MBS School of business
05 mars 2018

Manon – diplômée Programme Grande Ecole 2015 – Recherche

Manon – diplômée Programme Grande Ecole 2015 – Recherche

Diplômée Master 2015, Manon Favier est de retour à MBS pour préparer un doctorat sur le design du packaging

 

Après avoir réalisé l’intégralité de son parcours à MBS en alternance et obtenu son diplôme Programme Grande Ecole en 2015, Manon Favier a acquis plusieurs expériences professionnelles en France et en Nouvelle-Zélande dans le domaine du packaging du vin. Mais depuis septembre dernier, elle a choisi de revenir en France pour orienter sa carrière vers la recherche en attaquant une thèse co-encadrée par le Dr Franck Celhay, enseignant-chercheur à Montpellier Business School et par Gaelle Pantin Sohier, Professeure à l’Université d’Angers.

 

Comment cette passion pour la recherche a démarré chez vous ?

En fait, c’est grâce au mémoire de recherche que j’ai eu à rédiger durant mon année de Master 2 à MBS. A l’époque, j’étais chef de secteur dans le domaine du packaging de Champagne, j’ai beaucoup aimé cette 1ère approche avec la recherche qui me permettait d’échanger différemment avec mes clients (vignerons, agence de communication, imprimeurs). Concrètement, cela me permettait d’avoir un discours plus pertinent et fondé en appuyant mes arguments sur des articles académiques que j’avais pu lire. Par exemple sur le choix des polices d’écriture, de l’emplacement du logo ou des couleurs à privilégier sur un packaging de Champagne. Mes clients se montraient vraiment réceptifs, cela m’a donc donné envie d’aller plus loin et de répondre à d’autres problématiques provenant du terrain. Voilà ma motivation première dans ce projet de doctorat.

 

Concrètement, comment vous êtes-vous organisée pour mener à bien ce projet de thèse ?

Dans un premier temps j’ai démissionné du poste que j’occupais et je suis partie 1 an en Nouvelle-Zélande car un grand nombre de revues académiques sont anglophones, je me devais donc d’améliorer mon niveau d’anglais. Parallèlement, nous avons commencé à faire des recherches de financement avec l’aide du Dr Franck Celhay et du Dr Gaëlle Pantin-Sohier. Il y a eu plusieurs phases de sélection et j’ai eu une réponse positive en août dernier de la part de la région des Pays de la Loire. J’ai donc décroché le financement à travers un contrat de 3 ans qui fait que je suis rémunérée par la région Pays de la Loire et l’Université d’Angers pour effectuer mon travail de thèse.

 

Quel est le sujet de votre thèse et comment MBS vous soutient dans ce projet ? 

Ma thèse sera sur l’influence du design du packaging dans le domaine du vin. Je n’en suis qu’au début et en ce moment j’identifie les théories sur lesquelles je pourrai appuyer mon travail ainsi que les recherches existantes. Le but est de combler un manque dans la littérature existante. C’est le principe même de la recherche, apporter quelque chose de nouveau. Pour cela, je me rends régulièrement à MBS ainsi qu’à l’Université d’Angers pour des suivis de mon travail avec mes encadrants. Cela permet de fixer des échéances afin de réaliser cette thèse en 3 ans. MBS soutient ce projet au travers du défraiement de mes déplacements à Montpellier, du co-encadrement fourni par le Professeur Celhay et de la mise à disposition des différentes ressources « recherche » de l’école (bases bibliographiques, logiciels d’analyse de données)

 

Durant votre séjour en Nouvelle-Zélande, vous avez pu présenter vos travaux au World Marketing Congress…

Oui notamment grâce à MBS qui a accepté de financer mon inscription à ce congrès très important en juin dernier. Mon article “Is using ornaments still a crime? Package design complexity and brand perception with application to Champagne labels” a été retenu et j’ai pu le présenter pour la 1ère fois en anglais. Tout s’est bien passé et j’ai eu des remarques intéressantes qui m’ont permis d’approfondir mon travail depuis. J’ai aussi pu rencontrer des chercheurs internationaux, ce qui est toujours enrichissant.

