La Gamification des enseignements pour lever les limites mentales et sortir de l’autocensure

A l’occasion de leur rentrée, les étudiants de première et deuxième année des programmes Bachelor et Grande Ecole ont eu l’occasion de participer à un module atypique de team building. A travers plusieurs « Serious Games » (jeux de rôles, de piste, etc.) les étudiants ont l’occasion de développer leurs compétences comportementales, ainsi que d’analyser et de s’approprier la diversité des parcours des autres étudiants composant leur promotion.

« Nous organisons des casse-têtes physiques, durant lesquels les étudiants doivent redoubler de créativité et de collaboration pour réussir le défi. » explique Annie Mahé, enseignante à Montpellier Business School. « Il est important de faire appel au corps car il s’agit d’aller au-delà de la limite mentale. Ces étudiants viennent d’intégrer une nouvelle école, et pour certains une nouvelle ville et pays. Pour beaucoup, le premier obstacle à leur prise d’initiative est l’autocensure, et ce genre d’atelier ludique est fondamental pour les sortir de leur réserve. »

Un jeu de rôle d’entreprise pour comprendre les enjeux des individualités professionnelles et coconstruire demain

Au-delà de la libération du contrôle de soi, l’objectif de ce team building est également de développer l’empathie managériale. A travers le cas concret de l’entreprise Bio Burger, les étudiants participent à un jeu de rôle d’entreprise, où chacun d’entre eux se voit attribuer une fonction et un objectif spécifique dans l’entreprise : chef de projet marketing, contrôleur de gestion, actionnaire…

« L’objectif ici est que l’étudiant comprenne les fondements d’un comportement en entreprise. Celui-ci ne découle pas uniquement de la personnalité mais également de la fonction occupée par l’individu. Pour caricaturer, une personne d’un naturel moins analytique sera ainsi contraint par une fonction de contrôleur de gestion à adopter un comportement différent de ce que l’on peut attendre de sa personnalité. » explique Annie Mahé.

Le développement des compétences comportementales ou « soft skills » accompagné tout au long du cursus

Par l’intermédiaire de ces Serious Games, les étudiants apprennent à développer leur adaptabilité et la conscience de l’environnement dans lequel ils évoluent. Un développement suivi tout au long de leur parcours à MBS, qui met un accent particulier sur le déploiement des « Soft Skills » et la mise en œuvre d’une solide éthique professionnelle. Les étudiants auront ainsi l’occasion de faire un point régulier sur l’évolution de leur personnalité professionnelle et de leurs compétences comportementales à travers les modules de Behaviour Focus, exclusivement construits pour MBS.

Montpellier Business School, par l’intermédiaire de la Chaire en Microfinance dans les Pays Développés et de la Chaire Entrepreneuriat Social et Inclusion, s’engage au côté du Professeur Yunus, Prix Nobel de la Paix 2006, pour créer le “Yunus Centre for Social Business and Financial Inclusion”.

Inauguré le mercredi 9 Octobre, ce Centre est un hub académique, créé en partenariat avec le Yunus Centre et ayant pour objectif d’aller plus loin dans la formation et la sensibilisation des étudiants au « Social Business » à travers des cours spécifiques, des formations diplômantes, des contrats d’apprentissage et de nouveaux projets à impact social.

S’inscrivant dans la continuité de la conférence du Professeur Yunus le 4 mars dernier à MBS, le Centre a pour mission de diffuser les connaissances nouvelles de la recherche en Social Business et marque un engagement supplémentaire de Montpellier Business School pour une économie et une société plus justes et plus durables.

« En s’appuyant sur le Yunus Centre for Social Business and Financial Inclusion, nous comptons développer la recherche dans le domaine du « social business » et renforcer l’accompagnement des personnes qui souhaitent créer leur entreprise à impact social et sortir de la précarité. » explique Dr. Anastasia Cozarenco, Directrice du Centre.

« Il s’agit également de contribuer à la création d’un véritable écosystème local, régional et international regroupant les porteurs de projets de l’économie sociale et solidaire et d’ainsi mettre à disposition du plus grand nombre des ateliers et des conférences pour favoriser l’Entrepreneuriat social. » complète Dr. Walid Nakara, Directeur Adjoint du Centre.

