trobe University, Julien n’oublie pas de donner son petit conseil aux prochaines promotions. « Je leur dirais simplement : allez-y, travaillez dur, dépassez-vous, et vous serez surpris de vos capacités ! Ce diplôme que vous aurez mérité, c’est autant un atout pour l’employabilité qu’une preuve de votre persévérance et un rappel que vous savez concrétiser vos ambitions. Et ça, c’est quelque chose qu’on garde en soi pour la vie ! »

Montpellier Business School félicite encore une fois les double-diplômés Bachelor 2016 et leur souhaite un futur rayonnant !

09 février 2018

Nadine – dernière année Bachelor en alternance

Nadine – dernière année Bachelor en alternance

A Montpellier Business School, il est possible, voire fortement recommandé, de réaliser ou d’intégrer la troisième et dernière année du Bachelor par apprentissage. Nadine Sader, étudiante palestinienne de 22 ans, après s’être expatriée en France pour obtenir une licence à l’université de Lyon, a croisé l’année dernière les étudiants de Montpellier Business School sur le salon de l’alternance à Lyon. Elle a décidé d’intégrer la dernière année du Bachelor par apprentissage et est, depuis septembre, en contrat à la BPCE au poste de chargée d’études marketing à Paris.

« Je savais que c’était une réelle opportunité d’opter pour l’apprentissage, j’avais lu des magazines d’orientation qui indiquaient que Montpellier BS était une école pionnière en la matière avec une vraie expertise », commence Nadine. « J’ai donc rejoint l’école et choisi ce cursus car je voulais vraiment avoir une expérience professionnelle de longue durée et obtenir un Bachelor reconnu tant sur le marché français qu’à l’international. Au départ, je ne savais pas si j’avais assez d’expérience  professionnelle pour décrocher le contrat de mes rêves, mais j’ai été bien coachée pour mettre en avant mes compétences et moi qui aime la rigueur et les chiffres, mais aussi l’aspect créatif, j’ai pu décrocher un contrat à la BPCE à Paris  ».

Nadine travaille donc à la BPCE (Banque Populaire Caisse d’Epargne), à Paris, depuis septembre en tant que chargée d’études marketing. Dans les missions qui lui sont confiée, elle participe notamment à la création de la P.L.V (publicité sur le lieu de vente), aux études statistiques, à la veille concurrentielle et travaille avec tous les membres de l’équipe sur différents projets. « Cela fait à peine 4 mois que j’y suis mais je suis vraiment ravie. L’équipe qui m’a accueilli est formidable, je découvre le marketing des produits et services bancaires et le fonctionnement d’un grand groupe français. L’alternance des cours et de la période entreprise au rythme de 3 semaines / 1 semaine est vraiment idéale.  J’allie les concepts à la réalité du terrain et j’ai l’impression d’apprendre et de comprendre plus vite. J’arrive à m’organiser pour gérer les deux aspects pédagogiques et professionnels, c’est un passage obligé mais ça se fait plutôt bien ! Les coachs alternance sont disponibles, ma famille me soutient toujours dans mes déplacements et dans mon changement de mode de vie, et mon équipe comme ma manager est très concernée par ce que je fais. Je mets un point d’honneur à ne décevoir personne ! ».

Quand on lui demande quels sont ses projets dans un futur proche, Nadine répond clairement : « Maintenant que j’y ai gouté, je compte bien poursuivre en master par alternance. Cependant, je n’ai pas encore d’idée très précise d’entreprise dans laquelle je voudrais évoluer, on verra bien les opportunités qui s’offrent à moi, peut-être que la BPCE aura envie de me garder. Je voudrais d’ailleurs en profiter pour remercier ma tutrice, Madame Anne Latty, responsable de l’animation et efficacité commerciale pour l’Economie sociale à la Caisse d’Epargne, qui me fait confiance, m’encourage et m’aide à progresser dans tous les domaines au quotidien. C’est très précieux d’avoir un maître d’apprentissage autant concerné».

07 février 2018

Mélissa, étudiante en 1ère année Programme Grande Ecole

Mélissa, étudiante en 1ère année Programme Grande Ecole

D’un BTS en Martinique à une grande école de management à Montpellier ! Mélissa a vécu ce changement il y a quelques jours à peine. Après avoir réussi le concours Passerelle 1 et les épreuves orales sur notre campus, elle a rejoint le programme Grande Ecole de MBS et a donc vécu sa 1ère rentrée. Elle raconte.