02 mars 2018

Maeva, diplômée Programme Grande Ecole 2009

Maeva, diplômée Programme Grande Ecole 2009

Coordinatrice marketing de l’hôtel Caesar Park de Rio de Janeiro (Groupe AccorHotels)

“Après un D.U.T. à l’IUT Gestion des Entreprises et des Administrations de Sceaux, j’ai choisi d’intégrer le programme Grande Ecole de Montpellier Business School. J’étais déjà attirée par le secteur hôtelier et durant ma dernière année de Master j’ai rejoint le groupe AccorHotels en alternance. C’était idéal pour entamer ma carrière au sein de cette grande entreprise puisque je pouvais mettre en pratique ce que j’apprenais la semaine précédente à l’école. C’était donc en 2008 et je n’ai pas quitté le groupe depuis ! Une fois diplômée, j’ai obtenu un poste d’adjointe de direction à l’Ibis Strasbourg Centre Halles et j’y suis restée 4 ans. Mais dès le début je souhaitais aussi vivre une aventure professionnelle à l’international et j’ai eu l’opportunité de partir au Brésil où je suis maintenant coordinatrice marketing de l’hôtel Caesar Park de Rio de Janeiro Ipanema managed by Sofitel. C’est une mission extrêmement stimulante !”

01 mars 2018

Lucie – dernière année Bachelor en alternance

Etudiante bachelor MBS - Lucie

Depuis toujours, Lucie aime convaincre et négocier. Alors lorsqu’elle obtient son bac ES, elle se dirige tout de suite vers les métiers commerciaux. Avec un DUT Tech de Co en alternance, elle engrange de l’expérience comme chef de Rayon chez Géant Casino pendant 2 ans avant de partir en Angleterre comme fille au pair pendant 1 an et demi et rejoindre le Bachelor de MBS l’année suivante. Aujourd’hui en dernière année du programme, elle est en contrat d’un an au sein d’Unilever comme chef de secteur à Bordeaux et revient avec nous sur son parcours.

« Après mon DUT, je savais que je voulais rejoindre MBS car elle est n°1 de l’alternance et je n’imaginais pas mon cursus académique sans passer par cette voie ! » commence-t-elle. « Mais j’ai d’abord voulu faire une année « off » pour prendre en maturité et surtout améliorer mon niveau d’anglais car je savais que les cours à MBS étaient en grande partie dans cette langue, et je ne voulais pas me pénaliser en devant travailler le fond et la forme en même temps ! En plus maîtriser l’anglais est primordial quand on veut travailler dans le commerce. »

En 2016, Lucie passe à la fois le concours Bachelor et le concours Formation Initiale Alternée 1 pour le programme Master. Finalement, elle obtient les deux et décide de passer par un an de Bachelor pour profiter de plusieurs contrats d’apprentissage et donc, plusieurs entreprises, avant de poursuivre en Master. « Ce qui est bien à MBS c’est qu’il existe forcément un parcours qui nous correspond. Avec un Bac+2, j’avais plusieurs possibilités et je les aie tentées ! Et même si j’ai l’objectif de sortir avec un bac+5, j’ai choisi le Bachelor car je mets la priorité sur la diversification de mes expériences professionnelles » explique Lucie. « Récemment, j’ai donc passé le concours Formation Initiale Alternée 2 pour passer en 2ème année de programme Master. J’attends la réponse, le 10 mai, mais cela ne m’a pas empêché de commencer à chercher un nouveau contrat d’apprentissage, de 2 ans cette fois ! »

Mais jusqu’à fin août, c’est au sein d’Unilever à Bordeaux que Lucie est alternante, au poste de chef de secteur. « Pour moi, il était essentiel d’avoir l’expérience terrain avant de pouvoir prétendre à passer à un poste au siège. En tant que chef de secteur, je couvre toute la région Landes et Gironde, et je visite plus de 3 magasins par jour. Ce métier apprend la patience, la rigueur et met à l’épreuve votre sens de l’organisation ! Car les plannings doivent être bouclés 2 semaines à l’avance et il ne faut pas oublier un rendez-vous ! J’aime beaucoup ce rythme car je suis quelqu’un de très active, mais pour mon prochain contrat, je voudrais voir d’autres secteurs que la Grande Distribution. Comme je m’intéresse beaucoup à l’aéronautique et l’avionique, pourquoi pas chez une grande entreprise dans ce domaine, comme assistante de directeur commercial ou junior trading vente, par exemple. L’idéal serait aussi un poste où je puisse pratiquer régulièrement l’anglais, pour ne pas risquer de le perdre, mais heureusement, on le travaille aussi beaucoup pendant les périodes de cours à MBS ! »

