MBS School of business
22 mai 2019

Comment développer ses compétences en prise de décision stratégique : l’Executive MBA challenge la promotion 2019 avec un Business Game innovant

Comment développer ses compétences en prise de décision stratégique : l’Executive MBA challenge la promotion 2019 avec un Business Game innovant

Le Business Game ou le jeu de simulation d’entreprise est l’entraînement privilégié des étudiants en matière de stratégie et permet de tester de nouvelles méthodes tout en respectant la réalité du marché. La promotion 2019 de l’Executive MBA achevait leur dernière semaine sur le campus ce vendredi 17 mai avec « Boss », un Business Game de l’entreprise StratX au cours duquel quatre groupes composés aléatoirement se sont affrontés pour rendre pérenne leur entreprise fictive.

Une méthodologie au service des compétences de prise de décision et de diagnostic

 « L’exercice du Business Game permet d’évaluer la compréhension des concepts par l’application concrète. » explique Philippe Villemus, Enseignant au sein de Montpellier Business School. « L’objectif est de challenger l’aptitude des étudiants à prendre des décisions en stratégie, à résoudre des problèmes, à construire un esprit critique et à faire preuve de leadership. »

L’apprentissage à la prise de décision stratégique s’articule autour de plusieurs étapes clés qui balisent l’organisation de ce jeu de simulation :

  • Définir et contextualiser une problématique
  • Evaluer, choisir et défendre une solution
  • Démontrer une vision transversale
  • Fédérer une équipe
  • Convaincre une ou plusieurs parties prenantes

 

Un Business Game fondé sur l’objectif de créer un nouvel espace stratégique

Le scenario du Business Game s’est construit autour de la stratégie « Océan Bleu » dont l’objectif est d’intégrer un marché nouveau avec peu de concurrence et d’établir une demande nouvelle. L’objectif pour les étudiants en MBA était donc de piloter une entreprise de consoles et survivre aux multiples aléas générés par le logiciel de jeu et par leurs différents choix au cours du challenge. Chaque groupe voit ainsi les résultats en temps réel de leurs choix, mais également ceux des autres groupes, sans la possibilité de revenir en arrière.

Un retour d’expérience très positif de la part des participants

Sylvie Rainaud fait partie du groupe qui a remporté le Business Game : « J’ai évolué de pharmacienne d’officine à responsable d’un portefeuille de 300 officines dans le cadre de la répartition pharmaceutique. J’ai donc appris avec le terrain et je voulais à travers cette formation me construire un bagage théorique plus solide qui me rassure dans les décisions que je prends au quotidien. Ce Business Game est l’exercice parfait pour relier mes deux vies. » raconte Sylvie.

Ugo Carotti est également un autodidacte. Après plusieurs années dans la restauration et l’immobilier, il a décidé d’orienter sa carrière vers la comptabilité. « Avec plus de six années d’expériences en tant que directeur financier, j’ai voulu revaloriser mes acquis avec un diplôme qui me permet d’avoir une vision 360 de l’entreprise, et ne pas m’arrêter à mon champ de compétences. » explique-t-il. « Ce Business Games ne se limite pas qu’à notre connaissance du Business. Dans notre groupe, nous venions tous d’un secteur différent. Ce Business Game nous a permis de découvrir d’autres sensibilités, d’autres profils, qui nous sortent de notre zone de confort. »

La simulation s’est achevée sur la révélation du groupe remportant le défi. Le positionnement du vainqueur ? Miser sur la simplicité pour une optimisation des coûts plus dynamique, assurer une bonne complétude de l’information, et opter pour la satisfaction des salariés par un investissement dans l’outillage.   

20 mai 2019

Avec la Start-up Week, Montpellier Business School devient le plus grand incubateur de Start-up de France et réinvente le secteur vitivinicole.

Avec la Start-up Week, Montpellier Business School devient le plus grand incubateur de Start-up de France et réinvente le secteur vitivinicole.