 

En débarquant à l’aéroport de Montpellier, Mélissa avait tout à découvrir. Ou presque. Etudiante de seulement 19 ans, elle n’a pourtant pas perdu de temps pour s’acclimater à son nouvel environnement. « J’ai quitté la Martinique fin août pour avoir le temps de trouver un appartement, de bien m’installer, de découvrir la ville et de prendre mes marques », commence-t-elle. « Finalement, tout s’est très bien passé et j’ai vite trouvé un logement en centre-ville. Du coup, je suis à quelques minutes en tramway de MBS. Je ne pouvais pas espérer mieux ».

 

Restait donc à vivre la fameuse rentrée en 1ère année du programme Grande Ecole de Montpellier Business School. « Nous avons vécu une journée mémorable avec la présentation du programme et de ce qui nous attend dans les mois et années à venir », explique Mélissa. « Mais en plus, nous avons participé à un team building sous forme de course d’orientation pour découvrir la ville, l’histoire et les personnages marquants de Montpellier. Toute la promo a bien joué le jeu donc cela nous a permis de rencontrer du monde, de créer des liens, de s’entraider et aussi de bien rigoler. Nous étions des groupes de 6 mais comme nous croisions d’autres groupes, une certaine cohésion a pu se mettre en place dès le 1er jour ».

 

Ravie de ce début d’année académique, Mélissa explique pourquoi elle a choisi Montpellier Business School pour poursuivre ses études. « J’ai un BTS NRC (Négociation et Relation Client) et il y a 3 points importants qui m’ont fait choisir le programme Master de MBS : l’année complète dans une Université Partenaire Etrangère en 2ème année, l’année de césure obligatoire et l’alternance en dernière année. Pour moi, ce sont des expériences nécessaires dans un parcours en grande école de management. Et c’est vrai aussi que durant les oraux à MBS, j’ai adoré le dynamisme de la « team admissible » et l’accueil en général ».

02 février 2018

Paula – année de césure Bachelor

Paula – année de césure Bachelor

Réaliser un stage à l’étranger est certes un rêve partagé par la majorité des étudiants mais qui suppose aussi quelques difficultés. Pourtant, y arriver est loin d’être impossible et au-delà de l’accompagnement et des offres de l’école, il peut s’obtenir au travers d’une démarche spontanée pleine de sens. C’est ce qui s’est passé pour Paula, 21 ans, en dernière année du programme Bachelor en 2 ans, en stage depuis février au sein de l’agence créative intégrée Piranha à New York comme « assistant producer ».

Lorsqu’on lui demande comment elle a trouvé son stage aux Etats-Unis, Paula a le sourire aux lèvres. « C’est une drôle d’histoire ! », nous dit-elle. « J’étais en pleine période de recherches de stage vers un pays anglophone, quand lors d’un reportage télé j’ai eu un vrai coup de cœur pour une agence à New York axée sur le communication et la réalité virtuelle : Piranha ! Alors même si je n’avais pas d’expérience dans le domaine, j’ai décidé de tenter ma chance. N’ayant aucun moyen de les contacter directement, j’ai osé et ai envoyer CV et lettre de motivation via Facebook à M. Gaspard Giroud, cofondateur et directeur associé de Piranha (et français) ! Quelques jours plus tard, après un entretien Skype et vérification de mes références, me voilà acceptée pour une stage de 6 mois dans le Financial District à NYC.»

Le stage en poche, vient alors le moment de préparer et d’organiser l’expatriation. « Je suis passée par la société Parenthèse, recommandée par l’école, qui s’est chargée de tout le côté administratif de mon départ, dont le visa et l’assurance. Pour le logement, les offres sont nombreuses sur les sites web spécialisés et les réseaux sociaux, donc le choix est vaste. En 3 jours, j’avais trouvé ma colocation à Brooklyn, tout près de mon lieu de travail. »

Aujourd’hui, Paula est très enthousiaste quant à son rôle au sein de l’agence créative Piranha. « Mes missions me permettent de découvrir les différents métiers de l’entreprise et de participer au lancement de nombreux projets. C’est un environnement professionnel très stimulant ! Côté agence, j’aide au démarchage, aux réalisations de campagnes pub ou encore aux conseils stratégiques. Mon autre rôle est de participer à la finalisation et à la campagne de lancement de l’application « Garou », une plateforme de réalité virtuelle pour l’immobilier et le tourisme qui sortira début mai. En ce moment, je prends part à l’organisation des évènements d’inauguration auxquels seront conviés de nombreux invités comme des promoteurs immobiliers, journalistes et des « VR Influencers ». J’ai aussi la chance de pouvoir travailler directement avec M. Giroud qui m’intègre dans la prise de décisions et m’inclue aux rendez-vous de présentation de « Garou » à de grandes entreprises telles que Tishman Speyer (propriétaire du Rockefeller Center, Chrysler Building…). Je vis une expérience incroyable et je lui en serai toujours reconnaissante ! »