En effet, cette année, les étudiants en dernière année de Bachelor ont suivi 10 cours en anglais au total, couvrant autant le marketing que le management ou la communication. « Si je n’avais pas fait cette année au Royaume-Uni, personnellement, j’aurais eu beaucoup plus de difficultés à les suivre, sachant qu’en plus j’ai choisi l’alternance et donc j’ai moins de temps à dédier aux cours. Mais j’en connais aussi qui ont très bien réussi alors qu’au départ, ils n’avaient pas forcément un niveau d’anglais correct. Donc tout dépend de la motivation et de la persévérance dont on fait preuve pour atteindre nos objectifs ! C’est d’ailleurs la même chose dans le commerce. Si on veut être commercial et que l’on n’est pas prêt à se donner à 200%, alors c’est que ce n’est pas pour nous ! » termine-t-elle.

Et ce qui est certain, c’est qu’au vu de son dynamisme et de sa bonne humeur communicatrice, Lucie, elle, est faite pour ça ! Merci à elle pour ce témoignage.

27 février 2018

Linda Yahiaoui – Executive MBA

Linda Yahiaoui – Executive MBA

Directrice de département Développement de produit

Mme. Linda Yahiaoui, diplômée EMBA 2016 & docteur en Biologie moléculaire et cellulaire (promotion 2001- Université LYON I), actuellement directrice du département Process and Product Development à Novasep, Belgique.

 

« J’ai suivi l’Executive MBA (EMBA) en Fast Track car j’étais dans une période de transition, de retour en France après avoir travaillé plus de 15 ans au Canada et aux Etats-unis. Lors de cette année de formation, j’ai particulièrement apprécié les cours de Stratégie et notamment l’exercice concret de réalisation d’un diagnostic stratégique – Projet Capstone. Dans ma nouvelle position, une de mes plus grandes satisfactions est d’être à présent capable de mettre en place un plan stratégique directeur à 3 ans, ce qui était quelque chose d’impensable pour moi il y a quelques années !

En suivant ce type de formation EMBA, très complémentaire avec ma formation initiale purement scientifique et technique, j’étais venue chercher de nouvelles compétences en Management d’équipes. J’ai occupé la fonction de manager précédemment mais je n’avais ni les outils ni les connaissances théoriques qui auraient pu m’aider à mieux performer dans ma mission. Je souhaitais acquérir ces outils pour créer un climat de collaboration, définir un objectif clair, évoluer dans une structure axée sur les résultats et la performance en définissant de nouveaux standards compris de tous.

Savoir aussi s’entourer de référents/experts, améliorer l’engagement de mes collaborateurs, optimiser les relais avec la direction de l’entreprise, le développement et la montée en compétences des collaborateurs. Je dirige aujourd’hui une équipe de 30 personnes composée essentiellement de docteurs, ingénieurs et techniciens. Nous faisons face tous les jours à des challenges divers et variés  (croissance, réorganisation, changement etc…) et la formation que j’ai pu recevoir m’apporte énormément dans ma fonction quotidienne.

 

J’ai acquis aussi des compétences en pilotage financier et comptable qui me permettent de mieux comprendre la rentabilité opérationnelle de notre business unit, l’alignement avec les objectifs financiers du groupe. Je peux également établir une analyse comparative afin d’identifier où notre BU se situe par rapport à d’autres BU du groupe ou même par rapport à la concurrence dans le même secteur d’activité; même s’il est difficile de statuer car toutes les entreprises n’utilisent pas toutes les mêmes formules de calcul. 

 

Enfin, j’étais aussi venu chercher des connaissances en marketing et commercialisation. C’est pourquoi j’ai choisi de rédiger ma thèse professionnelle MBA sur les challenges liés à la commercialisation des produits de thérapie innovante et les stratégies à mettre en œuvre afin d’améliorer le time to market tout en conservant un très haut niveau de qualité.