Du 13 au 17 mai s’est tenue la 5ème édition de la Start-Up Week sur le campus de Montpellier Business School (MBS). Ce Business Game par équipe met la totalité des 800 étudiants de dernière année du Programme Grande Ecole au défi de la création d’entreprise. Cette année, les 100 projets développés devaient concerner la redynamisation du secteur vitivinicole : distribution digitale, conditionnement originaux, œnotourisme, immersion games… la créativité entrepreneuriale des futurs diplômés a impressionné le Jury.

UN CHALLENGE BASÉ SUR LA COMPLEMENTARITÉ ET LE PROFESSIONNALISME DES ÉTUDIANTS

La Start-Up Week rassemble durant 5 jours plus de 800 étudiants autour d’une thématique unique : créer une start-up innovante proposant une nouvelle offre sur le marché vitivinicole. Encadrés par une dizaine de coachs experts dans le domaine et guidés par 7 conférences de professionnels en entrepreneuriat, les quelques 100 équipes s’affrontent toute la semaine autour d’exercices complets quotidiens. « Cette dernière semaine nous a permis d’appliquer ce que l’on a appris tout au long du cursus : Business Strategy, Management, Marketing, Finance…» confie Juliette, alternante dans le domaine du webmarketing et de la CRM.

Ces équipes sont composées d’étudiants représentant chacune des différentes spécialisations enseignées en dernière année. « Nous avons surtout apprécié le fait de mixer les profils dans les équipes. C’était vraiment ce qu’il y avait de plus complémentaire et réaliste. » expliquent Laura, Julie et Tiffany, finalistes de l’événement.

A L’issue de ces 5 jours de compétitions, tous les groupes doivent pitcher leur projet devant un jury composé de professionnels experts en entrepreneuriat. 3 groupes sont alors sélectionnés pour la grande finale au cours de laquelle des « battles » départagent les meilleurs projets.

LE SECTEUR VITIVINICOLE A L’HONNEUR

Parmi tous les secteurs et problématiques disponibles, c’est le secteur vitivinicole qui a été retenu par le Montpellier Business School Entrepreneurship Center, une équipe qui a pour mission de contribuer au développement de l’entrepreneuriat dans toute sa diversité. « Si nous avons choisi ce marché, ce n’est pas un hasard. Le secteur vitivinicole trouve historiquement en Occitanie un grand vivier de producteurs reconnus mondialement. » explique Katherine Gundolf, Directrice du MBS Entrepreneurship Center.

Depuis quelques années, ce même marché vit des bouleversements économiques qui obligent les professionnels à trouver des solutions innovantes : le changement climatique risque d’entraîner un déplacement des lieux de culture des vignes, les pratiquants proches de la retraite ont des difficultés à trouver des repreneurs, et on observe un essor de nouveaux bassins de consommation avec la Chine et les Etats-Unis.

LES 1ER PRIX DU JURY

Face à ces enjeux, trois groupes aux projets radicalement différents ont su tirer leur épingle du jeu, et cette année, le digital était à l’honneur.

En troisième place du podium, le groupe d’apprentis startuppers a misé sur une solution 100% BtoB pour répondre aux besoins de mise en relation entre les producteurs indépendants et les CHR (Cafés, Hôtels, Restaurants). Ils ont ainsi imaginé une plateforme digitale responsable permettant aux producteurs de livrer leur vin « en vrac » directement aux professionnels de la restauration.

A la seconde marche du podium, les étudiants ont décidé de surfer sur la tendance des séminaires professionnels et du tourisme viticole. Leur projet s’est donc basé sur le concept d’une agence de voyage digitale permettant aux prospects de créer leur propre circuit touristique dans les vignes via une application mobile.

« Mais si vous ne pouvez pas visiter les vignes, les vignes viendront à vous » pitche alors le groupe vainqueur de l’événement. Également fondé sur l’axe du tourisme mais aussi sur la dégustation, le parti pris fort du projet vainqueur consiste à la « vinification des rooftops parisiens ». Ainsi, toujours dans l’objectif de rendre les toits de Paris plus verts, le projet met en place des ateliers « Découverte du processus de vinification » dans un cadre festif, moderne et plus proches du bassin de consommateurs.