Aux étudiants hésitants sur l’expérience professionnelle à l’étranger, Paula n’a qu’un message : « Honnêtement, je n’imaginais pas, à 21 ans, pouvoir afficher une expérience pro à New York. Mais aucune recherche de stage ne se ressemble !  Donc si vous souhaitez réaliser un stage à l’international, ne vous cantonnez pas aux sites d’annonces classiques mais osez les candidatures spontanées. Lancez-vous, provoquez l’opportunité et parfois vous pourriez être surpris ! »

02 février 2018

Véronique Flavigny – Responsable de la politique formation Air France

Véronique Flavigny – Responsable de la politique formation Air France

« Nous avons choisi la VAE, car elle permet le sur-mesure. Pour les salariés, le bénéfice est extraordinaire car elle favorise la prise de conscience des compétences qu’ils possèdent. Pour les compléter, ils suivent un vrai parcours académique et obtiennent au final un diplôme qui sanctionne et valide leurs acquis. Cela favorise un esprit d’équipe au travers d’échanges de bonnes pratiques et révèle un sentiment de fierté. J’ajoute que, pour ceux qui n’ont pas eu la possibilité de faire des études, il y a indéniablement un effet “réparation”. Quant à l’entreprise, elle optimise ainsi la carrière de ses salariés tout en les professionnalisant.

Le parcours de nos chefs de secteur et de nos instructeurs ne leur a pas forcément permis d’acquérir certaines des compétences, dont nous souhaitons aujourd’hui les doter. L’enjeu, est qu’ils intègrent toutes les dimensions économiques et stratégiques de l’entreprise, l’aspect marketing, financier, la relation client, l’impact aussi des nouvelles technologies, pour être capables de comprendre les décisions de l’entreprise et de pouvoir agir dans leur activité. Notre objectif est de renforcer le management.

Pendant un an et demi, 28 instructeurs et chefs de secteurs, sélectionnés au regard de leur parcours, de l’expérience requise et de leur motivation, ont suivi une formation de deux à trois jours par mois, à laquelle s’ajoutaient 150 heures dévolues à la VAE avec coaching individualisé.

De toutes les grandes écoles que nous avions sollicitées, Montpellier Business School a été celle qui nous a proposé l’offre la plus performante. Nous voulions un label prestigieux. C’était important pour les candidats. Mais nous ne voulions pas que le prestige l’emporte sur ce qui nous semblait être la meilleure offre. J’ajoute que Montpellier Business School travaille avec Paul Chiambaretto, un expert reconnu dans le secteur aérien. »

26 janvier 2018

L’Executive MBA de Montpellier Business School atteint les 800 diplômés

L’Executive MBA de Montpellier Business School atteint les 800 diplômés

Ce 19 janvier, la famille des alumni MBS s’est agrandie avec la promotion 2017 de l’Executive MBA, programme accrédité AACSB et AMBA qui délivre également la Certification RNCP de niveau I “Manager du développement d’entreprise ou d’unité opérationnelle”. Les participants ont été diplômés avec fierté sous les applaudissements de leurs familles, amis, enseignants et responsables de programme. Une cérémonie célébrée dans la joie collective et qui marque pour chacun le début d’une nouvelle étape de leur vie professionnelle.

 

Pour réussir cette formation de haut niveau destinée aux professionnels expérimentés, et concrétiser des projets aussi variés que leurs parcours et leurs profils, les participants ont été accompagnés et challengés par leurs professeurs pendant deux ans – ou un an pour le cursus Fast-Track. Un investissement nécessaire pour un fort enrichissement à plusieurs niveaux. “Ces quelques mois ont suffi pour changer votre vision du monde et du management. Vous avez acquis des compétences, des outils, des savoir-faire. Désormais nous espérons que jamais vous n’arrêterez de vous remettre en question, et de vous adapter. Nous serons là pour vous y aider, que vous soyez aux prémices ou à la concrétisation d’un projet”, commence Matthias Bauland, Directeur Général Adjoint de MBS en charge du développement.