 

Cette expérience a été très enrichissante et j’utilise aujourd’hui les résultats de ma thèse professionnelle au quotidien. J’en profite également pour “allonger le cycle de vie” de ce travail en continuant d’interroger nos clients sur les challenges associés à la commercialisation des produits de thérapie génique et/ou cellulaire.

 

Pour conclure, une expérience que j’ai réellement apprécié: la diversité des participants est une richesse et il faut la maintenir. On apprend souvent des choses nouvelles en discutant et travaillant avec des personnes qui viennent d’horizons différents.»

25 février 2018

Thibault, diplômé Programme Grande Ecole 2016

Thibault, diplômé Programme Grande Ecole 2016

Business Developer chez Fidzup

“Après un baccalauréat STG, j’ai choisi de faire un parcours professionnalisant en me dirigeant d’abord vers un BTS Négociation et relation client (NRC) en alternance pendant 2 ans. J’ai poursuivi avec le parcours 100% en alternance de Montpellier Business School pour continuer à développer mes compétences. J’ai donc passé le concours Formation Initiale Alternée 1 et j’ai fait mes trois années de Master en alternance. J’ai travaillé chez So-Buzz puis chez Mercedes-Benz France au poste de chef de projet marketing opérationnel. Avant même l’obtention de mon diplôme, j’ai été chassé pour un poste de Business Developer chez Fidzup, une start-up parisienne spécialiste du marketing mobile à la performance pour le commerce physique qui vient de lever 3 millions d’euros. Je voudrais remercier MBS qui m’a permis de développer de nombreuses compétences grâce à ce cursus 100% en alternance qui était très important pour moi”.

25 février 2018

Martin – MSc in International Business

Martin – MSc in International Business

Pour le définir en une phrase, Martin est un polyglotte passionné de voyages. Après avoir obtenu un diplôme au Collège des études du tourisme et des loisirs en Autriche, son pays d’origine, il est parti au Royaume-Uni à la Manchester Metropolitan University afin de suivre un programme Bachelor in Arts « Hospitality with Events Management ». Pour compléter son parcours et valoriser son CV, c’est en France qu’il a ensuite décidé de poursuivre avec le Master of Sciences in International Business de MBS, qui lui permet de compléter sa formation et de profiter d’un stage long avant de se lancer sur le marché de l’emploi !

 

Si Martin a choisi le MSc in International Business, c’est d’abord pour acquérir de nouvelles compétences en management, marketing et stratégie business appliqués à l’environnement international, des aspects qu’il n’a pas eu l’occasion d’approfondir dans ses précédentes formations. « Comme j’ai déjà beaucoup étudié le secteur du tourisme « pur », je voulais choisir une formation qui soit complémentaire et qui corresponde bien sûr à mon projet professionnel qui est de travailler dans le développement international d’un établissement touristique. Je parle déjà couramment le français et l’anglais mais avec ce MSc, c’était en plus l’occasion de perfectionner mon niveau dans ces deux langues, surtout avec du vocabulaire plus technique et professionnel. »

 

Aujourd’hui, Martin vient d’entamer son deuxième semestre de cours et nous confie ses impressions sur le cursus : « Pour moi, l’atout majeur de ce MSc est vraiment la qualité de la préparation à l’insertion professionnelle internationale ! Les cours et les mises en pratique sont vraiment conçus de manière à nous garantir une insertion professionnelle rapide en nous donnant toutes les clefs pour devenir des managers compétents ou bien monter sa propre affaire. Au premier semestre, le cours « International Business Model Developer » du Pr. Paul Martin nous a appris à approfondir notre réflexion sur notre projet professionnel et à mieux nous orienter. De nombreux entrepreneurs et directeurs d’entreprises sont venus témoigner de leurs expériences, ce qui nous a éclairés sur nos choix de carrière potentiels. Ce semestre, nous allons devoir beaucoup nous investir dans le cours « Entrepreneurial Project » qui nous confronte à la création d’entreprise innovante avec les étudiants des 2 autres MSc de MBS »

 

Et à partir de juin, ce sera déjà l’heure du stage de 4 à 6 mois, que Martin compte aussi effectuer en France ! « Je voudrais rester en France pour mon stage car la France est toujours la première destination mondiale, devant les Etats-Unis ! Donc avoir une expérience professionnelle ici ne peut être que positif. L’idéal serait de trouver dans le département marketing d’un complexe hôtelier international. Je pense que parler 7 langues dont 5 couramment est un atout qui peut me différencier d’autres profils dans ce secteur et donc je suis optimiste. »