L’événement s’est ainsi achevé par une remise des prix sous le signe de l’émotion. En effet, pour la grande majorité des étudiants, la Start-up Week marquait également la dernière semaine sur le campus, laissant place à la rédaction de leur mémoire de fin d’études. Ainsi, ce Business Game résulte de la volonté de l’école de conclure la formation des étudiants par la prise de conscience que chacun d’entre eux est un potentiel futur entrepreneur, preuve de l’importance accordée à l’entrepreneuriat parmi les axes majeurs de son enseignement.

15 mai 2019

« À l’heure où vous devez faire des choix pour votre avenir »

« À l’heure où vous devez faire des choix pour votre avenir »

Lettre ouverte du 13/05/2019 des écoles de management de la Conférence des Grandes Ecoles

« Concilier excellence et responsabilité sociétale, penser ensemble les défis économiques, géopolitiques, numériques et environnementaux, tels sont les enjeux de l’enseignement supérieur aujourd’hui.

C’est depuis toujours la mission des Grandes Écoles de management, membres de la Conférence des grandes écoles : celle de dispenser un enseignement à la hauteur de ces enjeux et de préparer nos étudiants, quels que soient leurs parcours, au monde de demain. Une mission inspirante, passionnée et reconnue par nos accréditations et classements internationaux.

À celles et ceux qui veulent donner libre cours à leur curiosité intellectuelle grâce à un corps professoral de haut niveau, nous affirmons notre engagement pour que s’aiguise leur sens critique au sein de programmes en lien constant avec les besoins du marché : doubles diplômes, parcours internationaux, pédagogies innovantes. Rejoindre nos Grandes Écoles, c’est faire le choix de l’excellence.

À celles et ceux qui aspirent à construire leur parcours selon leurs désirs, nous ouvrons la voie pour évoluer librement dans le monde professionnel dans toute sa diversité : grandes ou petites entreprises, monde associatif et start-ups. Rejoindre nos Grandes Écoles, c’est s’assurer une employabilité choisie et durable.

À celles et ceux qui croient à la force de la communauté, nous offrons un réseau international qui se construit et s’enrichit au fil des rencontres entre étudiants, professeurs, diplômés, entreprises : il ouvre les portes, facilite les projets et les fait rayonner au-delà des frontières. Rejoindre nos Grandes Écoles, c’est découvrir une communauté vivante.

À celles et ceux qui font le choix d’un avenir épanouissant, ambitieux et engagé, nous souhaitons la bienvenue. »

14 mai 2019

MBS classée 12e place dans le Palmarès Le Parisien 2019 des Grandes Ecoles de Commerce

MBS classée 12e place dans le Palmarès Le Parisien 2019 des Grandes Ecoles de Commerce

Publié ce mercredi 14 mai 2019 par Le Parisien Etudiant, le palmarès des Grandes Ecoles de Commerce délivrant le Grade de Master a placé Montpellier Business School 12e du classement général.

Ce classement annuel est établi selon une analyse de 16 grandes caractéristiques constituantes des Grandes Ecoles de Commerce dont les labels, l’attractivité, la recherche, l’international, et l’entrepreneuriat…

Conservant sa place dans le Top 12 national selon Le Parisien, Montpellier Business School se distingue avec une notre maximale pour sa recherche et d’excellentes notations pour les axes de l’international et de l’entrepreneuriat. Cette distinction renforce les valeurs dans lesquelles l’ensemble de Montpellier Business School croit et investit : l’excellence académique, la professionnalisation et la diversité.

> Voir le classement complet

13 mai 2019

Bruno Ducasse, nouveau Directeur Général de Montpellier Business School : « Pérenniser le modèle stratégique et accélérer le développement international »

Bruno Ducasse, nouveau Directeur Général de Montpellier Business School : « Pérenniser le modèle stratégique et accélérer le développement international »

Bruno Ducasse devient le nouveau Directeur Général de Montpellier Business School ; il prend ses fonctions aujourd’hui, le 13 mai 2019. Il a pour feuille de route le maintien du socle stratégique unique de la Grande Ecole de Management, l’accélération du développement international et la mise en œuvre du projet Campus.