« La création du 79^e YSBC à Montpellier Business School est une formidable opportunité pour continuer à ouvrir les esprits de la jeune génération à la réalité du monde et les préparer à trouver des moyens créatifs de résoudre les problèmes grandissants de la planète. » conclut le Professeur Yunus, ouvrant le champ des possibles et encourageant les initiatives entrepreneuriales chez les étudiants.

Pour plus d’informations, vous pouvez désormais consulter directement la page du Yunus Centre ici.

L’EFMD (European Foundation for Management Development) vient d’attribuer son accréditation EQUIS (European Quality Improvement System) à Montpellier Business School (MBS). Déjà accréditée AACSB et AMBA, l’École rejoint le cercle très restreint des 1% de Business Schools mondiales détentrices de la « triple couronne ».

MBS devient ainsi la 14ème école de management française post-classe préparatoire triple accréditée AACSB/AMBA/EQUIS, la 91^ème sur environ 14 000 business schools dans le monde.

L’obtention de cette accréditation est le résultat d’un long et rigoureux processus d’examen, qui permet d’évaluer la conformité d’un établissement à des standards académiques élevés, définis par l’EFMD et portant sur toutes les dimensions et composantes de l’institution : stratégie, pédagogie, recherche, internationalisation, proximité avec les entreprises et réseaux de diplômés. Elle s’applique à tous les programmes de l’école : Bachelor (BAC+3), Programme Grande Ecole (BAC +5), Masters of Science (BAC+5), Executive MBA, Programme DBA.

MBS s’appuie sur un positionnement atypique, alliant exigence académique et empreinte RSE, qui lui a permis de se différencier et d’acquérir, au fil des années, une place à part parmi les Business Schools françaises et internationales. Comme le précise Bruno DUCASSE, Directeur Général de Montpellier Business School : « Cette nouvelle accréditation est une reconnaissance de la stratégie de MBS, qui allie une exigence de qualité académique répondant aux plus hauts standards mondiaux à la défense de valeurs fortes : l’ouverture sociale et la construction d’une économie et d’une société plus responsables. Ce n’est qu’un début, l’entrée dans un nouveau processus d’amélioration continue qui doit nous amener à poursuivre notre progression. »

Pour André Deljarry, président de Montpellier Business School, « cette nouvelle accréditation place MBS dans le top 1% des business schools dans le monde. C’est une grande fierté pour notre école et pour notre territoire. Avec la triple couronne et demain un nouveau campus, MBS sera prête à entrer dans une nouvelle phase de son développement. » 

Les 16 associations et clubs étudiants de MBS recrutent leurs nouveaux membres

Avec l’arrivée de centaines de nouveaux étudiants, le campus de Montpellier Business School s’est enrichi d’autant de nouvelles idées. Pour les concrétiser, les associations sont les vecteurs privilégiés des étudiants pour apprendre, par la pratique, la gestion de projet, le management et l’esprit d’équipe.

En cette rentrée, 16 associations accueillent les étudiants, couvrant un large spectre de centres d’intérêt : allant du sport à l’e-sport, en passant par l’art sous toutes ses formes, sans oublier les associations qui s’engagent pour les causes humanitaires ou écologiques.

Alterner entre deux vies

Plus de 1 300 alternants ont également fait leur rentrée à MBS. Si le rythme d’une semaine à l’école pour trois semaines en entreprise est avantageux pour des missions de long terme, il renforce également le networking entre les étudiants répartis dans la France entière.

« Durant les trois semaines en dehors du campus, nous nous retrouvons entre alternants de MBS, que ce soit pour des projets ou juste pour ne pas trop couper de notre vie d’étudiant. » explique Jules, alternant en dernière année du Programme Grande Ecole. « Cependant, parfois loin du campus, il peut s’avérer compliqué de s’investir et d’intégrer la vie associative de l’école, dont la grande partie des événements a lieu sur le campus. C’est de ce besoin qu’est né Alter’Native. »

Alter’native facilite l’intégration des alternants dans la vie associative de l’école

« Concrètement, le but d’Alter’Native est d’organiser des événements qui prennent en compte les contraintes de planning des alternants et donc de faciliter leur intégration dans la vie associative du campus. Sous forme d’afterwork, le but est de mettre en place un réseau professionnel entre les étudiants et donc de découvrir d’autres alternants vivant dans la même ville. » complète Jules, faisant partie de l’équipe d’accompagnement du nouveau bureau de l’association.