22 février 2018

Retour sur la 1ère "Vacalians Academy" conçue sur-mesure par MBS

Retour sur la 1ère "Vacalians Academy" conçue sur-mesure par MBS

Le 8 janvier dernier, Montpellier Business School et le groupe Vacalians, spécialiste européen de l’hôtellerie de plein air, signaient une convention de grand partenariat. Innovant, ce partenariat débouchait en premier lieu sur le lancement de la “Vacalians Academy”, un parcours de formation conçu sur-mesure avec l’équipe Executive Education de MBS. Ainsi, le 22 février dernier et après 5 semaines de formation, 70 directeurs et adjoints de direction de sites recevaient leur certificat dans le grand amphithéâtre de Montpellier Business School.

Après les partenariats de formation déjà mis en place avec de grands groupes comme Air France ou Volkswagen, MBS poursuit avec Vacalians le développement de son offre de formation continue conçue sur-mesure avec et pour ses partenaires.

“Nous sommes ravis de mettre l’expertise de MBS au service de ce projet ambitieux et innovant”, déclarait Matthias Bauland, Directeur général adjoint en charge du développement de MBS, lors du lancement de la Vacalians Academy et de la signature du partenariat. “Nous partageons les mêmes objectifs d’excellence et ce partenariat vient formaliser des valeurs communes et renforcer notre empreinte économique et sociale dans la région. Participer à la montée en compétence des professionnels du tourisme est, depuis de nombreuses années, un de nos projets stratégiques et nous sommes fiers de le concrétiser aujourd’hui avec le leader du secteur, le groupe sétois Vacalians”.

Président du directoire de Vacalians, Christophe Alaux expliquait : “J’ai décidé d’investir dans la formation afin d’accroître la fidélisation de nos clients et le développement de nos marques. Vacalians Academy sera un accélérateur pour le développement de notre franchise Tohapi”.

Durant 5 semaines, 70 directeurs et adjoints de direction des sites de camping Vacalians ont donc suivi à MBS une formation conçue sur-mesure comprenant des cours théoriques, des études de cas ou encore des mises en situation.

Lors de la cérémonie de remise des certificats, Andrée Tonnelier Delmaire, DRH Vacalians Groupe, montrait toute sa satisfaction face à cette 1ère promotion d’experts en métiers de l’hôtellerie de plein air. “Merci et félicitations aux équipes qui nous ont accompagnés. Je suis émue et comblée car c’est extraordinaire de voir toutes ces personnes en face de moi et nous le devons aussi à MBS.”

Toutes nos félicitations aux 70 directeurs et adjoints de direction Vacalians qui ont brillamment réussi leur parcours de formation et nous donnons rendez-vous dès maintenant à la future promotion 2019.

Pour en savoir plus, consultez le site de Vacalians Academy sur https://vacalians-academy.com

21 février 2018

Recherche : la stratégie d'excellence académique de MBS continue de porter ses fruits avec des résultats 2017 en forte amélioration

Recherche : la stratégie d'excellence académique de MBS continue de porter ses fruits avec des résultats 2017 en forte amélioration

Forte hausse du nombre et du rang des publications scientifiques, recrutement d’enseignants-chercheurs internationaux renommés… Les performances 2017 de la faculté de MBS sont le résultat d’une stratégie ambitieuse mise en place dans un contexte de fort développement et d’internationalisation globale. Directeur général adjoint de MBS en charge des Affaires académiques et de la Recherche, le Dr David Roubaud analyse ces résultats prometteurs.

 

Pour commencer, pouvez-vous présenter la stratégie de développement de la faculté de MBS ?

Cette stratégie découle du plan stratégique “Together Further 2020” qui a déjà permis de renouveler en 2015-2016 nos accréditations internationales AACSB et EFMD-EPAS, ainsi que le grade de Master pour 5 ans. Ce plan vise à présent à renouveler en 2018 notre accréditation AMBA et à obtenir d’ici quelques années l’accréditation EFMD-EQUIS.