Pérenniser le socle stratégique et poursuivre le développement

« Montpellier Business School se distingue dans le paysage des Grandes Ecoles de Management par l’ambition qui est la sienne de proposer une formation et une recherche académique de premier plan, une professionnalisation d’exception à travers notamment l’alternance, sans jamais négliger la recherche constante d’un impact positif sur le monde, qu’il soit social, environnemental ou économique » explique Bruno Ducasse. 

Bruno Ducasse visera à pérenniser ce modèle stratégique unique et à accélérer son développement, avec l’obtention de la « triple couronne », processus dans lequel l’école est déjà engagée, le développement des partenariats internationaux et des effectifs étudiants ainsi que la construction d’un nouveau campus apte à les accueillir, avec pour objectif d’installer MBS dans le top 10 des écoles de management françaises.

Bruno Ducasse

Né dans le Val-d’Oise en 1970, M. Bruno Ducasse est diplômé du programme Grande Ecole de Montpellier Business School, spécialité audit, promotion 1993. Directeur Général de la CCI de l’Hérault depuis 7 ans, après en avoir été le Directeur financier, Bruno DUCASSE possède plus de 20 années d’expérience dans le management et la gestion. Dans ses fonctions, il a agi pour le développement de démarches RSE au sein des entreprises, et s’est engagé pour l’insertion et la professionnalisation des étudiants, ainsi que le développement de l’entrepreneuriat auprès des jeunes publics, en collaboration, notamment, avec Montpellier Business School. Bruno Ducasse a suivi de près la gestion et le fonctionnement de l’école et a piloté son autonomisation en association fin 2012. Il participe aux réunions de la gouvernance de MBS depuis plusieurs années. 

10 mai 2019

Quelles sont ces « soft skills », compétences tant recherchées par les recruteurs, et comment les identifier ?

Quelles sont ces « soft skills », compétences tant recherchées par les recruteurs, et comment les identifier ?

Les soft skills sont les compétences personnelles et sociales qui permettent de dégager la valeur unique et singulière d’un individu. Lors d’un entretien, elles sont généralement tacites à l’annonce et à la fiche de poste mais sont pourtant les caractéristiques les plus recherchées aujourd’hui par les recruteurs. Orientées vers le long terme, ces compétences vont permettre au manager d’évaluer la facilité d’intégration et d’épanouissement du candidat au sein de son équipe et de l’entreprise.

Mettre en place des méthodes pour identifier et valoriser les softs skills en entretien

L’essor de l’ère digitale et le développement de l’intelligence artificielle ont rendu pérennes et volatiles les hard skills, compétences techniques ou académiques acquises par un individu durant son parcours. Les soft skills, durables dans le temps, sont ainsi devenues une référence et un capteur fiable de recrutement.

L’empathie, la réactivité, la gestion du stress, la souplesse cognitive, la capacité à prendre du recul ou encore la sensibilité sont des qualités qui permettent aujourd’hui au candidat de se différencier ; mais la difficulté est que la reconnaissance d’une telle compétence ne peut pas se faire sous forme déclarative. Il faut en effet qu’elle se dégage et se déduise d’une expérience ou d’un cas concret vécu. Revendiquer ses soft skills n’étant pas suffisant pour convaincre, il s’agit de mettre en place des méthodes afin de les identifier et de les valoriser. C’est dans cet objectif que le premier atelier orienté autour de ces compétences humaines spécifiques a été organisé par le Career Center de Montpellier Business School au sein de son dispositif « Premier Emploi ».