L’an dernier, plusieurs afterworks ont eu lieu à Paris. « Nous sommes parvenu à organiser une visite privée de l’Assemblée nationale. Nos actions ne consistent pas qu’à fixer un point de rendez-vous entre alternants mais aussi à offrir une vraie expérience aux participants. » conclut Jules.

Les recrutements pour Alter’Native et les 15 autres clubs et associations sont ouverts jusqu’à fin Octobre. Pour les contacter, retrouvez-les sur les réseaux sociaux ici.

L’intégration des enjeux écologiques et sociétaux est au cœur de la stratégie de MBS depuis de nombreuses années.

Montpellier Business School s’associe à la Conférence des Grandes Ecoles et endosse la tribune du Réseau Français Etudiant pour le Développement Durable (REFEDD) qui appelle à une meilleure intégration des enjeux climatiques et sociaux dans la stratégie des établissements d’enseignement supérieur.

Montpellier Business School (MBS) soutient cette initiative collective, qui est en pleine adéquation avec les fondements de l’école, sa mission et ses valeurs : former des managers responsables, capables d’incarner l’éthique, l’ouverture, la diversité, la responsabilité et la performance globale.

Connue pour son engagement sociétal en faveur de la Diversité, MBS a intégré toutes les dimensions de la RSE dans son fonctionnement interne comme dans ses enseignements depuis plusieurs années, dans l’objectif d’œuvrer à son échelle et à travers ses étudiants et diplômés à une société plus durable.

L’enseignement et la sensibilisation 360° aux enjeux environnementaux et sociétaux

MBS intègre la RSE et le développement durable tant dans ses enseignements, où ces matières sont enseignées en transverse ainsi que par des cours dédiés dans tous ses programmes (du Bachelor à l’exécutive MBA), que dans son fonctionnement interne.

Les étudiants suivent ainsi des cours de RSE et Développement Durable, de Marketing Responsable, et choisissent par exemple une spécialisation Économie sociale et solidaire ou de Management durable des ressources humaines et de la diversité.

Tous les ans, l’ensemble des étudiants de première année des programmes Bachelor et Grande Ecole participent aux projets solidaires Alpha et Prométhée. Coaché par un collaborateur de MBS, chaque groupe s’engage à mettre en place un plan d’actions pour collecter des fonds, améliorer la notoriété et renforcer l’impact d’une association.

L’ensemble des collaborateurs et des étudiants sont également invités à participer à de nombreux dispositifs sensibilisant aux valeurs sociétales tout au long de l’année. En 2019, la Semaine de la Responsabilité Globale a organisé des ateliers et conférences de sensibilisation à la disparition de la faune et a ainsi ouvert sur de nouveaux dispositifs économiques pour fonder son entreprise sans mettre en danger son écosystème.

S’engager pour l’avenir en soutenant la recherche durable

A MBS plusieurs chaires et groupes de recherche interdisciplinaires travaillent sur les champs de la RSE.

La Chaire énergie et développement durable qui organise la conférence annuelle “International Conference on Energy, Finance and Macroeconomy (ICEFM)”, réunit des chercheurs et acteurs du monde entier autour des dernières découvertes de ces trois domaines.

La Chaire Entrepreneuriat Social & Inclusion a pour objectif de promouvoir les entreprises de l’économie sociale et solidaire et à soutenir les personnes éloignées de l’emploi afin de contribuer à une économie plus inclusive.

La Chaire en microfinance se consacre également à l’inclusion via la microfinance, en particulier dans les pays développés, sensibilise les étudiants au Social Business et collabore avec le Professeur Muhammad Yunus, Prix Nobel de la Paix en 2006.