 

Encadrée par une nouvelle Directrice, Mme Magdalena François-Thurin, la dernière promotion a également inauguré le nouveau curriculum du programme sous la responsabilité du Directeur Général Adjoint en charge de l’académique et de la recherche David Roubaud. “Depuis 1994, notre MBA a diplômé plus de 800 participants et a beaucoup évolué pour toujours proposer une formation d’excellence résolument orientée sur l’innovation, la stratégie et le management. Ce qui ne changera pas, c’est la particularité et la force de notre formation qui est de confronter des professionnels issus d’environnements très différents et qui font naître de leur diversité, de leur complémentarité, un véritable esprit de cohésion”, poursuit le Dr David Roubaud.

 

Avant la remise en main des diplômes, ce sont les Prix d’excellence, de thèse et le Prix spécial du jury qui ont été décernés dans l’émotion générale. “Cette reconnaissance prouve que l’on peut toujours transformer une situation difficile en belle opportunité. J’ai fait le choix de me tourner vers ce MBA après une perte d’emploi et aujourd’hui j’en ressors avec de nouvelles perspectives professionnelles et un regain de confiance”, explique Gaël Cusenier, Major de promotion du cursus Fast-Track. “J’étais à un tournant de ma carrière quand j’ai intégré le MBA. La dimension humaine de cette formation m’a encouragée d’autant plus à me lancer dans mon projet de création d’une société au Sénégal“, commente Sandrine Zwiller-Panicz, lauréate du Prix spécial du jury qui récompense l’adéquation de la thèse avec les valeurs de MBS.

 

“La diversité des projets réalisés par nos diplômés 2017 reflète la façon dont sont sélectionnés et formés nos participants. Concevoir le programme autour de leurs projets et non l’inverse nous permet de délivrer une formation sur-mesure à des personnes de tous horizons professionnels et académiques et de les accompagner au mieux dans leurs ambitions. Notre plus belle récompense est de les voir aujourd’hui s’accomplir pleinement dans la voie qu’ils ont choisie.” commente Magdalena François-Thurin, Directrice du Programme Executive MBA

 

MBS félicite encore une fois toute la promotion Executive MBA 2017 !

26 janvier 2018

Maxime – année de césure Bachelor – Sportif de Haut Niveau

Maxime – année de césure Bachelor – Sportif de Haut Niveau

Après un bac scientifique et une tentative en école d’ingénieur, Maxime a trouvé sa voie en rejoignant le programme Bachelor of International Business Administration de MBS, qu’il a intégré en 1ère année. Grâce au concours spécifique pour Sportifs de Haut Niveau et à la souplesse qui leur est accordée vis-à-vis de leur entraînements et compétitions, Maxime a pu gérer depuis déjà 2 ans des études de management tout en continuant le sport dans lequel il excelle : l’équitation. Rencontre.

Quand est née ta passion pour l’équitation ?

D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été sur un cheval ! J’ai dû apprendre à monter avant d’apprendre à marcher (rires). Puis il y a 10 ans j’ai voulu intensifier cette passion, et j’ai commencé les compétitions de sauts d’obstacles. En 2012 je suis passé pro et il y a 2 ans, j’ai intégré l’équipe de France en tant que jeune cavalier.

Comment as-tu pris la décision de poursuivre en école de management après ton bac ?

Au début je cherchais mon orientation et j’ai tenté une première année en école d’ingénieur. Mais ce n’était pas pour moi ! Finalement je suis allé vers ce qui m’attirait : le management, et le leadership surtout. Quand j’ai vu que MBS proposait un programme post-bac et qu’il était accessible avec le statut Sportif de Haut Niveau, je n’ai pas hésité, surtout qu’il est très bien placé dans les classements nationaux et internationaux.

Comment parviens-tu à donner autant dans les études et dans le sport ?

Tous les sportifs de haut niveau dans le même cas vous diront qu’il faut beaucoup d’organisation. Mais il faut surtout être passionné par ce que l’on fait. Dans le domaine académique, il est facile de décrocher si l’on n’est pas intéressé par ce que l’on apprend. Mais le Bachelor de MBS est tout ce que j’imaginais : beaucoup de cas pratiques, de projets de groupe… Ce qui donne envie de faire son maximum pour réussir. En dehors des cours, je consacre bien sûr chaque moment de libre à mes écuries et à mes entraînements, donc tôt le matin, le soir et le week-end !