Cet atelier était destiné aux étudiants de dernière année qui préparent leur arrivée sur le marché de l’emploi et également aux coachs carrières, qui accompagnent l’ensemble des alternants du campus dans leur démarche de projet professionnel. Plusieurs exercices se sont succédé pour apprendre à identifier les soft skills. L’un d’entre eux a demandé aux étudiants de se positionner en tant que recruteurs : les participants devaient à partir d’une annonce pour un poste de commercial dégager une liste de soft skills induites par le contexte de l’annonce. Pour beaucoup, l’hypothèse de départ étaient que ces compétences recherchées étaient intrinsèquement liées au métier et donc que toutes les listes de compétences seraient composées des mêmes éléments. Mais lors de la restitution, les étudiants eurent la surprise de découvrir qu’aucune n’était identique. « En réalité, si l’intitulé et le descriptif du poste était identique, chaque étudiant disposait d’un paragraphe spécifique et différent des autres dans l’énoncé de l’exercice » explique Jean Lefebvre, Docteur en Sciences Humaines au sein de la « Curieuse Agence ». « Cela a permis de démontrer la singularité d’un profil au sein d’un même métier. »

« Le point de vue extérieur est capital pour comprendre ce qui se dégage de nous »

L’atelier s’est poursuivi avec plusieurs mises en situation. Rémy, Chargé d’efficacité en alternance chez Schneider Electric, fut le premier à passer devant tout le groupe. L’exercice imposait de conter une histoire vécue personnelle au cours de laquelle le candidat s’est investi émotionnellement. Cette émotion garantit une meilleure fluidité, ce qui a permis à l’audience de donner à Rémy une liste de 15 soft skills qui ont pu se dégager de son anecdote. « C’est là où se situe l’intérêt de ce genre d’atelier. On peut difficilement faire cet exercice seul. Le point de vue extérieur est capital pour comprendre ce qui se dégage de nous » raconte Kévin, Attaché commercial en alternance chez Maisons Guitard.  

Les retours à la suite de cet atelier furent très positifs. « L’exercice traite de manière tangible et concrète une notion qui jusque-là était assez floue » se confie Rémy après son entretien. « J’ai beaucoup apprécié la confiance qu’a su insuffler l’animateur au sein du groupe de participants. Cela permet d’être soi-même et de dégager les soft skills qui nous sont propres. » Cette intelligence sociale collective a également beaucoup plu à Camille-Chloé, Responsable de rayon en alternance chez Intermarché : « Je tire des enseignements de cet atelier qui dépassent la sphère professionnelle. Je compte aussi appliquer ce nouveau regard dans ma vie de tous les jours. »

Ainsi, structurer les recrutements autour des soft skills s’avère être la solution la plus durable et performante pour une entreprise. Les étudiants de MBS sont ainsi préparés à valoriser ces compétences personnelles tout au long de leur cursus, et ce, dès l’épreuve d’entretien de personnalité lors de leur admission.

07 mai 2019

Entrepreneuriat, compétences transversales et amitié : la recette du succès de Maxence, étudiant de MBS et de ses deux compagnons d’aventure

Entrepreneuriat, compétences transversales et amitié : la recette du succès de Maxence, étudiant de MBS et de ses deux compagnons d’aventure

L’entrepreneuriat est l’un des axes forts de la professionnalisation qu’offre Montpellier Business School. Maxence Wyts, étudiant au sein du PGE, suit cette dynamique et a déjà saisi l’opportunité de créer deux sociétés du haut de ses 23 ans. Accompagné d’Hugues, étudiant de l’ISCOM Paris et de Louis, étudiant à l’école nationale supérieure des Mines de Paris, Maxence a su repérer les besoins qu’avaient les entrepreneurs et les PME sur le marché de la digitalisation et de la communication. Retour sur cette formidable histoire d’amitié qui a conduit à la création de deux business models solides.

« Il y a 8 ans, nous avons décidé de nous lancer dans un projet de webradio. C’est ainsi que nous avons fondé et animé durant plus de 5 ans « ExtraDance » avec des jeunes de toute la France. C’était un véritable défi qui s’est même achevé avec un classement dans le Top50 des webradios françaises ! Avec Hugues et Louis, on ne s’est pas lâché depuis. » raconte Maxence.