Dans ce cadre, le rôle et les activités de la faculté de MBS sont fondamentaux. Aussi, nous augmentons les moyens budgétaires, administratifs et matériels en soutien du corps professoral.  Nos recrutements volontaristes sont très ouverts à la diversité avec plus de 60% d’internationaux, 25 nationalités et près de 50% de femmes dans le corps professoral. Nous recevons désormais plus de 500 candidatures d’enseignants-chercheurs du monde entier chaque année.
Courtisés souvent par de grandes institutions internationales, les professeurs permanents de MBS s’engagent avec passion et détermination pour soutenir MBS et sa mission, parce qu’ils y sont très attachés. Attirer et conserver de tels talents, c’est notre force !
L’adoption consensuelle d’un nouveau régime de l’enseignant en janvier 2018, qui a obtenu le vote favorable de l’ensemble des partenaires sociaux et syndicaux est une démonstration exemplaire de la capacité de la faculté de MBS de co-construire avec sa direction le cadre équilibré et positif dans lequel elle s’épanouira, sera performante durablement et trouvera la juste récompense de ses efforts. Au service de tous.
Nous avons construit un cadre original, agile et inclusif, pour permettre aux professeurs d’exprimer tout leur talent dans toutes les dimensions de leur métier unique. Ils peuvent ainsi rayonner à l’international depuis Montpellier et notre belle région Occitanie.

 

Comment ce développement se répercute-t-il au niveau des performances de la faculté de MBS ?

Nous avions fixé en 2015 des objectifs ambitieux de croissance pour les contributions intellectuelles de toutes natures. Nous comptons en 2017 plus de 100 articles publiés dans des revues à comité de lecture référencées CNRS/FNEGE, dont la moitié dans les rangs 1 et 2, à savoir les plus hauts niveaux de qualité.
Un total de 248 étoiles en 2017, représentant tous les domaines disciplinaires, cela illustre la qualité du travail collectif, avec 64 professeurs publiant qui contribuent. De plus, 11 professeurs permanents ont publié 9 publications de rang 1 CNRS/FNEGE en 2017, contre 3 en 2016 et 1 en 2015. Le fameux rang 1 n’est donc pas à MBS l’affaire de quelques enseignants seulement ! La forte dynamique sur les rangs 2 aspire également l’ensemble de la faculté vers le haut. C’est passionnant à impulser, observer et soutenir.
Tout ceci est le résultat, outre du talent des professeurs permanents, de la vision construite en 2015 avec notre Directeur Général, le Dr Didier Jourdan, concrétisée grâce au soutien affirmé de notre gouvernance associative présidée par Jean-Christophe Arguillère.
Les résultats atteints permettent d’atteindre une taille critique en termes de publications pour accroitre notre visibilité internationale. Cette première étape est achevée avec deux années d’avance sur notre plan stratégique. Nous viserons à renforcer encore la dimension qualitative dans les publications et l’impact sociétal de notre recherche. Ces éléments ne s’opposent pas. Ce défi, nous allons l’aborder tous ensemble avec envie, conviction et énergie.

 

Justement, quels sont les liens entre ces résultats probants, les étudiants et les valeurs de MBS ?

Au-delà des étoiles, qui ne sont qu’un élément de notre stratégie, il est fondamental que cette création et “vulgarisation” du savoir impacte toutes nos parties prenantes. Pour nos étudiants surtout, d’abord au travers des enseignements adossés à la recherche au sein de nos programmes de formation initiale et d’Executive Education, et aussi par l’innovation pédagogique encouragée et soutenue par MBS.

En adéquation avec les valeurs de l’école, nous développons aussi des actions concrètes telles que la création en février 2018 d’une chaire en Microfinance avec le soutien remarquable de Créa-sol, cofondateur. Nous avons bâti récemment une chaire Energie et développement durable, un Institut IMPROVE ou encore un groupe de recherche RSE et Diversité, tous influents au niveau national voire international auprès des décideurs de haut niveau des administrations ou entreprises mobilisées sur ces sujets.


En résumé, quelle est l’ambition de la faculté de MBS pour le futur ?

Garder toute notre agilité et notre capacité d’adaptation ! En pédagogie par des modes d’enseignements toujours plus fluides, collaboratifs et innovants. En recherche, en continuant à investir massivement dans notre capital humain, en créant des partenariats avec des institutions d’excellence et en renforçant encore l’impact de notre corps professoral. La valeur créée par la recherche académique ne se réduit pas à des ratios… Elle fait sens lorsque ses acteurs développent avec MBS une relation de long terme, au service des valeurs de MBS, pour impacter positivement l’ensemble de nos parties prenantes.