Qu’est-ce que MBS t’a apporté jusqu’ici ?

MBS m’a bien sûr permis de pouvoir suivre des études de gestion sans devoir manquer d’entraînements ou de compétitions importantes, ce qui n’aurait pas été le cas ailleurs. L’école me permet d’adapter mon planning, d’aménager mon emploi du temps en fonction de mes impératifs de sportif. Lors de mes déplacements, je peux travailler à distance grâce à une plateforme en ligne et donc éviter de prendre du retard.

Quels sont les projets sur lesquels tu travailles actuellement et comment imagines-tu la suite ?

Actuellement je suis en césure professionnalisante avant de faire ma dernière année de Bachelor. Je travaille en parallèle sur deux projets familiaux cette année : développer mes écuries, et créer un incubateur d’entreprises. Deux choses complètement différentes mais dans lesquelles je suis vraiment investi ! Bien sûr, le but serait d’arriver au bout de ces deux projets. Au niveau de l’équitation, mon objectif est de pouvoir me financer moi-même et pourquoi pas, de pouvoir participer aux JO 2024 ! Même si c’est un immense rêve.

MBS ne doute pas que Maxime se donnera les moyens d’aller au bout de ses ambitions ! Merci à lui pour cette interview.

26 janvier 2018

Jean-Louis Prades – Programme Grande Ecole par la VAE

Jean-Louis Prades – Programme Grande Ecole par la VAE

Soutenance passée et soutenance validée pour Monsieur Jean-Louis Prades. C’est ce lundi 7 décembre que le directeur Air France KLM Burkina Faso est venu passer sa soutenance finale VAE Programme Grande Ecole sur le campus de Montpellier Business School. Une réussite qui lui permet, à 56 ans, d’être officiellement diplômé du Master 30 ans après l’obtention de son dernier diplôme.

Directeur de la compagnie aérienne Air France KLM depuis 2012 au Burkina Faso, Monsieur Jean-Louis Prades souhaitait obtenir ce Master par la Validation des Acquis de l’Expérience avant tout pour des raisons personnelles. « Je voulais faire le bilan de 30 années d’expériences professionnelles dont 20 ans de management. Et pour moi, il fallait que ça se formalise par quelque chose de concret », raconte-t-il quelques minutes à peine après avoir validé sa soutenance à 100%. « J’ai eu un BTS Tourisme il y a plus de trente ans et durant ma carrière, j’ai bénéficié d’une formation interne de qualité mais j’ai également fait quelques formations diplomantes courtes dont une avec l’EDHEC. Et surtout, j’avais besoin de ma propre reconnaissance sur ce que je suis capable de faire. Pour moi, la VAE était donc un bon moyen de formaliser cela mais aussi de prendre du recul sur ma vie professionnelle en faisant un travail sur soi, très introspectif ».

Jean Louis Prades s’est alors tourné vers le Programme Grande Ecole de Montpellier Business School au travers de l’accompagnement du cabinet « les 2 Rives ». « Je ne savais pas si j’avais le niveau Master mais j’étais prêt à essayer et à beaucoup m’investir. Montpellier Business School est une grande école reconnue internationalement et qui est dans le TOP 50 mondial, ça donne envie de relever le challenge ! J’ai travaillé depuis Ouagadougou au Burkina Faso (ndlr), entre cinq et dix heures par semaine, le week-end essentiellement, et mon dossier était prêt en douze mois. Je remercie vraiment toutes les personnes qui m’ont accompagné dans cette aventure et notamment Messieurs Vincent Causse, consultant et directeur associé des 2 Rives, et François-Xavier Théry, directeur du développement des entreprises de Montpellier Business School », confie Jean-Louis Prades.

A la sortie de la soutenance après la délibération du jury, on sent la délivrance et l’émotion dans la voix de Jean Louis Prades. « La soutenance s’est très bien passée même si j’étais un peu tendu et stressé au départ. La délibération a été rapide et maintenant, je suis content, soulagé et un peu ému. Je suis très fier d’être désormais diplômé du Programme Grande Ecole de Montpellier Business School et je vais immédiatement l’annoncer à mes enfants ».

Le Programme Grande Ecole de Montpellier Business School est l’un des rares masters grande école à pouvoir être obtenu par la Validation des Acquis de l’Expérience qui repose sur un principe général : compétence vaut diplôme.

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