A la fermeture de la webradio, ce trio complémentaire a choisi de poursuivre leur expérience entrepreneuriale en créant la Quincaillerie, une agence stratégique dédiée aux entrepreneurs. « La Quincaillerie, c’est une solution 360. L’objectif est d’accompagner les entrepreneurs de la conception d’une stratégie à sa mise en œuvre » explique Maxence. « Nous couvrons tous les besoins que peuvent rencontrer les PME aujourd’hui : du community management, au référencement naturel, jusqu’au développement technique des outils digitaux, en passant par la création d’ERP ou de CRM. » ajoute Hugues. « L’idée est vraiment de couvrir l’intégralité des besoins du marché, et ce, peu importe le secteur : immobilier, restauration, PME innovantes… » conclut Louis.

L’un des points forts de cette agence est également la force de son réseau et de sa communauté. « Nous avons pensé la Quincaillerie en plaçant la complémentarité et la communauté au cœur de son écosystème. Nous dépassons le rôle traditionnel de l’agence en organisant des évènements de Networking entre les entrepreneurs « Les Bons Tuyaux » et en nous positionnant également en tant que formateur à travers notre blog que nous alimentons régulièrement. » précise Maxence, qui effectue actuellement son année de césure au sein de sa propre entreprise grâce au parcours « Entrepreneur Track » du Montpellier Business School Entrepreneurship Center. « Ce programme est ouvert à tous les étudiants créateurs d’entreprise et qui souhaitent évoluer au sein de l’incubateur de MBS. Cela favorise ainsi l’entrepreneuriat en rendant plus flexible la création d’entreprise et l’enseignement en Grande Ecole » nous explique Marie-Anne Renault, Chargée d’administration au MBS Entrepreneurship Center.

Fier de son succès, ce trio fondé sur l’amitié ne s’arrête pas là. En effet, ils comptent tous les trois monter une seconde entreprise en parallèle de la Quincaillerie. « Cette société se nomme Alter-Native. A force de travailler avec les entrepreneurs, nous nous sommes aperçus d’un réel besoin cross-canal pour les jeunes créateurs indépendants. Ainsi, nous avons imaginé une marketplace BtoB, dont l’objectif est de mettre en relation les marques durables avec des boutiques physiques indépendantes, comme les concept stores. » raconte Hugues. « L’idée est vraiment de créer une plateforme de service complète, de la présentation des produits au paiement des fournisseurs. Cette plateforme est inédite et mettra à l’honneur les produits écoresponsables, issus du commerce équitable ou made in France. Cela nous permet ainsi d’intégrer cette notion de production responsable au cœur de notre activité. » conclut Maxence. Ainsi, cette nouvelle entreprise ouvrira son service dans quelques semaines. L’aventure continue.

29 avril 2019

Interview d’Alexandre Gérard, alternant en M2 et co-fondateur de bénégo, une société sportive incubée au sein du MBS Entrepreneurship Center

Interview d’Alexandre Gérard, alternant en M2 et co-fondateur de bénégo, une société sportive incubée au sein du MBS Entrepreneurship Center

L’incubateur du Montpellier Business School Entrepreneurship Center accompagne les étudiants et les diplômés qui se lancent dans l’aventure de l’entrepreneuriat, et ce, à n’importe quel stade du projet. Alexandre Gérard, étudiant en M2 du Programme Grande Ecole de MBS fait partie de ces jeunes entrepreneurs innovants qui n’ont pas attendu la fin de leur cursus pour créer leur société. Son objectif ? Allier ses compétences digitales et sa passion du sport pour répondre à une problématique de communication. Rencontre.

Alexandre, quel a été votre parcours ?

Après une licence en Sciences et techniques des activités physiques et sportives (STAPS), spécialisée dans l’entraînement sportif, je me suis dirigé vers une licence en Management du sport avant d’intégrer Montpellier Business School via le concours Passerelle. J’ai fait le choix d’effectuer mon cursus en alternance, et ma passion pour le sport m’a dirigé vers un poste de Community Manager chez INTERSPORT France. Ainsi, je suis en charge de la communication digitale du groupe et de ses magasins sur les réseaux sociaux.

Comment est né « bénégo »  ?