Le groupe « Valeurs, Organisations, Acteurs et Responsabilité » (VOAR) est spécialisé dans les pratiques de RSE et accompagne les entreprises dans la mise en place de politique de développement durable depuis plusieurs années, comme a pu le faire le Dr. Magalie Marais au sein de l’Assemblée nationale il y a déjà deux ans.

Enfin, le Développement Durable sera au cœur du cahier des charges du futur campus écoresponsable, au bilan carbone négatif pour un enseignement supérieur à la hauteur des enjeux écologiques.

Vendredi 20 septembre dernier, c’est devant un jury de professionnels que se sont affrontés les cinq derniers finalistes de la 6^ème édition de la Start-Up Week. Ce Business Game

Pour cette ultime phase, l’expertise de Private Sport Shop, parrain de l’édition, a été d’autant plus importante qu’elle ciblait un élément clé de leur positionnement : le sport et le digital.

Application, réalité virtuelle et algorithme : un podium sous le signe de l’innovation technologique

Pour cette ultime semaine de Business Game, le concept reste inchangé : cinq projets s’affrontent dans une phase finale de pitchs devant l’intégralité des étudiants et un jury d’experts évaluant le caractère innovant, le réalisme financier et la stratégie de lancement de la start-up.

Au pied du podium, on retrouve le groupe Virtual Arena qui ont choisi de se concentrer sur l’aspect convivial et spectaculaire des grands événements sportifs. Aux vues de l’amélioration perpétuelle des retransmissions de ces manifestations, ce groupe a imaginé un concept de « loge virtuelle » permettant d’assister avec des lunettes de réalités virtuelles aux compétitions sportives comme si vous y étiez, et de se réunir en salon virtuel avec les personnes de votre choix.

En second position, le groupe SAM (Sport Automatic Manager) a décidé de surfer sur la croissance du nombre d’adhésions dans les salles de sport mais surtout sur le nombre d’abandons au bout de quelques semaines. La raison la plus souvent citée ? Un manque de disponibilité des professionnels et de suivi. Ainsi, le groupe a construit un coach virtuel, « Sam », qui permet de suivre de manière autonome ses progrès grâce à un algorithme.

Cependant, le groupe qui est parvenu à se hisser à la première marche du podium est Place Me, une application de mise en vente de billets d’événements sportifs, entre particuliers et en last minute. Le projet est né du déficit du taux de remplissage des stades : 70% des sièges sont effectivement occupés lorsque 100% des places ont pourtant été vendues. L’application permet alors de mettre en relation les passionnés, de digitaliser son billet et de le revendre en direct sur l’application quelques minutes avant le match. Un concept innovant à mi-chemin entre une plateforme e-commerce et un réseau social.

Pour revoir les précédents vainqueurs, c’est par ici :

• Sport Outdoor
• Sport et Inclusion

Organisme de référence pour son classement international des universités, Quacquarelli Symonds (QS) vient de publier son palmarès 2020 des meilleurs Masters en Management, en Marketing et en Finance mondiaux.

Ce classement prend en compte 5 critères principaux qui sont l’employabilité des diplômés, la diversité des étudiants et de son corps enseignant, le leadership intellectuel, le retour sur investissement de la formation et les salaires des diplômés.

Pour la seconde année consécutive, le programme Grande Ecole de Montpellier Business School obtient un score de 100/100 en Diversité et occupe donc la 1ère place mondiale et française sur ce critère. Au classement général, les différents programmes de l’école se classent ainsi :

• 12^ème place française des grandes écoles de management pour le Programme Grande Ecole
• 8^ème Master in Marketing Français pour le Programme MSc in Marketing
• 12^ème Master in Finance Français pour le Programme MSc in Finance

Retrouvez le classement complet ici.

Amies depuis près de 7 ans, Maëva et Ludivine se sont retrouvées toutes les deux à Montpellier Business School en 2016 lorsqu’elles ont rejoint le Programme Grande Ecole. Aujourd’hui en dernière année, les deux étudiantes décident de s’engager dans un nouveau projet alliant solidarité, aventure, sport et découverte et se préparent pour la 21^ème édition du Raid Amazones en formant le duo « Glob’Nanas ».