La satisfaction des étudiants et leur insertion professionnelle sont toujours nos priorités et la recherche, par exemple, n’est qu’un moyen pour servir cette fin.

Nous resterons donc tous humbles par rapport à ces excellents résultats qui sont le fruit d’années de travail acharné. Challengés par un environnement qui impose de se dépasser, nous continuerons à murir individuellement et collectivement, ainsi que comme institution, pour inscrire nos performances dans la durée. Je tiens donc à remercier chaleureusement tous les professeurs et collaborateurs de MBS pour leur engagement soutenu, eux qui contribuent à nos côtés depuis des années à l’émergence de ces résultats.

20 février 2018

Mollie, étudiante Master en alternance chez Chanel

Mollie, étudiante Master en alternance chez Chanel

Aujourd’hui, Mollie Angel Brown est une étudiante en 2ème année du programme Grande Ecole de Montpellier Business School et alternante chez Chanel. Et tout a commencé… par un bac professionnel esthétique, cosmétique et parfumerie qu’elle ne renierait pour rien au monde ! Au travers d’un parcours 100% alternance en BTS puis en licence, Mollie a cumulé de belles expériences chez différentes marques renommées dans le secteur du luxe, pour finalement intégrer MBS par le concours Formation Initiale Alternée 2ème année !

« Dès le lycée, je voulais absolument m’orienter vers le domaine de l’esthétique, de la cosmétique et de la parfumerie » commence Mollie. « … au grand damne de toutes les personnes qui voulait absolument que j’aille en filière générale et qui considéraient qu’avec un bac pro, je n’arriverais à rien. Moi je croyais en mes capacités, mes envies et j’ai bien eu raison ! » Après un bac avec mention bien, Mollie a donc choisi d’effectuer toutes ses études en alternance, tout en travaillant durant ses périodes de vacances. « Je trouvais que l’alternance était le meilleur moyen de me professionnaliser dans le secteur qui me passionnait. J’ai d’abord démarré par de petites expériences chez L’Oréal Luxe, Dior ou encore Guerlain, et j’ai pu décrocher un contrat d’apprentissage de deux ans chez Lancôme durant mon BTS, me confortant dans ma volonté d’aller le plus loin possible vers le bac +5. »

Pour sa licence, Mollie s’est alors tournée vers les grandes écoles de management, et MBS en particulier. « En me renseignant sur les différentes possibilités qui s’offraient à moi pour poursuivre en Master par la voie de l’alternance, j’ai découvert le concours Formation Initiale Alternée qui correspondait totalement à mon profil, et me permettait de ne pas me retrouver en concurrence avec les nombreux candidats des concours classiques. Après avoir passé le concours FIA1, je n’ai pas pu trouver de contrat d’apprentissage de 3 ans dans mon secteur fétiche, alors je suis partie effectuer une licence professionnelle ailleurs avec un contrat d’un an chez Chanel, pour revenir passer le concours FIA2 en 2016 et pouvoir continuer 2 ans de plus chez la même marque. Le rythme de 3 semaines en entreprise pour 1 à l’école était idéal pour eux, et l’école était assez réputée pour son expertise dans l’alternance ! Je suis très heureuse d’être à MBS car c’est l’école de la diversité ! Ici, je ne suis pas une extraterrestre malgré mon parcours, vous voyez (rires) ! Au contraire, la différence est valorisée et considérée comme un « talent » ! » 

Aujourd’hui, Mollie est alors épanouie et fière du chemin parcouru ! « Je travaille côté cosmétiques, au poste de déléguée commerciale et merchandising. Je suis en charge de 45 magasins sur Paris dont 2 sont les plus grands de la capitale et j’en visite entre 3 et 4 par jour. C’est très dynamique et j’adore ça ! L’ambiance entre les collaborateurs, au siège comme en magasin est toujours très bonne, il y a beaucoup de partage et de solidarité, c’est motivant et je m’éclate vraiment ! » confie Mollie.
« Je ne changerai mon parcours pour rien au monde et j’encourage les lycéens professionnels à suivre la voie de leur cœur, de croire en eux et de ne pas écouter les préjugés ! J’ai eu la chance de rencontrer des professeurs formidables pendant mon bac pro au lycée Hélène Boucher à Toulouse, ils m’ont poussée à continuer et je les en remercie. Heureusement qu’il existe des écoles et des entreprises qui donnent leur chance à tous les profils d’où qu’ils viennent dès lors que l’on prouve ses compétences et son savoir-être ! »