Durant mes années de licences, j’ai été sportif de Haut Niveau Universitaire spécialisé en triathlon « IRONMAN », des compétitions qui regroupent des athlètes parcourant 3,8 km à la nage, 180 km à vélo et 42 km en course à pied. Face à l’envergure de ces évènements, nous nous sommes rendu compte avec Emmanuel Aujouannet, co-fondateur de bénégo, qu’il y avait un réel besoin au sein du milieu sportif de faciliter la recherche et la communication avec les bénévoles. Il fallait qu’on imagine une plateforme pour simplifier le contact et créer un vrai système de mise en relation entre les associations sportives et les bénévoles.

La mission de cette jeune entreprise est donc :

  • Que chaque association sportive trouve les bénévoles qui répondent à ses besoins et que chaque bénévole trouve la mission de bénévolat qui lui correspond.
  • De faciliter la mise en relation et le recrutement.
  • De devenir la référence en termes de bénévolat sportif.

J’ai ainsi postulé pour intégrer l’incubateur de MBS Entrepreneurship Center au début de l’année et j’ai pu bénéficier d’un réel suivi et de précieux conseils pour développer la startup. Aujourd’hui, je suis fier de pouvoir annoncer que nous avons ouvert notre service au grand public.

Quelles sont les prochaines étapes de votre aventure entrepreneuriale ?

Nous venons de lancer une version Beta à travers un site que nous avons monté tous seuls. Nous développons aujourd’hui la version définitive de cette plateforme de contact et comptons grâce à cette première preuve de concept effectuer une levée de fonds pour accélérer le développement du projet.

Enfin, je compte présenter la startup au Concours de la jeune entreprise innovante et responsable organisée par la Fondation MBS. L’idée est de conserver dans l’ADN de bénégo cette valeur que l’on partage avec l’école et qui est de mettre l’innovation au service d’un écosystème social responsable.

Pour les plus curieux, voici la vidéo de présentation de cette nouvelle startup :

26 avril 2019

Speed Recruiting Alternance : une 3ème édition marquée sous le signe de la diversité des entreprises, des offres et des talents

Speed Recruiting Alternance : une 3ème édition marquée sous le signe de la diversité des entreprises, des offres et des talents

Montpellier Business School inscrit la professionnalisation des étudiants au cœur de sa mission et de ses formations. L’alternance est l’un des leviers les plus performants pour garantir cette forte professionnalisation et c’est la raison pour laquelle l’équipe du Career Center de Montpellier Business School organisait pour la 3ème année consécutive le Speed Recruiting à destination de 200 étudiants des programmes Bachelor et Grande Ecole. Au total, une quarantaine d’entreprises partenaires et Grands Partenaires sont venus à la rencontre des talents de MBS afin de recruter leurs futurs collaborateurs.

Un format d’entretien inédit au service de l’authenticité :

Ce qui fait du Speed Recruiting un événement à part entière, c’est le format de son entretien : trente minutes pour convaincre. « Ce qui est un peu déroutant, c’est que cet échange n’a rien à voir avec l’entretien classique. » se confie Cyril, étudiant en L3 et intéressé par les fonctions RH. « Nous sommes obligés de filtrer uniquement sur ce qui est capital pour le poste.» Pour Florian, également étudiant en L3 et qui préfère la voie commerciale, l’exercice permet d’être plus authentique que durant un entretien ordinaire : « Pour pouvoir évaluer mes compétences de vente, le recruteur a choisi de faire une mise en situation d’un cas concret de vente. J’ai dû réagir en direct, sans préparation. »  

Parmi les quarante entreprises venues recruter, Haribo, membre historique de l’Advisory Board de Montpellier Business School, confirme la volonté de challenger les candidats face à une situation réelle du terrain. « C’est le meilleur moyen pour évaluer rapidement les compétences du candidat » affirme Justyna Grabarczyk, Responsable Développement RH Haribo. « Ces rencontres avec les étudiants sont précieuses, car si beaucoup nous connaissent pour nos produits, peu connaissent réellement la marque employeur. Le Speed Recruiting, c’est un bon moyen d’expliquer aux alternants ce qui se cache derrière notre image grand public. »