Qu’est-ce que le Raid Amazones ?

« C’est un Raid aventure multisport 100% féminin qui mixe défis sportifs et découverte du pays. Il réunit près de 300 sportives qui partagent les mêmes valeurs : la solidarité, le partage, l’écologie et le dépassement de soi. » explique Maéva, qui s’est lancée dans la course à pied en compétition l’an dernier.

« Nous avons découvert notre passion commune pour l’aventure et la découverte d’autres pays lors de la deuxième année à MBS, alors que nous étions en échange académique d’un an en Chine. » complète Ludivine. « Là-bas, nous avons eu l’opportunité de voyager dans les pays limitrophes et on a souhaité ensemble retrouver ce goût du challenge et le sentiment qui vous envahit lorsque vous faites un roadtrip. »

Un raid 100% solidaire : « il ne faut pas attendre d’être concerné pour se sentir concerné »

Si Maëva et Ludivine partagent cette passion du sport et du voyage, elles souhaitaient cette fois-ci ajouter une dimension solidaire à leur aventure. « Chaque équipe du raid parraine une association dans l’objectif d’accroitre leur notoriété et de contribuer à la récolte de dons. » explique Ludivine.

 « Nous avons choisi de nous engager auprès de Vaincre la mucoviscidose. Cette association réunit patients, familles, soignants et bénévoles dans l’objectif de financer la recherche, former le personnel soignant et aider les patients dans les frais liés à cette maladie qui touche les systèmes respiratoire et digestif. » précise Maëva.

« Surtout, s’il y a un message à partager, c’est qu’il ne faut pas attendre d’être concerné pour se sentir concerné et ne pas attendre qu’un proche soit touché par la maladie pour décider de s’investir dans une cause. » conclut l’étudiante de dernière année.

Pour suivre leurs aventures et les soutenir dans leur levée de fonds, retrouvez les Glob ‘Nanas sur Instagram et sur leetchi.

Une thématique qui fait écho aux valeurs fondatrices de MBS

Depuis le 3 Septembre, la 6^ème édition de la Start-Up week bat son plein sur le campus de Montpellier Business School. Ce Business Game par équipe met chaque semaine, et jusqu’au 20 septembre, les 900 étudiants de dernière année du Programme Grande Ecole au défi de la création d’entreprise.

Pour cette seconde semaine de challenge, Private Sport Shop était à nouveau au rendez-vous pour guider les étudiants dans le marché complexe du sport. « Une des tendances du marché est la recherche d’autonomie chez les sportifs. » explique Yannick Léouffre aux étudiants de dernière année.

Ainsi, la thématique à laquelle les apprentis créateurs d’entreprise devaient être particulièrement sensibles cette semaine était l’inclusion : « Cette thématique a pour but de faire travailler les étudiants autour de concepts à la fois innovants et respectueux de la diversité, deux valeurs caractéristiques de Montpellier Business School. » explique Katherine Gundolf, directrice du MBS Entrepreneurship Center.

Une riche diversité dans les projets entrepreneuriaux proposés par les étudiants

Comme à l’accoutumée, cinq projets se sont affrontés dans une phase finale de pitchs devant l’intégralité des étudiants et un jury d’experts évaluant le caractère innovant, le réalisme financier et la stratégie de lancement de la start-up.

Chaque groupe a décidé d’intégrer l’inclusion et la diversité à une étape différente du processus de création. Pour le groupe B&Fit, gamme de vêtements de sport intelligents qui s’adaptent à la morphologie de tous, ainsi que pour Safe Finder, bracelet électronique permettant d’émettre une alerte en cas d’agression, le choix a été d’intégrer cette notion d’inclusion au plus tôt du Business Model et donc de faciliter la pratique du sport à une cible spécifique.

Pour deux autres groupes, l’idée n’était pas de créer un produit mais de réinventer un concept existant et en le mettant au service de la RSE : To Gather a choisi de surfer sur la vague du plogging (courir en ramassant les déchets) en organisant une série de courses officielles dont la recette serait reversée à plusieurs associations. Le second groupe a, quant à lui, imaginé une agence de coachs sportifs délivrant leurs services aux entreprises avec comme particularité de former et d’engager uniquement les anciens détenus dont la réinsertion sur le marché du travail peut s’avérer difficile.