19 février 2018

Caroline – année de césure Bachelor

Caroline – année de césure Bachelor

Son bac ES obtenu avec succès, c’est en 2015 que Caroline intègre le programme Bachelor de MBS après l’avoir découvert sur un salon étudiant à Montpellier puis lors d’une Journée Portes Ouvertes. Deux ans plus tard, elle s’apprête à prendre un vol direction Honk Kong pour y effectuer son année de césure professionnalisante comme Regulatory monitoring officer au sein de la bijouterie APM Monaco ! Témoignage.

Ambassadrice de MBS depuis sa 1ère année, Caroline connaît très bien son école ! Et ce qui l’a elle-même poussée à intégrer son programme Bachelor, c’est la possibilité d’accumuler beaucoup d’expériences professionnelles et à l’international, notamment grâce à l’année de césure en entreprise. “Pour ma césure, je cherchais partout dans le monde car je voulais absolument profiter de cette occasion pour entamer une carrière à l’international. J’ai trouvé mon stage début janvier et je pars le 4 juin ! Le mieux est de s’y prendre le plus tôt possible pour organiser son départ sans stress !”

Mais Caroline, qui n’a encore jamais voyagé hors de l’Europe, a d’abord dû se préparer mentalement à vivre cette aventure : “Je suis ravie de vivre cette nouvelle étape de ma vie ! Au début, j’appréhendais un peu car ce n’est pas la porte à côté, mais c’est une vraie chance de pouvoir partir à Hong Kong car c’est un peu le New York de l’Asie, il y a beaucoup de diversité et de partage culturel. Je suis donc très enthousiaste ! J’ai surtout très hâte de commencer chez APM Monaco.”

Au sein du siège de la bijouterie, Caroline sera rattachée à la Global Head of Retail de l’entreprise et l’aidera dans ses missions de monitoring, de développement des opérations retails et d’ouverture de nouvelles boutiques. “C’est l’expérience dont je rêvais ! Du coup, je n’ai rien laissé au hasard pour l’organisation de mon séjour là-bas. Je me suis beaucoup renseigné. Ma famille m’a aidée pour tout ce qui est de l’ordre de la santé, puis je me suis occupée de la “to-do list” point par point : colocation, compte bancaire, opérateur téléphonique, billet d’avion… et bien sûr, le visa, pour Hong Kong et pour la Chine car je vais être amenée à faire beaucoup de déplacements ! Et j’ai aussi prévu des cours de mandarin sur place. Finalement, quand on s’y prend à l’avance, il n’y a rien de très compliqué. J’ai aussi pu recevoir de l’aide et des conseils d’étudiants de l’association World Co, et d’étudiants actuellement à Hong Kong. La communauté MBS est très solidaire ! Alexandre Buisson, en dernière année de Bachelor, a même visité mon futur appartement pour moi ! Je le remercie d’ailleurs beaucoup.”

Et quand on lui parle d’avenir, Caroline est sûre d’elle : il sera à l’étranger ! “Le diplôme de Bachelor s’exporte très bien à l’international, d’autant plus lorsqu’il est couplé à de belles expériences professionnelles. Je n’ai donc aucun doute sur le fait de trouver un poste à ma sortie d’école ! La seule question sera “où” ! En tout cas, si vous qui lisez ceci vous hésitez encore à vous lancer dans le grand bain, je vous assure que si je le fais, vous pouvez le faire ! Il suffit d’oser sortir de sa bulle et finalement, c’est plus facile qu’on ne le pense !  Oser, c’est ce qui vous mènera loin. Et n’hésitez pas à me contacter si vous avez besoin de conseils ! Je serais ravie de vous aider si je le peux.”

Le message est passé ! Merci à Caroline Tagneres pour son témoignage et nous ne manquerons pas de prendre des nouvelles durant son année à Hong Kong !

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