La diversité au cœur de cette 3ème édition :

Ce qui marque cette troisième édition, c’est avant tout la diversité des quelques 400 postes proposés par les entreprises. « Nous cherchons des alternants pour tous les départements de l’entreprise : RH, management, commerciaux, etc… » explique Cécile Delecourt, Manager recrutement et relations écoles pour Altran. « Etant moi-même diplômée du programme Master, je sais que l’école regroupe tout type de profil et que cette grande diversité d’étudiants garantit que nous pourrons toujours trouver un talent dont le projet professionnel s’inscrit dans l’offre que nous proposons. »

Afin de garantir la variété des profils lors de cet événement, Charlotte Bac, Consultante Carrière du Career Center de MBS, rappelle qu’aucune sélection préalable des profils n’a eu lieu. « L’objectif ne se limite pas à trouver le candidat idéal pour une alternance. Le Speed Recruiting, c’est aussi l’opportunité pour l’ensemble de nos étudiants et partenaires de développer leur réseau et donc de ne pas réduire le spectre des talents disponibles. » conclut Charlotte.

 

 

25 avril 2019

L’innovation responsable pour une planète bleue plus verte : les étudiants de MBS au service d’un Monde Nouveau

L’innovation responsable pour une planète bleue plus verte : les étudiants de MBS au service d’un Monde Nouveau

Le 27 mars dernier se sont réunies plus de 7 000 personnes à l’occasion du forum du Monde Nouveau à Perpignan, une rencontre marquée sous le signe de l’innovation et du débat autour des solutions durables pour faire face à l’urgence climatique et environnementale. L’objectif de ce forum de trois jours « pour une planète bleue plus verte » était de partager et parcourir des pistes nouvelles en termes d’innovation responsable, que ce soit dans le secteur de l’énergie, des transports, de la biodiversité ou encore de l’économie. La mission était donc de rassembler des participants aux parcours variés, aux compétences complémentaires et avec une envie de s’inscrire dans une démarche RSE.

Porteurs de ces valeurs d’échanges collaboratifs et d’écologie, les étudiants de MBS ont uni leur force avec les étudiants de INSA de Toulouse et l’entreprise partenaire de l’événement JCDecaux afin de trouver ensemble des réponses concrètes à un environnement urbain durable.

Sandra et Magda, étudiantes au programme Bachelor et Master, et membres de l’association développement durable de MBS (GAIA), reviennent sur leur participation. « Nous avions une double mission lors de ce forum. D’une part, nous devions couvrir l’évènement sur les réseaux sociaux afin d’assurer un maximum de visibilité sur les enjeux environnementaux mis en avant lors de ce salon. D’autre part, nous avions pour mission d’apporter des réponses à la sensibilisation des citoyens autour de ces problématiques en ayant comme objet de communication les abribus et les arrêts de tramway de la ville. » explique Sandra.

« En faisant équipe avec les étudiants en ingénierie et grâce à l’expertise en mobilier urbain de JCDecaux, nous avons imaginé notre projet autour d’abribus et d’arrêts de tramway intelligents et digitalisés. Nous avons ainsi pensé à la mise en place d’une opération digitale diffusant un message de remerciement aux usagers et en actualisant la quantité de CO2 économisée par l’utilisation des transports en commun. » précise Magda. « L’idée est même d’aller jusqu’à communiquer le taux de pollution dans l’air afin d’inviter les citoyens à davantage consommer ce moyen de transport. »

Séduite par les recommandations des étudiants du Bachelor, l’entreprise JCDecaux a souhaité poursuivre cette collaboration. Elle viendra dans les locaux de MBS à la rencontre des étudiants de l’association GAIA et des membres du Career Center de l’école. L’objectif de cette rencontre sera d’imaginer la forme que peut prendre ce partenariat au service de la planète sur le long terme et ainsi d’inscrire une fois de plus une dynamique RSE au cœur des projets responsables défendus chaque année par les étudiants. A suivre.

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