Néanmoins, un groupe est parvenu à sortir son épingle du jeu grâce à un besoin très bien identifié : Smart Swim. « Nous sommes partis d’une simple vidéo, où nous avons constaté qu’en compétition officielle, on tapait sur la tête des nageurs malvoyants pour qu’ils puissent savoir quand se retourner à l’extrémité du bassin. » explique alors le pitcheur. Smart Swim est un équipement semblable à des lunettes de natation, avec la particularité d’émettre une vibration lorsque le nageur s’apprête à changer de couloir ou à heurter l’extrémité du bassin. « Ce produit n’est donc pas uniquement pour les nageurs en situation de cécité. Cela peut correspondre à tous les nageurs qui préfèrent se concentrer sur leur performance, plutôt que sur leur bonne trajectoire. Le sport pour tous. »

L’antisèche – Vous ne savez pas ce qu’est la Start-Up Week de l’Entrepreneurship Center ? Voici une session de rattrapage en infographie :

Depuis bientôt 12 ans, la Fondation Montpellier Business School pour l’égalité des chances, sous l’égide de la Fondation de France, collecte des fonds afin de soutenir la politique sociale de Montpellier Business School. Grâce aux mécènes et aux entreprises donatrices, plus de 400 étudiants ont pu bénéficier d’aides pour un montant total de plus de 15 millions d’euros.

Aider chacun des étudiants à accéder à sa réussite indépendamment de sa situation familiale et financière

Le 6 février 2020 aura lieu la Cérémonie de Remise des Bourses à Montpellier Business School. Cet événement célèbre les compétences, le niveau académique et le potentiel des étudiants à travers la remise :

• Des bourses d’excellence, qui prennent en charge l’intégralité des coûts de formation pour les étudiants désignés sur critères sociaux et académiques.
• Des bourses internationales d’excellence qui incluent les coûts de formation et les frais de vie pour des étudiants recrutés dans des pays en voie de développement, avec l’aide des ambassades de France à l’étranger
• De la bourse des collaborateurs pour laquelle l’ensemble des salariés de MBS se mobilisent
• De la première bourse des Alumni annoncée lors du Di-Day Meet your Network le 12 avril dernier.

D’autres bourses sont également attribuées tous les ans aux apprentis : il s’agit des bourses App’titude, qui complètent la rémunération des apprentis pour pouvoir assurer les imprévus liés au rythme de formation.

La Fondation soutient et encourage également l’entrepreneuriat avec le prix Jeune Entreprise Innovante et Responsable destiné aux jeunes entrepreneurs, étudiants ou diplômés depuis moins de trois ans. Il évalue le réalisme financier, la qualité du business plan, le caractère innovant et la contribution à la défense des valeurs d’ouverture, de responsabilité et performance globales du projet. En 2019, ce sont Valentin et Pia qui ont remporté les 10 000 € pour financer leur start-up. Découvrez leur histoire ici.

Une Fondation intégralement consacrée à l’égalité des chances

La spécificité de la Fondation MBS réside dans le fait que 100% des dons sont réinvestis dans les actions liées à l’égalité des chances. C’est l’objet de la Fondation MBS pour l’égalité des chances : financer les différents dispositifs visant à aider socialement et financièrement les étudiants.

Les actions de la Fondation MBS pour l’égalité des chances ne se limitent donc pas aux bourses. Pour en savoir plus sur l’ensemble des dispositifs portés par la Fondation,  cliquez ici. 

Pour soutenir la Fondation, vous pouvez faire un don en ligne.

Depuis 2008, 210 étudiants ont bénéficié d’une bourse d’excellence.

Depuis 2012, 19 étudiants ont bénéficié d’une bourse internationale d’excellence.

Depuis 2012, 127 étudiants ont bénéficié d’une bourse App’titude.

Depuis 2008, 11 projets entrepreneuriaux ont reçu le Prix Jeune Entreprise Innovante et Responsable.

Depuis 2017, 2 étudiants ont bénéficié de la Bourse des Collaborateurs.